Meursault Verité

liberté. Résumé : Caligula, jugeant que la vie sur terre est mal faite, ressent le besoin « de la lune, ou du bonheur, ou de l’immortalité, de quelque chose [...] qui ne soit pas de ce monde » (I, 4). Il décide de vivre et de chercher à sa manière la vérité de la vie. Comme il est l’empereur, sa liberté ne connaît pas de limite. Caligula entend dès lors utiliser tout son pouvoir à changer le monde. Pour ce faire, il doit d’abord détruire l’ordre existant. Mais comme il ne peut agir sur l’ordre naturel

vais montrer qu’avec ce roman, Camus nous donne une représentation d’un monde absurde et en même temps comique où le personnage principal, c'est-à-dire Meursault, est l’observateur. C’est avec lui qu’on peut voir le décalage, l’absurdité et la représentation théâtrale qui existe dans ce roman dans différentes situations où il se trouve. C’est Meursault au début du roman qui parle de la mort de sa mère. Il se comporte comme un homme désintéressé, indifférent, quelqu’un qui va enterrer sa propre mère

accède à la célébrité. Il met en scène Meursault, le personnage principal accablé par son quotidien, refusant de jouer le jeu du conformisme social, il vit au jour le jour. L'Etranger retrace une partie de la vie de cet employé de bureau qui tient une sorte de journal de bord dans lequel le lecteur plonge dans le quotidien de cet individu. Un jeu de circonstance l'amène à tuer un arabe. A l'article de la mort, l'aumônier pénètre dans la cellule de Meursault, la conversation s'engage entre les

L’Étranger et plus particulièrement du personnage de Meursault ? I. Meursault I.1. Un comportement bizarre À partir d’un extrait du roman (celui de la demande en mariage) , on dégage ce qui fait l’étrangeté de Meursault. Avant la lecture du passage, je demande aux élèves d’être attentifs au comportement de Meursault et à sa façon de rapporter la scène. Cet extrait permet de mettre en évidence plusieurs caractéristiques du comportement de Meursault : • l’indifférence par rapport à soi et à Marie

Une scène étrange Discours direct Meursault ; discours rapportés l. 12 et 16→ décalage entre la question et la réponse +l. 29-32 → pas réelle Marie : 2 paroles : l.6, 40-41 → son étonnement ; verbes introducteurs traditionnels : répondre, dire ; aucune expression dans la façon dont les personnages réagissent, parlent… l.9-10 ; l.38-39 : discours indirect libre ; l.26→ récit de paroles Dialogue essentiel, raconté de façon neutre, introduit par des termes plats, structure de phrases courtes,

contemporaine de notre condition humaine à travers un récit à la première personne, celle de Meursault. Ce roman met en avant l’absurde de la condition humain autrement dit l’angoisse de l’homme moderne. Le personnage semble étrangers a lui-même et à la société, mystérieux, ne se conforme pas aux canons de la morale sociale. Deux axe de lecture constituerons notre étude, le premier justice et comédie et le second Meursault mis hors-jeu (il est réduit a zéro). Dans un premier temps, il faut rappeler une

donc écrit comme Meursault parle. Je pense que le lecteur est plonge dans le présent du narrateur. A mon avis ca permettre le lecteur à s’identifier avec Meursault. Vous pouvez dire qu’à cause de ce style journalistique utilisé par Camus, on a l’impression de lire son journal intime et de partager son indifférence. Meursault, le narrateur, est aussi le personnage principal du roman. Dans certains autres romans ça peut être considérer comme un désavantage, mais à mon avis Meursault est une personne

Meursault sera confronté a la mort, une mort qui est remise en cause en raisons des moyens techniques utilisés. La guillotine à été élu comme étant le meilleur moyen afin d'exécuter les condamnés mais elle n'est pas la plus fiable, c'est ce dont Camus critique dans cet extrait. La répétition de l'adjectif « défectueux » accentue le fait qu'il y ait un dysfonctionnement de la machine, ce qui est embarrassant lors d'une exécution. Les expressions « le bon fonctionnement de la machine », « c’était

nous étudions. La première partie de l’œuvre suit la vie du jeune employé Meursault, à Alger. À la fin de la première partie, il tut sans préméditation et sans raison apparente un arabe avec lequel Raymond, son ami avait des soucis. La deuxième partie suit son jugement jusqu’à sa condamnation. L’extrait étudié est un passage de son jugement se situant dans la deuxième partie du livre. Notre problématique sera « Meursault a t-il était condamné pour son crime ou pour son âme ? » La première partie

I. Meursault face à l'aumonier 1. La violence de Meursault - attitude violente inhabituelle de M : il y a une violence physique (l4), une violence verbale (l2-3) et dans la teneur de ses propos. - Soudaine explosion correspond à son refus catégorique que l'aumônier prie - L'âpreté de M coïncide avec un phénomène qui se produit en lui (l1-2). réaction très dure exprimé a travers une métaphore (« je déversai ») 2. L'éloquence de son discours - véritable discours de M ≠ reste du roman