Meurs un autre jour

la ligne 7 « du jugement dernier », le verbe « repentir » à la ligne 9, qui a également une dimension religieuse, le nom commun « compassion », qui est dans la Bible une des caractéristiques intrinsèques de Dieu. Tout comme « elle prit Dieu nuit et jour » à la ligne2. Nous pouvons aussi remarques l’utilisation de « miséricorde », qui renvoie également à la religion Catholique. Enfin il y a l’utilisation 5 fois du mot « Grâce » dans l’extrait de la part de Lucrèce. La Grâce, qui correspond au pardon

d'immortalité. C'est ici le désir de rester sur terre qui s'explique, d'avoir un corps immortel. Elle suppose néanmoins la foi en l'immortalité de l'âme dont personne n'a la preuve. Il y a aussi la crainte de la mort elle-même, l'angoisse métaphysique d'un jour n'être plus, de perdre cette individualité qui est la nôtre. L'athée ramène la mort au néant et éprouve un sentiment d'absurdité : la vie perd toute valeur et ne demeure que l'angoisse qui peut parfois devenir une sorte d'obsession empêchant de goûter

j'embrasse ma fille... Vois-tu, c'est un dernier adieu, un adieu éternel. Antony - Oui, oui, va, va. (Il la pousse) Adèle - Oh ! mon Dieu ! Antony - Mais qu'as-tu donc ? Adèle - Ma fille !... quitter ma fille... à qui on demandera compte un jour de la faute de sa mère, qui vivra peut-être, mais qui ne vivra plus pour elle... Ma fille !... Pauvre enfant ! qui croira se présenter pure et innocente au monde, et qui se présentera déshonorée comme sa mère, et par sa mère ! Antony - Oh ! mon

-« Melancholia », Ce poème traite quand à lui du travail des enfants au XIXème Siècle. Victor Hugo est révolté du fait que les enfants doivent travailler il estime que leur place n’est pas au travail. Car ce poème ne traite pas de la guerre et montre un autre type d’engagement. -« La victoire de Guernica »Dans ce poème l’auteur dévoile les atrocités commises lors de la guerre d’Espagne (1936-1939) plus particulièrement le bombardement de la ville de Guernica (800-3000 morts)pour montrer l’escalade de la

devient le seul détenteur du pouvoir législatif. Au XVIIIe siècle apparait la notion de responsabilité politique du premier ministre et du cabinet devant la chambre des communes. En fait, ces règles ne rentrent vraiment définitivement dans le meurs politiques qu’au début du XIXe siècle. Avec la démocratisation du régime, la couronne et la chambre des lords vont connaitre un déclin inexorable au profit de la chambre des communes et du premier ministre. Mais c’est la structuration de la vie

termes de sens différents et de parenté phonique. - Ex :‘Pâles membres de perles ...’Les figures d’opposition :-L’antithèse : Elle rapproche dans une phrase, deux mots de sens opposés. - Ex :‘Je vis, je meurs, je me brûle et me noie.’ (chaud/froid (avec l’eau)). -L’oxymore : Elle réunit deux termes opposés dans un paradoxe apparent. - Ex :‘Un silence assourdissant.’-L’antiphrase : Il s’agit d’une formulation

que vous n’êtes pas le seul ... Des milliers habitants dans votre cas.  L’attente est longue, très longue, il fait chaud vous avez beaucoup d’autres choses à faire mais l’eau est vitale pour votre famille, vos enfants votre survie. Mais un jour un bienfaisant vous offre la possibilité d’avoir un robinet chez vous !! Que ressentiriez-vous ? Désirez-vous d’être ce bienfaisant en recherchant la satisfaction d’Allah ? Faites comme Islamhadihtsunna en aidant l'association humanitaire Nouvelle

voyez-vous, je vous ai bien aimée. LA REINE. Monsieur... RUY BLAS, toujours à genoux. N'ayez pas peur. Je n'approcherai point. À votre majesté je vais de point en point - Tout dire. Oh ! Croyez-moi, je n'ai pas l'âme vile ! - Aujourd'hui tout le jour j'ai couru par la ville Comme un fou. Bien souvent même on m'a regardé. Auprès de l'hôpital que vous avez fondé, J'ai senti vaguement, à travers mon délire, - Une femme du peuple essuyer sans rien dire Les gouttes de sueur qui tombaient de mon

en extraire l’or !« Souviens-toi que le Temps est un joueur avide Qui gagne sans tricher, à tout coup ! c’est la loi. Le jour décroît ; la nuit augmente, souviens-toi ! « Le gouffre a toujours soif ; la clepsydre se vide.Tantôt sonnera l’heure où le divin Hasard, Où l’auguste Vertu, ton épouse encor vierge, Où le repentir même (oh ! la dernière auberge !), Où tout te dira : Meurs, vieux lâche ! il est trop tard ! »a) Ce poème parle d’une personne se lamentant du temps, se lamentant de la vitesse à

l’Anima »1 Mais : « L’anima ne connaît que les équations cosmiques ; elle ignore les valeurs humaines »2 Eux, les amants, s’en sont remis à l’Anima. Dès lors, ils réagissent aux vibrations d’un autre monde, ils sont sur un autre plan d’existence. « Non, ce n’est pas ici le jardin enchanté. Mais un jour, m’amie, nous seront réunis au pays dont nul ne revient. Tout là-haut se trouve ma belle maison de verre. Le soleil la transperce de ses rayons, les vents ne peuvent l’ébranler. C’est là que je