Microcosme

ne faut pas s’inquiéter et il faut accepter les choses telles qu’elles sont, parce que c’est Dieu lui-même qui les a créés. Mais ce n’est qu’après Candide est chassé du château, il reçoit sa première déception. Il se rend compte que ce monde, son microcosme qui semble idéal, n’est pas parfait. Il n’y a pas d’égalité, il existe un système hiérarchique où les personnes qui appartient aux différentes classes sociales n’ont pas le droit d’avoir une relation amoureuse. Alors, il comprend que tous ce qui

quiétude[paisible]). La cour n'est en fait qu'une illusion, une illusion du pouvoir, de la richesse, de la connaissance… Candide vit donc au sein d'un monde d'illusions dont il est victime. Il croit à ce qu'il voit car il ne connaît que ce monde. un microcosme qui n'est qu'incohérence.        Ce monde va changer à la suite d'une péripétie dont Cunégonde sera la cause (le baiser). Voltaire caricature en quelques sortes le départ de Candide en le montrant chassé du paradis terrestre comme Adam mais ici

franc, s’y reprendre à plusieurs fois. ». Finalement, le lecteur parvient grâce à la lecture à « ouvrir » l’animal, et nous passons à la seconde partie du texte. Celle-ci, nous décrit l’intérieur de l’huître, que nous pourrions interpréter comme un microcosme, un « petit monde ». Pour parfaire sa description, il utilise notamment des figures de style : métaphore (« A l’intérieur, on trouve tout un monde,[…]. »), ou bien encore l’oxymore (« Brillamment Blanchâtre »). Contrairement au premier paragraphe

✗ La dimension métaphysique (L.A n°1, 3 et 4) : la peste comme allégorie de la condition humaine. ✔ Habitant d’Oran = homme en général (cf. texte 1 avec les indices de la généralisation du propos) ✔ Ville d’Oran = Toute ville moderne = microcosme représentant le monde ✔ Peste qui touche l’homme = représentation de l’absurdité de la condition humaine (cf. L.A n°1) ✔ Peste = symbole du mal qui est dans l’homme (« l’homme est un loup pour l’homme » = l’homme est naturellement mauvais

yeux de bois toujours sous la hache''. Ceci donne l'impression que la femme est une proie ou un cobaye auquel on fait subir des expériences car les auteurs utilisent et métamorphosent le corps de la femme. A travers ces poèmes la femme est un microcosme ,c'est une monde miniature. On y trouve toutes sortes de choses comme des mécanismes, avec la ''taille de sablier'' ,le champ lexical du précieux dans ''Union libre'' avec ''ambre, champagne, or, rubis'' ou encore des éléments naturels ''Aux yeux

trouble la quiétude). La cour n'est en fait qu'une illusion, une illusion du pouvoir, de la richesse, de la connaissance… Candide vit donc au sein d'un monde d'illusions dont il est victime. Il croit à ce qu'il voit car il ne connaît que ce monde ; un microcosme qui n'est qu'incohérence.       Ce monde va changer à la suite d'une péripétie dont Cunégonde sera la cause (le baiser). Voltaire caricature en quelques sortes le départ de Candide en le montrant chassé du paradis terrestre comme Adam mais ici

C'est out son univers, tout ce qui lui importe. Verlaine aime la simplicité, la naïveté, le naturel de Mathilde. V dit que c'est tout ce qu'il veut et qu'il aime : c'est toute sa vie. C'est une revendication de la banalité qu'il apprécie. Sorte de microcosme : Aquatique : « rivière », « eau », « humides », « fraîcheur », « vif » Air : « air », « oiseau » La terre et la végétation Le feu : « le soleil », « chauffer et dore » - Volonté de s'attarder sur le paysage : Ralentissement v.1 : « doucement »

coups=ronds blancs →plus on l'attaque plus elle s’embellit B- Dernier p. : « formule »→ encore + valoriser → « formule » = plus petite → « très rare » = ordre des mots avec mise en relief car se trouve en début de phrase C- Huître = le monde → microcosme(huître) = cosmos(cieux) : huître = petite image du monde entier → « c'est un monde », et « A l'intérieur l'on trouve tout un monde » = métaphore filée entre l'huître et le monde → « firmament » (voûte céleste) favorise le rapprochement entre

trouve un fdèle ami en la personne de Quintin, un homme « taciturne et calme » (p. 364), embarqué de force pour les Amériques. À l’arrivée, la jeune flle est chargée d’établir le contact avec les Indiens. À l’inverse des colons cloitrés dans leur microcosme, elle symbolise l’ouverture vers le Nouveau Monde. Sa rencontre décisive avec Pay-Lo lui fait découvrir des vérités nouvelles, en accord avec sa nature ; c’est parmi les Indiens qu’elle réalise son émancipation. Au-delà du fou entourant leurs origines

soulignent la transformation : toutes les illusions sont tombées mais la foi en l’homme demeure : nous avons tous au fond de nous des talents cachés. Giroflée « et même devint » …effet de libération morale par le travail et non punition imposée. Le microcosme cf « petite société » montre que le nombre restreint de participants est une condition nécessaire de la réussite. L’image d’une société idéale est évoquée par l’idée d’une communauté librement consentie, chacun étant à sa place et utile aux autres