Métro d'Athènes

plus de vingt milliards d’euros auront été investis. A titre de comparaison, les jeux d’Athènes n’ont coûté « que » quatre milliards d’euros. Outre la construction des équipements directement liés aux jeux (stades, village des athlètes, centre de presse…), la ville a dû construire ou rénover un grand nombre d’infrastructures. Parmi les plus importantes, on peut citer la construction de plusieurs lignes de métro supplémentaires, d’un nouveau terminal aéroportuaire, d’un cinquième boulevard périphérique

Le développement urbain n'a pas seulement apporté épanouissements individuels, libertés et loisirs, mais aussi l'atomisation consécutive à la perte des anciennes solidarités et la servitude de contraintes organisationnelles proprement modernes (le métro-boulot-dodo). Le développement capitaliste a entraîné la marchandisation généralisée, y compris là où régnait le don, le service gratuit, les biens communs non monétaires, détruisant ainsi de nombreux tissus de convivialité. La technique a imposé

J-C, sous la pression de l’évêque de Milan, Ambroise, l’Empereur Théodore Ier est contraint de suspendre les Jeux Olympiques à cause de leur connotation païenne. En 426, l’Empereur ordonne même la destruction du temple d’Olympie, puis de la ville d’Athènes. Après plus de seize siècles d’interdiction, les Jeux Olympiques ont commencé à renaître dans l’esprit de quelques individus, grâce, entre autre, à la découverte du site d’Olympie. De 1796 à 1798, la France organisa même l’Olympiade République. Mais

de territoires immenses - Jusqu’au début du XXe siècle : les politiques migratoires des Etats favorisent les flux au départ de l’Europe 5 Chapitre 3 : citoyenneté et démocratie à Athènes - C’est en Grèce et particulièrement dans la cité d’Athènes que les fondements essentiels de la civilisation occidentale se sont forgés : la politique et notamment le système politique de la démocratie ; • la philosophie (avec de grands philosophes comme Platon, Aristote) ; la science ; l’histoire avec

l’esthétique » Bruno Taut. - Moment fondateur : le quatrième Congrès International d’Architectes Modernes (CIAM) à Athènes en 1933 sur le thème de « La Ville fonctionnelle » et de l’extension rationnelle des quartiers modernes. Il en résultat la Charte d’Athènes, sous l’égide de Le Corbusier, qui établie un programme de planification et la construction des villes en 95 points, reprenant les réflexions fonctionnalistes : logements et loisirs, séparation des zones résidentielles et des artères de transport

Nouveau. Prend le pseudonyme de Le Corbusier. 1922 Création d’une agence d’architecture avec son cousin, Pierre Jeanneret, cosignataire de ses œuvres architecturales jusque dans les années 50. Contexte architectural 1900 Guimard : entrées du Métro, (Paris). Gaudi : parc Güel (Barcelone). 1904 Tony Garnier : La cité industrielle (Lyon). 1910 Théâtre des Champs-Elysées d’Auguste Perret (Paris) 1919 Gropius fonde le Bauhaus, à Weimar. Mies van der Rohe : projets de gratte-ciel de verre

l'ensemble des métiers de la communication à forte dominance RP et relations presses. La seconde concerne la création, par les professionnels français de l'époque, du premier code de déontologie ou d'éthique, que l'on connaît sous le nom de « Code d'Athènes », de 1965 qui fut le premier à fixer un certain nombre de règles professionnelles et de donner un statut aux RP. C'est ainsi qu'à partir de 1965, les RP ( et en même temps les relations presses )ont connu une place de plus en plus importante

définissait Le Corbusier. L’efficacité du système coexiste avec le bonheur des individus. L’espace y est même envisagé comme un recours pour éduquer la société et la ville réduite à un concept urbanistique et politique. Entérinée en 1933 par la charte d’Athènes (5) « cette ville » est aujourd’hui ressentie comme un objet totalitaire. La ville traditionnelle a été oubliée au bénéfice d’une colonisation des territoires. Le mouvement moderne a généré « un véritable planisme » c’est à dire une volonté de

de s’être bien battu.’’ Pierre de Coubertin Le Conseil International Olympique (CIO) depuis 1894, approuve en 1958 l’hymne olympique aux Jeux de Tokyo. Crée par les compositeurs grecs Spýros Samáras et Kostís Palamás en 1896 pour les jeux d’Athènes, elle est aujourd’hui un des symboles principaux des Jeux Olympiques. La flamme olympique est allumée pour la première fois en 1928, aux Jeux d’Amsterdam (PaysBas). Depuis, elle est ravivée à chaque début de la compétition, sous l’autorité

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