Misère Du Progrès

des conséquences. I) Les Causes du départ a) Le Surpeuplement et la misère L’émigration remonte aux Grandes Découvertes. La cause première en est l’accroissement de la population suite à la transition démographique (surpeuplement). Etant un pays en surpopulation, le chômage augmente alors, d’autant plus que les progrès de l’agriculture font reculer les besoins de main-d’œuvre dans les campagnes (misère). b) Le choix de l’exil. Beaucoup de migrants migrent suite à une séduction

face aux cris de détresse. Melancholia contient un message que Victor Hugo veut faire passer : la surdité des hommes par rapport à l’esclavage de cette époque. Pour lui le progrès est responsable de ce massacre. Il estime que faire travailler des enfants dans de telles conditions n’est pas digne de progrès « le progrès dont on demande, où va t-il ? ». Ces doux êtres ne devraient pas travailler comme cela ! Ces innocents sont des êtres jeunes et naïfs qui ne comprennent pas forcément ce qui leur

d’emprisonnement des enfants.Ils sont de véritables outils à production, ils sont employés par des adultes pour le profit « travailler quinze heures sous les meules, de l’aube au soir ». Les enfants sont donc des machines « qui produit la richesse en créant la misère ». Nous pouvons de même remarquer une gradation ascendante concernant cet univers infernal « prison, bagne et enfer », ce qui implique très fortement le lecteur dans ce monde d’esclavage que subissent les innocents. 2) Dénonciation de ses conséquences:

véritables outils de production, employés par des adultes pour le profit → « Travailler quinze heures sous les meules » « De l’aube au soir » → Les enfants sont donc des machines « Qui produit la richesse en créant la misère » Leurs conditions de travail sont « infâmes » - Pour Victor Hugo, le monde de l’usine est comparable à l’enfer, il emploie à différents moments des métaphores pour insister sur la personnification des machines → « Accroupis sous les

la saleté, elle-même reflet de la misère morale « vallée [allusion à la vallée des larmes bibliques ; psaume 84 :6-8 ??] remplie de souffrances réelles ; terriblement agitée ».  -Les lignes suivantes sont construites sur un contraste : Paris est agité, emporté dans une course au progrès et à l’argent et détruit tout sur son passage : « il faut je ne sais quoi d’exorbitant pour y produire une sensation de qq durée ». L’individualisme empêche de voir les misères d’autrui Mais l’histoire du Père Goriot

travail des enfants. Il dénonce le profil que ce travail produit « Qui produit la richesse en créant la misère ». «  Que ce travail, haï des mères, soit maudit ! ». Hugo n'accusent pas « les mères », il sous entend que c'est la misère qui crée l'exploitation sociale. Les Hommes ne sont pas assez payer donc cela les poussent à envoyer les enfants travailler à l'usine. Il remet en cause le progrès « progrès dont on demande : Où va-t-il ? Que veut-il ? ». Le travail des enfants est immorale « Maudit comme

« sous-développé » (underdeveloped)2 : « Il nous faut lancer un nouveau programme qui soit audacieux et qui mette les avantages de notre avance scientifique et de notre progrès industriel au service de l'amélioration et de la croissance des régions sous-développées. Plus de la moitié des gens dans le monde vit dans des conditions voisines de la misère. Ils n'ont pas assez à manger. Ils sont victimes de maladies. Leur pauvreté constitue un handicap et une menace, tant pour eux que pour les régions les plus prospères

et de leur docilité est un acte déloyal. Hugo par son poème Mélancholia vise à améliorer le sort des enfants pauvres, et dénonce le travail qu’ils subissent « Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre / Qui produit la richesse en créant la misère / Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil ! (…) Que ce travail, haï des mères, soit maudit ! ».Grace à Victor Hugo et à Zola il y a eu une prise de conscience en Occident et le travail des enfants n’existe plus en Europe. Mais des enfants part

révolution industrielle ”. Ainsi, déjà dans ces termes est annoncée l’analyse marxiste qui sera théorisée en 1848 et qui sera par la suite le point de départ de la pensée syndicale qui permettra des progrès dans la condition ouvrière. _A une nouvelle société correspond de nouvelles valeurs, le travail et le progrès notamment. Ainsi toute la population travaille constament pour développer l'industrie. Selon Engels, “ on fabrique à l’aide de machines de plus en plus complexes ” autrement dit les inventions

(l.11). Ici, Rousseau joue sur le double sens des mots car la «sueur» renvoi à la pluie de souffrance pour ces moissons. «L’esclavage» et la «misère» sont considérées comme des plantes car il joue avec l’association concret abstrait. Pour rendre son propos plus satirique, il utilise une antithèse parlante en opposant la mort avec «l’esclavage» et la «misère» à la vie avec «germer» et «croître». Enfin des éléments renvoi à un caractère péremptoire avec une phrase longue dont l’idée est rendu inéluctable