Metro-Goldwyn-Mayer

producteurs et distributeurs du "divertissement filmé" (films de cinéma, programmes de télévision, cassettes et DVD à la vente ou à la location...) Ces majors sont : - Buena Vista International - Columbia TriStar Distributors International - Metro-Goldwyn-Mayer - Paramount Pictures Corporation - Twentieth Century Fox International Corporation - Universal International Films - Warner Bros Quant à leurs filiales, on peut par exemple citer Miramax qui appartient à Disney, New Line à Warner. Dans

Movielink aux Etats-Unis, l´offre de VoD sur Internet conjointe des grands studios américains, en est sûrement l’une des raisons. Pour rappel, Movielink avait été créé en 2002 avec, à son capital, la majorité des grands studios américains : Metro-Goldwyn-Mayer Studios, Paramount Pictures, Sony Pictures Entertainment, Universal Studios and Warner Bros. Studios. Après avoir investi plus de 148M $ en cinq ans sans avoir réussi à en faire une opération rentable, les studios ont décidé de céder le service

pistolet et le dirige sur le loup pour finir par le tuer ! La modernisation s’y voit explicitement : l’inquiétude de la fillette, le pistolet, le recours à une comparaison qui fait allusion à des références culturelles modernes (le lion de la Métro Goldwyn Mayer, Calvin Coolidge) ainsi que la moralité qui affirme que les petites filles ne sont plus trompées aussi facilement que les lecteurs en avaient l’habitude (le féminisme est passé par là). Le conte du Petit Chaperon rouge a été bien investi dans

production Arthur Freed, véritable incarnation de l'âge d'or de la comédie musicale américaine. Un âge d'or allant de 1939 (avec Le Magicien d'Oz de Victor Fleming) à 1959 (année de sortie en France de Gigi de Minnelli), une majorité provenant de la Metro-Goldwyn-Mayer Inc. (ou MGM), alors plus puissant économiquement parlant des grands studios hollywoodiens. D'aucun dirait qu'il fut le studio le moins audacieux, le moins expérimentateur, celui encourageant le moins les recherches formelles. Et pourtant, il

de Thomas Keneally, La liste de Schindler, fut publié en 1982, suite à la rencontre entre l'auteur et Poldek Pfefferberg, un des juifs sauvés par Oskar Schindler. Pfefferberg avait déjà tenté par le passé de tourner, en partenariat avec la Metro Goldwyn Mayer, un film biographique sur le personnage de Schindler, mais le projet ne vit jamais le jour. Plus tard, Sid Sheinberg, le président de la MCA (une branche des studios Universal Pictures), attire l'attention de Spielberg sur la critique du

pouvait rendre inutilisables. Il fallait de plus mettre au point un langage pour restituer les images en trois dimensions de modèles réels habillés de véritables vêtements. L’iconographie de la mode devait encore s’adapter à la photographie. Adolf De Mayer a réalisé une synthèse de la photographie de célébrités et de celle de mode. Il perfectionné l’utilisation du flou et développa l’éclairage à contre-jour, plaçant un projecteur derrière son modèle pour théâtraliser ses vêtements et pour recréer l’irréalité

type fordiste intègre les industries manufacturières et culturelles : « La différence entre la série Chrysler et la série General Motors est au fond une pure illusion... Il en est de même pour les productions de la Warner Brothers et de la Metro Goldwyn Mayer. » Le hollywoodisme est le fruit de cette industrialisation de l’imaginaire poussée à son acmé à Hollywood. Ainsi au milieu des années 1920, 240 000 kilomètres de pellicule sortent des studios de Hollywood qui rationalisent l’organisation du

une fin en soi, qu’il ne conduise pas à un monde déshumanisé. Le film, réalisé par Herbert Kline, fut tourné dans le village de Patzcuaro avec des villageois. Le texte de Steinbeck fut prononcé en «voix off», non par Spencer Tracy auquel la Metro-Goldwyn-Mayer l’interdit, mais par un ami de l’écrivain, Burgess Meredith (qui avait tenu le rôle de George dans ‘’Of mice and men’’). Le film fut d’abord interdit par la censure, à cause d’une scène d’accouchement, et parce qu’il suggérait une acceptation

de l’auteur allemand Erich Maria Remarque, fuyant l’Allemagne où ses œuvres sont brûlées en place publique par les nazis. En 1936 le gouvernement allemand exprime clairement son opposition à la réalisation du film. La société de production Metro-Goldwyn-Mayer (MGM) a voulu éliminer l’aspect politique de l’histoire, qui raconte la vie de trois anciens combattants de la première guerre mondiale. Mais après beaucoup de disputes entre le réalisateur, les scénaristes et la gestion de la société, la décision

western qui imposa définitivement le label « hollywoodien » : le Mari de l'Indienne. Huit grandes sociétés de production, les « major companies », virent le jour entre 1912 et 1928 : Paramount, Universal, 20th Century Fox (William Fox, en 1915), Metro-Goldwyn-Mayer, future MGM (1916, Samuel Goldfish), Warner Bros (en 1923, les frères Warner), Columbia, RKO et United Artists. Elles firent d'Hollywood le centre du cinéma mondial, et dominèrent la production. Zoom sur Untied Artists (« Artistes associés »):