Métrage cinématographique

La Nouvelle Vague est un mouvement cinématographique apparu en France à la fin des années 1950. Le terme apparaît sous la plume de Françoise Giroud dans L'Express du 3 octobre 1957, dans une enquête sociologique sur les phénomènes de génération. Il est repris par Pierre Billard en février 1958 dans la revue Cinéma 58. Cette expression est attribuée aux nouveaux films distribués en 1959 et principalement ceux présentés au Festival de Cannes de cette année-là. C'est une campagne publicitaire du CNC

pointus de la cinéphilie, il y a peut-être une bonne raison au fait qu’Albert Capellani ait été si longtemps oublié: son travail relevait essentiellement du « film d’art ». S’il a considérablement fait avancer le cinéma (développement du format long-métrage par exemple), le film d’art a, de par son principe même, très rapidement vieilli. Il s’agissait à l’époque où le cinéma quittait les fêtes foraines pour s’installer sur les grands boulevards d’attirer un public bourgeois grâce à un maximum de signes

s'installe aux Etats-Unis et travaille pour la compagnie de film Keystone. Il ne lui faut pas plus de cinq ans pour s'imposer. Il réalise et joue dans plus de soixante dix courts et moyens métrages où il crée le personnage de Charlot, clochard frondeur et généreux. En 1921, il réalise son premier long métrage '' The Kid '' , une œuvre bouleversante où la représentation de la pauvreté et la cruauté des travailleurs sociaux font directement penser à l'enfance de Chaplin dans les rues de Londres.

(code de l’industrie cinématographique, 1958) pour le cinéma et partiellement pour l’audiovisuel. . Le CPI (code la propriété intellectuelle, 1992) regroupe un ensemble de loi : - 1957, loi sur la propriété artistique et littéraire - 1985, droits « voisins » - Loi du 3 juillet 1985 : « le producteur de l’œuvre audiovisuel est la personne physique ou moral qui prend l’initiative et la responsabilité de la réalisation de l’oeuvre"   A. LE CAS DU LONG – METRAGE 1. qu’est ce qu’un

précisément engagé pour rivaliser avec Méliès, et l'avait amené en France où il travailla sous le nom de Chaumont. Les premiers studios de tournage sont édifiés en 1909 à Barcelone et Madrid, suivis, en 1910, de la création de la première revue cinématographique, Arte y Cinematografia. La première capitale espagnole du cinéma est Barcelone. Plusieurs cinéastes étrangers l’investissent pour des tournages, de Max Linder à Gérard Bourgeois qui y réalise la superproduction Christophe Colomb (1916). Après

“programmation ouverte” avec une considérable selection de court-metrages et documentaires africains mais aussi de blockbusters intenationaux pour attirer les plus jeunes habitants du “pays des mille collines”, qui peut compter sur une seule salle de cinéma dans la capitale. Les initiatives de parténariat du RCC avec les institutions culturelles étrangères on une importance vitale pour la diffusion de la culture cinématographique dans le pays. En 2007 le Tribeca Film Festival (TFF) a invité un

aux Etats-Unis et travaille pour la compagnie de film Keystone. Il ne lui faudra pas plus de cinq années pour s'imposer. Il aura réalisé et joué dans plus de soixante-dix courts et moyens métrages, où il célèbre le personnage de Charlot, clochard frondeur et généreux. En 1921, il réalise son premier long métrage « The Kid », une œuvre bouleversante. Ses films dénonceront les injustices de la société américaine, tout en refusant initialement le passage au cinéma parlant (« L'Opinion publique » en 1923

Griffith, cinéma francais (impressioniste, surréaliste) Après 1925 : guerre financière dans le cinéma, UK balayé par la guerre France/Usa « Move Cinéma club » (Chaplin y était -> y travail : Georges A smith inventeur des rudiments du language cinématographique (Plans montage ..) . Griffith va pousser tout cela, eclypse. A Smith : decu, merveilleux , comique, fantastique -> Cinéma du genre typique américain est lancé par smith en Angleterre. Avant 1915 le cinéma britannique coule, dés 1925 Il

jusqu’à 1990 avec la version bédéique dans un magazine japonais et qui est sorti en 1988 avec une version cinématographique. Akira est un manga de science-fiction constitué de six volumes, d’où plus de deux mille pages de dessin sont présentes. Schmidt explique dans son livre, la difficulté de concilier plus de deux mille pages de manga et de réduire dans le temps formaté d’un long métrage. Mais, avant ce manga très célèbre, Otomo avait publié un autre manga du même genre, Magnetic Rose. Contrairement

 légitimité  culturelle.   On   peut   comparer   le   cinéma   de   l’époque   à   la   télévision   telle   qu’elle   est  aujourd’hui.   C’est   également   un   cinéma   de   court-­‐métrage.   On   n’a   pas   la   pratique   de  «  coller  »  les  films.  Le  film  sert  à  mettre  en  scène  une  chute,  d’où  le   genre  burlesque  privilégié.