Métèque

horde nous apporta de la nourriture. Mais père dit que les métèques n’étaient pas rompus et qu’ils recommenceraient le lendemain. Il fallait avoir des compromis et négocier. Père partit pour négocier. Nous étions tous très inquiets pour père car cela faisait longtemps qu’il était parti. Nous vîmes de la fumée. Père revient quelques heures plus tard pour notre grand soulagement. Il avait réussit à négocier avec les métèques. Les métèques et lui avait imposé quatre article. il nous les expliqua. Mais

démocratie athénienne telle que la nulle division des pouvoirs entre les réprensentants et les réprésentés, présence de groupes sociaux qui est reflétée par l'inégalité entre les hommes et les femmes, les hommes libres et les hilotes, les citoyens et les métèques. De plus, l'Etat ancien ne pose aucune séparation entre le droit et la religion (les rois ont tous pouvoirs). Une contradiction se pose, à savoir, comment assurer une harmonie, une égalité, s'il existe différents groupes sociaux ? La présence

sa très forte focalisation sur ces deux divinités mais aussi par sa fonction d'intégration. Les Panathénées, plus grandes fêtes d'Athènes, exclusivement en l'honneur d’Athéna, sont ainsi l’occasion de réunir tous les habitants de la ville dont les métèques. Pour comprendre l’importance de la religion dans la société athénienne, il faut savoir qu’à son apogée on répertoriait plus de 100 jours chômés pour honorer les divinités, dont notamment Dionysos et Athéna.

chargées de remettre un voile, le péplos, qu’elles ont tissé à la statue d’Athéna, puis les animaux destinés à être sacrifiés et enfin l’ensemble de la population athénienne. Cette procession réunissait alors tous les habitants d’Athènes, même les métèques, les esclaves et les femmes, ce qui favorisait l’unité de la cité. Mais cette composition donnait aussi l’occasion à la cité de montrer son organisation hiérarchisée. A la fin de la procession se déroule l’acte central de la fête : le sacrifice

citoyen pour obtenir la citoyenneté. En -431, seuls 11% de la population a la citoyenneté. Les citoyens se réunissent à l'Ecclesia pour voter l'ostracisme d'un citoyen (exclusion de la cité pendant 10ans). Ils peuvent également donner la citoyenneté à un métèque (homme libre étranger) mais cela reste exceptionnel. La politique est très liée à la religion. En effet, les fêtes des Panathénées avaient lieu tous les ans (et les Grandes Panathénées tous les 4 ans). Lors de ces fêtes, des sacrifices avaient lieux

animaux C'est en -338 que Philippe II de Macédoine soumet Athènes. Une seconde fois, la direction de l'Académie lui échappe Il y fonde une école qui rivalisera avec l’Académie, " le Lycée ".  sur un terrain loué, mais non acheté (Aristote est un métèque, il n'a pas le droit à la propriété) Devenu veuf à Athènesen -338 il prit pour seconde épouse une femme de Stagire, Herpyllis, dont il eut un fils qu’il nomma Nicomaque, du nom de son propre père. Nicomaque mourut jeune Aristote accompagna peut être

la population d’Athènes. En effet, les esclaves, les femmes, mais aussi les métèques sont exclus de la citoyenneté et de la gestion des affaires publiques. Les femmes athéniennes conservent toute leur vie le statut de mineures. Elles sont soumises à la tutelle d’un homme de leur famille (père, époux, oncle), sans droit politique, exclues du droit d’intenter une action en justice ou du droit de propriété. Les métèques sont des étrangers d’autres cités grecques résidant à Athènes. Ils sont environ

jeunisme : « Le père s’habitue à traiter son fils comme un égal et à craindre ses enfants, le fils s’égale à son père, n’a plus honte de rien et ne craint plus ses parents, une façon d’affirmer sa liberté ; le métèque se prend pour l’égal du citoyen et le citoyen devient l’égal du métèque, et c’est pareil pour l’étranger. C’est ainsi que les choses évoluent, dit-il. À cela, dis-je, s’ajoutent encore de petites choses de cette nature : le professeur, dans un régime de cette nature, craint ses

cerveau des jeunes Français. La République est le gouvernement des francs-maçons, qui n'ont qu'une haine, l'Église, qu'un amour, les sinécures et le trésor public. (...) La République est le gouvernement des étrangers plus ou moins naturalisés ou métèques, qui ces jours-ci souilleront du cadavre de leur Zola le Panthéon désaffecté; ils accaparent le sol de la France, ils disputent aux travailleurs de sang français leur juste salaire, ils font voter des lois qui ruinent l'industrie. NOUS Y METTRONS

tirées au sort peuvent être incompétentes ce qui entraîne des décisions peu objective et peu réfléchis. Tout le monde ne peut être citoyens comme les femmes, les esclaves qui n’ont aucun droit et qui sont considérés comme des biens ou encore les métèques ce qui va à l’encontre de la démoctratie. Seuls les citoyens participaient aux débats et aux votes de l’assemblée. Seulement 10% de la population possédait ce pouvoir. Le reste de la population devait donc subir et appliquer les décisions qu’il prenait