Mitose Et Replication

limitant au cas des organismes pluricellulaires. Bilans : divisions cellulaires, ADN, gène, allèles, brassage génétique. La méiose est la succession de deux divisions cellulaires précédée comme toute division d’un doublement de la quantité d’ADN (réplication). Dans son schéma général, elle produit quatre cellules haploïdes à partir d’une cellule diploïde. Au cours de la méiose, des échanges de fragments de chromatides (crossingover ou enjambement) se produisent entre chromosomes homologues d’une

– 4EME ANNEE DU SECONDAIRE Page 29 DIVERSITE GENETIQUE En secondaire III tu as vu comment chaque cellule d’un organe eucaryote possède dans son noyau un ensemble d’instructions constituant son programme génétique. Une cellule qui se divise par mitose transfère à chacune des 2 cellules filles qui en dérivent le même matériel chromosomique, les deux cellules filles reçoivent le même héritage génétique. La reproduction sexuée réalise elle aussi un transfert génétique mais surtout un brassage de

remarque que la diplophase prend de l’importance au détriment de l’haplophase quand on monte dans la classification. Chez les mammifères, l’haplophase est limitée aux seuls gamètes mâles et femelles, qui ne se divisent pas. Il n’y a donc pas de mitose haploïde, et le cycle est dit dans ce cas, diplobiontique. Cours de Génétique Formelle. J. Aubert & E. Meglécz. 2007 4 Le brassage du matériel génétique qui assure la production des différences individuelles se fait à deux niveaux : - au

bactérien, ce qui provoque la mort de la cellule. La polymyxine, la colistine, la bacitracine, la tyrothricine, qui sont des polypeptides cycliques à caractère basique, agissent ainsi. Action sur la réplication de l’ADN L’actinomycine D, les rifamycines, l’acide nalidixique perturbent la réplication de l’acide désoxyribonucléique. Importance de la pharmacocinétique 347 Action sur la traduction de l’ARN messager L’ARN messager ou l’ARN de transfert sont les cibles des antibiotiques et les

au sexe. – Description des différentes étapes de l’expression de l’information génétique à partir d’un schéma donné. – Définition de la réplication, de la transcription, de la traduction. – Présentation, à partir de schémas donnés, des différentes phases de la mitose, de la méiose et énoncé de leurs particularités. – Indication des caractéristiques de la mitose et de la méiose sur le plan chromosomique. – Indication de l’importance de l’activité mitotique selon le type de cellules et des variations

macroscopique et/ou des métastases. Le cycle cellulaire de la cellule tumorale est, comme pour toute autre cellule, constituée de 4 phases successives :  La phase G1 de préparation à la réplication ;  La phase S de réplication de l‟ADN ;  La phase G2 de préparation à la mitose ;  La phase M ou mitose (dédoublement des chromosomes). La thérapeutique repose sur la chirurgie, la radiothérapie et les traitements anticancéreux médicamenteux. Ces derniers sont les médicaments cytotoxiques,

concept de ploïdie (gamètes haploïdes et zygotes diploïdes). C’est pourquoi la loi de pureté des gamètes de Mendel semble si « gratuite », si peu réelle aux biologistes de l’époque, alors qu’elle prendra toute sa signification quand la découverte de la mitose et de la méiose lui donneront une base cytologique objective, expliquant le comportement des facteurs héréditaires par celui des chromosomes qui leur servent de support. 1 • L’approche factorielle et formelle du mendélisme 9 Encart 1.1 A B Le

en 1981, cette maladie mortelle est caractérisée par une immunodéficience progressive et sévère. II.B. Définition II.B.a.L'infection HIV L'infection HIV est une maladie infectieuse, transmissible, strictement humaine due à la pénétration et à la réplication du virus de HIV dans l'organisme II.B.b.Le sida Le SIDA est la forme tardive, la forme compliquée, le stade avancé de cette infection. C'est un syndrome lié à un affaiblissement important du système immunitaire dû au virus VIH II.C. Agent pathogène

phénotype morphologique d’un individu est le résultat des interactions entre l’expression du génotype et son contrôle par l’environnement. L’établissement de ce phénotype met en jeu un ensemble de processus biologiques dont des gènes sont responsables (mitose, métabolisme cellulaire, action d’hormones, mise en place des structures de l’organisme). Les gènes gouvernent à la fois les grands traits de l’organisation et les détails de la structure, en permettant la synthèse de protéines spécifiques aux diverses

répartition des cellules dans le cycle cellulaire. La quantité d’ADN d’une cellule diploïde varie de 2 N (phase G 0 : cellule au repos ou G 1: cellule en cycle mais n’ayant pas encore répliqué son ADN) à 4 N (cellule ayant répliqué son ADN: phase G2 et M - mitose). On colore les cellules par du iodure de propidium qui se lie stoechiométriquement à l’ADN. L’analyse de l’intensité de fluorescence permet de quantifier l’ADN dans chaque cellule et de repérer sa position dans le cycle cellulaire (cf Lodish, p 179