Misère Du Progrès

les fronts, dans les cœurs la pensée,Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! -D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin !Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre,Qui produit la richesse en créant la misère,Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil !Progrès dont on demande : « Où va-t-il ? que veut-il ? »Qui brise la jeunesse en fleur ! qui donne, en somme,Une âme à la machine et la retire à l'homme !Que ce travail, haï des mères, soit maudit !Maudit comme le vice où l'on s'abâtardit

du capitalisme, de nouveaux problèmes sociaux apparaissent. EX : Misère des prolétaires, travail des femmes et des enfants,… -La question social de l’époque pose problème et amène à la réflexion. Face à cela, on va se rendre compte que le progrès n’est pas absolu, il y a des paradoxes. En effet, comment un progrès technique qui devait améliorer les vies a-t-il créé une nouvelle misère ? En parallèle avec cette nouvelle misère, il y a une transformation du lien social. Il y a une individualisation

« Les Migrations Européennes au XIXème siècle » Au XIXe s., des flots d’Européens décident de quitter leur continent « L’Europe », pour des raisons souvent éco-politique (misères, salaires bas ou chômage, persécutions « Pogroms » …). Et ce, dans l’espoir d’un changement radical dans leur vie. Ils cherchent le travail, la prospérité économique, faire fortune «C’est le Rêve Américain ». Ils se dirigent le plus souvent vers les Etats-Unis ; symbole du développement économique et Industrielle,

dans les cœurs la pensée, Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! - D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre, Qui produit la richesse en créant la misère, Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil ! Progrès dont on demande : « Où va-t-il ? que veut-il ? » Qui brise la jeunesse en fleur ! qui donne, en somme, Une âme à la machine et la retire à l'homme ! Que ce travail, haï des mères, soit maudit ! Maudit comme le vice

maladie « fièvre » « rachitisme » « pâleur », puis sur le moral avec la solitude et la tristesse, et enfin celles sur l’intellectuelle et le social « misère »(V135). Il s’indigne sur l’incompatibilité des enfants et du travail tout au long du poème et sur les conséquences du progrès. Il accuse l’évolution, le progrès lorsqu’il dit « le progrès dont on demande : Où va-t-il ? Que veut-il ? ». Il qualifie le travail de « souffle étouffant ». Cet oxymore dénonce l’asphyxie du lieu et donc des conditions

beaucoup d’enfants et vit dans la misère car comme elle ne travaille pas elle a du mal à les nourrir avec le seul salaire de son mari. Alors qu’au Kerala, qui est un exemple de réussite en éducation, santé et planning familial, 87% des femmes sont alphabétisées et la moyenne d’enfants par femme est de 1,8. Si plus de régions étaient comme cela, les problèmes démographiques seraient résolus et ne freineraient plus le développement du pays en l’enlisant dans la misère. Après, il y a un autre facteur

l'Amérique du nord. Elles transforment l’économie mais aussi la société et les rapports sociaux. On observe un grand changement, on passe du monde rural (avec l’agriculture) à un monde urbain (avec l’industrialisation), et cela se caractérise par le progrès général du niveau de vie des individus. Les révolutions industrielles créent de nouvelles hiérarchies sociales. On assiste en particulier à la naissance d’un monde ouvrier de masse (appelé prolétariat par Marx) et au développement d’une bourgeoisie

Le désir est-il la marque de la misère humaine ? Introduction  L’Homme partage, avec l’ensemble des êtres vivants, des besoins vitaux. Mais, il est le seul à ne pas en rester au nécessaire assouvissement. Il est, en effet, capable de les transcender par le désir. Il semble donc que le désir – ou plutôt la conscience désirante- élève l’Humain au dessus des autres espèces et contribue à sa « grandeur ». Le désir le fait exister et non survivre. Pourtant le désir n’a pas, à la différence du besoin

thèse. Sa thèse peut se reformuler ainsi : « la vie sauvage et individuelle garantissaient les bonheur des hommes. Des la mise en commun des compétences et des biens, la propriété a entraine l’inégalité des hommes et donc le malheur ». Le travail, la misère et l’esclavage est associe a l’agriculture. Le 1er paragraphe est une longue période oratoire qui comporte l’anaphore de la locution « tan que » en tête de proposition et est répété 3fois. (À citer). Temps utilisé  passé simple (citer)

plaît pas. C'est alors que Voltaire arrive à son tour à Genève, ce qui pousse Rousseau à partir. Son œuvre doit son succès à Voltaire, qui l'a déformée: c'est donc un succès de scandale et Rousseau en souffre. Il a des crises de révolte contre la misère du peuple, il n'est pas un bel esprit comme son ennemi Voltaire ou Beaumarchais: un très riche parvenu. (On retrouvera cependant un côté rousseauiste dans l'œuvre de ce dernier à travers Chérubin). Après son exode, Rousseau part à Paris où il trouvera