Miroir Altérité

Postée face à mon miroir, je m’observe attentivement. Comment peut-on être aussi mignon et adorable lorsque nous sommes enfant et devenir si disgracieux en vieillissant ? Ce qui m’insupporte dans mon physique, ce sont mes cheveux. Ils sont secs et plutôt ternes, ce qui dénote certainement chez moi un manque de vigueur. Mon visage est assez banal, mais mon nez retroussé ressemble à celui d’un magnifique petit cochon, tellement gracieux ! J’ai une dent fêlée, qui est un excellent exemple de ma fâcheuse

visuel Tableau Image fixe PRES Petite histoire de l’autoportrait en peinture L’autoportrait se développe dans la peinture occidentale à partir du XIVème siècle. Connu depuis l’antiquité, il peut bénéficier de nouvelles découvertes techniques : miroir de verre, peinture à l’huile qui permet un plus grand réalisme grâce à un rendu plus précis des détails. L’autoportrait est d’abord « situé », c’est-à-dire intégré à une vaste scène, généralement religieuse. Le peintre est perdu parmi les autres portraits

d’actions et de temps perdu ! Elle s’assoit, sort son miroir et sa trousse de maquillage pour s’admirer encore et encore à chaque heure de la journée et se retrouver face à son reflet qu’elle idolâtre tant. Un petit sourire satisfait accompagne son regard qui ne peut se détacher de cette glace. La perte de ce miroir lui serait surement fatale. Tout ce qui lui renvoie une image d’elle ou qui pourrait l’embellir trouve sa place dans son sac : miroir, vernis, maquillage, brosse à cheveux, bijoux et même

insiste bien sur la fausseté dont elle a su faire preuve. Ceci est bien mis en évidence aussi dans le film de Frears, notamment à travers l’usage des miroirs qui permettent de créer un autre personnage. Un exemple éloquent peut être le moment où Valmont se rend chez Tourvel pour rompre. De fait, hésitant au départ, il lui suffit de se regarder dans le miroir pour redevenir le libertin cruel qu’il se doit être à ce moment. Il en va de même dans le scène de charité où Valmont joue son rôle puisqu’il se

protestent contre cette séparation. Pour la rendre plus supportable, on donnera à chacun un portrait, mais un seul, au choix. Azor prend celui d’Églé, mais c’est son propre portrait qu’Églé réclame aussi. Puisqu’elle ne peut en avoir deux, on lui donne un miroir. Azor s’en va. Une seconde jeune fille entre, c’est Adine. Elle vient de quitter son ami Mesrin qu’elle aussi a vu ce jour-là pour la première fois. Les deux jeunes filles s’étonnent de ne pas produire l’une sur l’autre l’effet qu’elles ont produit

parties du corps tronquées. Jeux de symétrie. L’alternance des plans en parallèle se termine sur un faux champ/contrechamp : doubles et rivaux, les deux personnages se trouvent alternativement face à la caméra, qu’ils fixent comme leur reflet dans le miroir, comme leur adversaire avant le combat. 2 Les points de vue : plongée et contre-plongée Exercice à partir de deux scènes dans l’escalier : 00 :10 :40, 01 :32 :25. Résultats de l’observation : L’escalier est le lieu privilégié des rapports

montrent des situations concrètes et familières, qui sont proches du lecteur et ancrées dans la réalité sociale. Le réalisme aboutit, dans les années 1880 à la création du naturalisme (Emile Zola).  L’histoire du mouvement : Le roman est le miroir de la société : Dans la première moitié du XIX siècle, Stendhal et Balzac ont une ambition commune, faire de la littérature le reflet de la réalité en dressant le tableau de la société dans son ensemble et en prenant en compte les différents milieux

la peinture, car il montre une œuvre en train d’être réalisée. Mise en abîme de son activité artistique : il montre une œuvre entrain d’être réalisé. Un miroir à l’arrière plan réfléchit irréalistement les images de la reine et du roi (sachant qu’aucuns tableaux n’existent d’eux), en train d’être peint par Vélasquez. Par le jeu du miroir le couple royale semble être placé hors de la peinture, à l’endroit même où un observateur se placerait pour voir celle-ci, soit avec nous, ou à nos côtés,

| |Effet de chaleurs grâce aux miroirs qui répercutent l’électricité : | |C’est le même effet que lorsqu’un met un miroir dans un axe quelconque du soleil : la lumière et la chaleur se répercute contre le | |miroir donc qui brule

magique qu’est le miroir, a été pendant toute cette année de silence, de nombreuses occasions d’entrer dans le sigle VITRIOL, mot que j’essayais de traduire et de comprendre dans la solitude du cabinet de réflexion. A cette époque, si on peut dire, j’arrangeais les lettres de vitriol verticalement, et je voulais écrire un mot pour chaque initiale, - je pensais V c’est vigilance, T c’est travail, c’est évident, R c’est recommence…. mais j’étais tellement ignorant ! Le miroir est le reflet de la