Microvillosité

qui vont s'effectuer entre la cellule et le milieu extérieur. Deux structures caractérisent ces dispositifs : * de petites excroissances que l'on appelle des microvillosités. Minuscule extension de la membrane exposée sur la face externe de la cellule. * Les Invaginations sont des dispositifs comparables aux microvillosités si ce n'est que les expansions sont orientées vers l'intérieur de la cellule. On trouve ses structures dans toutes cellules spécialisées dans les échanges entre

de la muqueuse intestinale est particulièrement adaptée à sa fonction d'absorption. Elle présente de nombreux replis : les valvules conniventes, observables à l'échelle macroscopique, les villosités, discernables au microscope optique et les microvillosités au microscope électronique. Chacune de ces structures augmente considérablement la surface d'absorption. ~ Il existe deux voies d'absorption en fonction de la taille des molécules : la voie sanguine et la voie lymphatique. La voie sanguine

action » selon les gradients de concentrations. Alors que la diffusion de l'un des deux substrats suit le gradient de concentration, l'autre peut éventuellement avoir lieu contre le gradient concerné : cela peut alors passer. Au niveau des microvillosités on a des transporteurs qui vont échanger des cellules du milieu extérieur à l'intérieur. La gluco-ATPase a été donc découverte qui ira diffuser dans le milieu intérieure et de l’autre, on a l'ion sodium qui est absorbé en même temps que le glucose

pathogénicité–Eléments structuraux•Antigènes (O157:H7…)•Fimbriae/adhésines: F1 à F13–Equipement enzymatique–Toxines•Ilôtsde pathogénicité:ex. LEE = locus of enterocyteseffacement :gènes nécessaires au phénomène d’attachement effacement = effacement des microvillosités intestinales Fimbriae : adhésines d’E. coliF1 :pilicommuns (type I)•F2 à F6 (K88, K99, Y, A35…) : adhésion aux cellules intestinales•F7 à F13 : adhésinesde type P = adhésion aux cellules uroépithélialespour les souches uropathogènesPouvoir toxique :Endotoxine

toutes les échelles d’observation, jusqu’aux cellules de l’intestin (les entérocytes). L’autosimilarité est donc flagrante. Détail de la paroi intestinale Vue d’ensemble de l’intestin grêle Épithélium Détail d’une entérocyte Détail de microvillosité Puis à l'aide d'un microscope optique nous avons réitéré l'expérience d'observation de lamelle de coupe fine, cette fois-ci d'intestin grêle : Coupe d’intestin d'humain (x40 ; x160 ; x400) Itération d’ordre 0 Itération d’ordre

nutriments qui sont absorber qui sont de très petite molécules organiques et des électrolytes qui sont sous forme de micelles (petite inclusion lipidique). On trouve ça autour de plusieurs cellule plus ou moins spécialisé, appeler entérocytes, des microvillosités et jonctions serrées. Ces cellules tapissent des dispositifs anatomiques d’augmentation des surfaces par des cloisons mésentériques des anémones ou des diverticules et cæcums intestinaux et chez les annélides il y a le typhlosoles mais aussi chez

d'allergie) en les capturant. Elles repèrent également les cellules anormales et déclenchent leur élimination. 4- Les cellules de Merkel sont des mécanorécepteurs à adaptation lente responsable de la sensation tactile fine qui détectent par leur microvillosité les déformations localisées, proches d’eux. B- Le derme est, quant à lui, riche en fibres collagènes et élastiques, qui assurent à la peau sa résistance et son élasticité : il forme la seconde couche de la peau. C'est au niveau du derme que

pauvre en organites cellulaires mais riche en éléments du cytosquelette avec des faisceaux contractiles d’actine et des points de contact focaux. Zone centrale : Il s’agit d’une zone plissée avec une bordure en brosse. On retrouve en effet des microvillosités irrégulières qui s’étendent de la surface cellulaire à la surface osseuse. Entre leurs pieds se trouvent des canalicules qui se prolongent profondément dans le cytoplasme et se termine au contact des lysosomes et des vacuoles de sécrétion.

villosités (Figure 7). La surface de chaque villosité est recouverte d'une couche de cellules épithéliales dont la surface membranaire émet de petites projections appelées microvillosités (également appelées collectivement bordure en brosse) (Figure 8). Cette combinaison de muqueuse repliée sur elle-même, de villosités et de microvillosités augmente la surface de l'intestin grêle d'un facteur 600 environ, par rapport à un tube plat qui aurait le même diamètre et la même longueur. La surface totale de l'intestin

chez l'homme, survivent deux mois dans l'eau et sont résistants a la chloration usuelle. Pathogénie et pathologie clinique : Le contact intime de la ventouse du trophozoite de G. lamblia avec l'anthérocyte peut endommager les microvillosités et le revêtement duveteux et réduire l'activité des enzymes de la bordure en brosse. On ne sait pas si G. lamblia peut lui-même susciter des modifications plus profondes de la structure des villosités ou si des lésions cliniques préexistantes