Meursault Anti Héros

L’antihéros (ou anti-héros) est le personnage central d’une œuvre de fiction qui ne présente pas certaines, voire dans certains cas, aucune des caractéristiques du héros conventionnel Un héros (ou, au féminin, une héroïne) est un personnage réel ou fictif de l'Histoire, de la mythologie humaine ou des arts, dont les haut-faits valent qu'on chante son geste. Le rôle du héros se situe entre l'aspiration métaphysique, presque religieuse, de dépasser la condition humaine, notamment d'un point de

l’évolution du personnage principal dans le roman, sa personnalité, ses connaissances, ses valeurs, son rapport au monde. L’auteur met en place des personnages principaux aventuriers qui intéressent le lecteur et qui a souvent besoin de s’identifier au héros pour se poser la question suivante : « Si j’avais été lui, qu’est-ce que j’aurais fait ? ». Il peut y avoir une certaine analyse de soi-même au travers du personnage du roman, une réflexion, une interrogation sur soi et surtout une envie de participer

D'après Camus, le monde romanesque est le reflet du nôtre. Il y apparaît les même qualités et défauts et il n'est pas meilleur ou pire. C'est une imitation du réel. Ainsi, l'unique type de roman pour Camus est le réalisme, appelé cependant anti-roman car il critique le roman traditionnel dont il montre le caractère illusoire. A partir du XVIII ème siècle, les écrivains tiennent au réalisme de leur histoire avec le réalisme corporel et psychologique des personnages. Notamment dans Les liaisons

aventures qui vont lui permettre d’en ressortir grandit. Le combat contre les « géants », qui n’étaient en réalité que des moulins à vent, permet de mettre en avant le caractère comique de ce récit. De plus, le personnage de roman et plus précisément le héros peut se retrouver face à une quête à réaliser. Nous pouvons ainsi relever le personnage de Clélie dans le roman éponyme de Mlle de Scudéry. Cette dernière dresse la Carte du pays de Tendre qui est le pays de l’Amour et est imaginaire. La carte représente

d’autre : l’identification comme moteur de nouvelles sensations (Julien Sorel, pris au début du Rouge et le Noir dans la lecture des exploits de Napoléon, perché sur sa poutre) C.Un homme meilleur Du héros, porteur de l’image idéalisée de l’homme (Roland dans La Chanson de Roland, héros du moyen-âge, l’homme sublimé dans la mort, comme Julien Sorel) L’exaltation des sentiments purs : le roman classique, La Princesse de Clèves par exemple, et la pureté morale mise en exergue. Le chevalier Des

quelqu’un d’autre : l’identification comme moteur de nouvelles sensations (Julien Sorel, pris au début du Rouge et le Noir dans la lecture des exploits de Napoléon, perché sur sa poutre) C. Un homme meilleur - Du héros, porteur de l’image idéalisée de l’homme (Roland dans La Chanson de Roland, héros du moyenâge, l’homme sublimé dans la mort, comme Julien Sorel) L’exaltation des sentiments purs : le roman classique, La Princesse de Clèves par exemple, et la pureté morale mise en exergue. Le chevalier Des

affirmation explique l'importance du personnage principal, du héros. Pour André Bellesort, poète et romancier Français du début du 20ème siècle, le lecteur s'identifie au personnage principal du roman. Son but est de transporter le lecteur, de l'imprégner de son histoire. Le roman est un lieu d'évasion et d'aventure. Mais pour que le lecteur soit complètement absorbé par l'histoire il faut qu'il puisse s'identifier au héros. De quelles genres de héros le lecteur peut-il s'identifier? Pour quelles raisons

par M car il le présente comme 1 monstre qui serait un danger pr la société. L'avocat va prendre la parole. Le système défensif est basé sur la vision de M qui ne crpt ps à la vision de ce qu'il est. PB : En quoi le texte, à travers l'attitude de Meursault révèle t-il la comédie sociale et l'absurdité du monde? I/ La satire sociale a) La comédie de la justice. - Les jurés sont rapprochés ironiquement des ventilateurs ac l'opposit° « grands » /  « petits ». Ils snt introduits par « les petits

interne car chaque personnage s’exprime à la première personne sous forme de lettres. On a alors le ressenti et les sensations de chaque personnage. Chaque est auto-décrit ou se fait décrire par son correspondant. Mme de Merteuil est plutôt un « anti-héros ». Ce personnage est atypique, mais il rappelle fortement Tartuffe (personnage principal de « Tartuffe » de Molière). Baudelaire le décrit ainsi : « Tartuffe femelle, Tartuffe de mœurs, Tartuffe du XVIIIe siècle », « chez qui tout ce qui est humain

dans l’Histoire de Gil Blas de Santillane de Lessage, racontant la vie de Gil Blas, souffrant quelque peu et endurant de pénibles épreuves. Notamment dans cet extrait où il se retrouve dans l’obligation d’accomplir un meurtre malgré lui. C’est un anti-héros et cela fait naître de la compassion au lecteur. Moralement aussi le personnage peut être décrit comme quelqu’un qui souffre et le narrateur nous fait alors partager ses sentiments. C’est ce que nous montre le personnage Jacob, dans le paysan parvenu