Milton Friedman Responsabilité Sociale De L Entreprise

Une éthique d’entreprise réelle et pragmatique ............................................. 5 1.1 1.1.1 1.1.2 1.1.3 L’éthique : un impératif pour l’entreprise contemporaine .........................................6 Une pression sociale accrue sur les entreprises................................................................ 6 L’entreprise ne peut réussir que dans un environnement durable ............................... 6 Quand éthique d’entreprise et recherche du profit ne sont pas incompatibles

Economiques – UMR 8019 CNRS) Faculté des Sciences Economiques et Sociales Bât. SH2 Université des Sciences et Technologies de Lille 59655 Villeneuve d’Ascq Cedex 03 20 43 45 90 sandrine.rousseau@univ-lille1.fr Nicolas Postel Maître de Conférences en sciences économiques à l’USTL (Université Lille1) Chercheur au Clersé (Centre Lillois d’Etudes et de Recherches Sociologiques et Economiques – UMR 8019 CNRS) Faculté des Sciences Economiques et Sociales Bât. SH2 Université des Sciences et Technologies de Lille

agrégats de la comptabilité nationale, le concepts de demande effective et de multiplicateur d’investissement, …) et d’une théorie générale qui semblent pouvoir revivre une seconde jeunesse après avoir été éclipsés par les idées monétaristes (Milton Friedman) dans les années 1970 qui ont permis de lutter contre l’inflation mais n’ont réussi à empêcher ni le chômage de masse, ni le sous emploi, ni la répétition de Krach et de crises, dont la plus récente et la plus grave depuis 1929 est partie des

LA RESPONSABILITE SOCIALE DE L’ENTREPRISE,, A ESPONSABILITE SOCIALE DE L’ NTREPRISE ELEMENT INCONTOURNABLE DU DEVELOPPEMENT ELEMENT INCONTOURNABLE DU DEVELOPPEMENT DE L’ENTREPRISE DE L’ENTREPRISE ET ET DE SES RESSOURCES HUMAINES DE SES RESSOURCES HUMAINES Mémoire réalisé par Véronique Dubouchet, Yaël Ponçon et Philippe Taupenas MBA MRH – Décembre 2004 Université de Paris Dauphine Mener ce projet sur un sujet si riche et si vaste nous a demandé de nous appuyer sur des experts, de faire

default swaps ou assurance sur incidents de crédit) souverains à nu, des instruments spéculatifs dont les détenteurs parient sur le défaut de paiement des états. Les CDS sont des contrats de couverture contre le risque de défaut de paiement d'une entreprise ou d'un pays. Les CDS souverains s'appliquent à la dette des Etats : ils agissent comme des contrats d'assurance dont le paiement est déclenché en cas de faillite d'un pays. Dans le cas de CDS souverains "à nu", ces assurances s'échangent sans que

qu’elle implique entraîne le risque d’un écroulement du système capitaliste qui pourrait déboucher sur le bolchevisme ou le fascisme. Pour Keynes, «le problème politique de l’humanité consiste à combiner les choses : l’efficacité économique, la justice sociale et la liberté politique. » En 1929, il est nommé membre de la commission Macmillan pour étudier la situation économique et prône une intervention active de l’état dans l’économie. L’assaut contre la citadelle Keynes commence sa carrière d’économiste

société dans laquelle elle agit et que l’on « ne construit pas un succès sur un désastre sociétal », une entreprise doit jouer son rôle de bon citoyen en participant à l’amélioration de la société et non seulement de quelques-uns de ses membres indivi- duels, qu’ils soient clients, travailleurs ou actionnaires… Plusieurs nouveaux mouvements du marketing reposent ainsi sur deux concepts : les entreprises doivent prêter attention non pas aux besoins et désirs des clients mais à l’intérêt de ces derniers

CHAMBERLIN | CLARK | COASE | COLBERT | CONDILLAC | COURNOT | COVARRUBIAS (de) |   |   | DUESENBERRY |   |   |   |   | EDGEWORTH | ENGEL |   |   |   | FISHER Irving | FITOUSSI Jean-Paul | FOGEL Robert | FOURASTIÉ Jean | FRIEDMAN Milton | FRIEDMAN (David) | | | |   | GALBRAITH | GIFFEN | | |   | HAAVELMO | HARROD | HAYEK (von) | HECKSCHER | HICKS | HIRSCHMAN |   |   |   | KAHN | JEVONS | |   |   |   | KALDOR | KEYNES | KLEIN | KUZNETS |   | LAFFER | LAFFEMAS

Une économie monétaire est "une économie où la variation des vues sur l'avenir peut influer sur le volume actuel de l'emploi, et non sur sa seule orientation (Keynes, p. 15)". Les anticipations (opinions sur le futur) des agents économiques (entreprises, ménages, banques, État) produisent une réalité économique: l'état du marché. Les prétendus mécanismes du marché sont l'objectivation des opinions des hommes (propension à consommer, incitation à investir, préférence pour la liquidité). Par l'intermédiaire

et de l’emploi dans leur ensemble. » C’est ce qu’on appelle une « macroéconomie ». L’équité de plein emploi est quasi impossible. Il existe un agent qui a une capacité d’action macroéconomique. Il s’agit de l’Etat. Il va redonner confiance aux entreprises du marché. Ainsi, l’économie augmentera. En 1936, Keynes a dit : « J’ai écrit un ouvrage valable pendant 40 ans. » Quarante ans plus tard, en 1976 débutait la crise. On vit dans un monde où l’on cache la vérité en changeant les mots. Ainsi, une