Métèque

J.C, car en effet, tous les citoyens avaient le droit de prendre la parole et de voter à l'Ecclésia, où étaient votées les lois de la cité, mais étant donné qu’aucun droit politique ni citoyenneté n'était accordés aux femmes, aux esclaves, et aux métèques parmi les 250 000 habitants d'Athènes, seuls 40.000 environ étaient citoyens et, sur ces 40 000, tous les hommes riches (environ 5 000) et la plupart des thètes (environ 21 000) participaient aux réunions de l'ecclésia. On ne pourrait donc utilisé

prétendait assurer la protection à si grands frais, est livrée par les pouvoirs mêmes qui en avaient la garde aux rafles colossales d’un métèque escroc ». On accuse les étrangers d’être la cause de tous les maux de la société française, comme le dit la chanson aux lignes 14, 15, 16 et 17 puis 31, 32, 33 et 34 « En main les balais !, Chassons à jamais, Les métèques, les laquais, La France aux français ! ». La presse se convainc que le gouvernement a voulu empêcher Stavisky de parler et que ce sont eux

leurs esclaves administrer une boutique d’artisanat ou de petit boutiquier contre versement régulier (apophora), le surplus revenant à l’esclave. Lorsque les citoyens partent en guerre, les esclaves continuent de s’occuper du commerce comme les métèques car la défense de la cité est un privilège lié à la citoyenneté et parce qu’en face d’un esclave armé, le maitre perd l’instrument de sa supériorité. Ce n'est cependant pas toujours le cas : -ils peuvent accompagnent leurs maîtres à la guerre

3. Elle a été realisée pendant l’époque antique entre entre 447 et 432 av. J-C. 4. La frise des Panathénées mesure environ 160m sur 1 m. de hauteur. Il y’a 360 personnages et 220 animaux. Quelques personnages : les magistrats, les métèques, les jeunes filles vierges, les cavaliers,les porteurs d’eau. Quelques animaux : les chevaux et les bœufs. 5. Elle est sculptée en bas relief : sculpture ayant un fond, dont elle se détache avec une faible saillie (elle dépasse juste un peu)

la place de l’économie dans la société antique Sté Antique : 4ème siècle avant J-C Platon & Aristote : intellectuels de l’époque Quelle est leur attitude face à l’économie ? Structure sociale de la cité divisée en 3 catégories : Esclaves, Métèques, Libres citoyens. PLATON souhaite que les besoins ne se multiplient pas. ARISTOTE distingue 2 instruments : animés (esclaves) et inanimés. La richesse est la terre, les libres citoyens sont les propriétaires fonciers qui exploitent leur terre

son propre régime et elle doit rester maitresse de son pouvoir politique. Elle ne doit pas payer impôts à d’autres cités sinon elle n’est pas dépendante. Les citoyens ne représentent par la majorité des habitants : on a aussi des hommes libres (métèques à Athènes) et des esclaves. Les hommes libres ont des droits limités et doivent payés des impôts. Ils peuvent s’en aller n’importe quand. Quand les rois disparaissent et ont été réduit à une fonction religieuse, la cité est gouvernée par des magistrats

l’île de Cythère, lieu ou elle serait apparue aux mortels. Les cérémonies en l’honneur des dieux étaient souvent à l’usage d’une seule cité. Il y avait des fêtes qui réunissaient toute la cité dans le culte des dieux. Les citoyens, les femmes, les métèques se rassemblaient pour fêter la même divinité, ce qui renforçait les liens entre les habitants de la cité. Par contre, certaines fêtes étaient dites « panhelléniques », c'est-à-dire qu’elles rassemblaient toute la Grèce (pan-, toute, Hellade, la Grèce)

c’est l’exclusion des femmes dans la citoyenneté, ces dernières étant considérées comme inférieures de nature à l’homme que ce soit pour les grecs ou les romains (phénomène qui persiste hélas dans le monde d’aujourd’hui). Ensuite, on peut citer les métèques ou pérégrins et les esclaves. C’est par ailleurs la distinction fondamentale entre l’Empire romain et la cité athénienne. En effet du Ier au IIIème siècle ap J-C, il est largement possible d’accéder à la citoyenneté romaine que ce soit par l’intermédiaire

Giraudoux, Martin Heidegger et Ernst Jünger à aujourd’hui -, le mélange plébéien de New York, la naïveté supposée de Hollywood. Déjà du temps de l’affreux Pindare, on affectait, du côté de Corinthe ou de Sparte, de mépriser Athènes, son Parthénon et ses métèques à la Lysias. Avec Gershwin, qui sauve l’opéra moderne en y introduisant le jazz, Pollock et Rothko, qui révolutionnent la peinture du XXe siècle, Faulkner et les quatre évangélistes du Hollywood classique, Ford, Hawks, Walsh et Huston, l’Amérique

média, bureaucrates, et fonctionnaires sont absents de la scène athénienne. Cela tient également à la différence de taille entre nos démocraties et Athènes, beaucoup plus petite. La démocratie est exclusive et interdite aux esclaves, femmes, et métèques. Le citoyen est le maître de la vie politique dans le respect des lois et non un acteur passif. 3) Un héritage dans les coutumes Une des caractéristiques principales de la démocratie athénienne est d'ailleurs la parole. L’écrit n'est