MITRE

sacrée n’apparaissent pas du tout dans le récit de Voltaire. Il ne présente au contraire que les détails matériels : procession, musique, costumes. La dimension artificielle est renforcée par les indications concernant les tenues des personnages : « mitre de papier », « peints de flammes ». Le sens de la cérémonie n’est pas donné et les acteurs s’effacent derrière un « on » collectif et de nombreuses tournures passives. On a l’impression que seul subsiste sous la plume de Voltaire des gestes, des mouvements

maître tout puissant. Il tient dans une main le sceptre et dans l'autre le fouet. Osiris est le dieu des morts et le garant de la survie du défunt dans le monde souterrain. Il est représenté comme un homme momifié au visage vert ou noir coiffé de la mitre blanche, couronne de Haute-Egypte, flanquée de deux plumes . ISIS : Soeur et épouse d'Osiris, Isis est à la fois déesse et magicienne. Elle triomphe de la mort en ressuscitant Osiris. Elle est la mère universelle, celle qui donne naissance à tous

ce tableau a une symbolisation particulière ou représente quelque chose. La couronne ou les statuettes représentant un roi, empereur… symbolise le pouvoir. Les épées, les casques, les armures, le bouclier et les flèches symbolisent la guerre. La mitre symbolise la religion .L’or ou les diamants incrustés dans la couronne royale signifie la richesse. Le chevalet symbolise l’art et la viole, le violoncelle symbolise la musique. Ceux-ci représentent les plaisirs terrestres. Le tombeau symbolise la

 de Barrès sans oublier l’embrigadement de la jeunesse dans les grands mouvements du XXe siècle ont pris également le partie d’en faire un sujet de société. APLICATION UNEAIRE« LErTR ALA RUNES Introduction ‘ian Xke sic, ae, Orytus dct un mitre haut roe do ‘ontanlon pq, te rove accuse pour tannon, pus sara ‘xc do Tame avec ue ple da psn. Em Zla uta jusice Pour ren. esr eon mind aii none Farle joccore 0 8 pron i ense du cape. Ee ve cece tout comme ate 8a unesse pal syle de te ouvert. ‘Tocco

vertu de trois jeunes filles, le sauvetage de bateaux en perdition, la résurrection d'enfants, etc.  La célébration de la fête de Saint-Nicolas a finalement débouché sur une fête qui célèbre les enfants. Saint-Nicolas voyage à dos d'âne, porte une mitre d'évêque, est vêtu d'un long manteau rouge et est accompagné par des personnages qui diffèrent selon les régions (Dame Perchta, Hans Trapp, Frau Hollé, Zwarte Piet ou le Père Fouettard). En France, le Père Fouettard était là, dans la légende, pour

que le pape a accepté presque de force de participer au couronnement ce que David veut montre. Mais David met au premier plan l'archevêque de Paris, qui tient une croix, et des évêques que l'on reconnaît à leurs mitres. Le pape ne porte ni tiare, ni mitre on le reconnaît car il porte un pallium qui est l'un des attributs de la souveraineté romaine. C'est grâce à cela que l'on identifie. Le peintre se trouve avec sa famille dans les tribunes alors que bien sur il n'était pas là le jour du sacre dans

d’approbation : tous deux furent menés séparément dans des appartements d’une extrême fraîcheur, dans lesquels on n’était jamais incommodé du soleil ; huit jours après ils furent tous deux revêtus d’un san-benito, et on orna leurs têtes de mitres de papier : la mitre et le san-benito de Candide étaient peints de flammes renversées et de diables qui n’avaient ni queues ni griffes ; mais les diables de Pangloss portaient griffes et queues, et les flammes étaient droites. Ils marchèrent en procession ainsi vêtus,

était généralement en laine et longue. Il existait aussi la palla qui se mettait en dessous de la stola et qui servait à couvrir les épaules et parfois la tête. C’est trois habits étaient les principaux de la femme. Elle s’ornementait aussi d’une mitre qui était une écharpe colorée, d’un strophium, une ceinture qui se porte sur la poitrine et d’un reticulum, une résille et bien d’autres... Lors de cérémonies, la femme était vêtue d’une cyclas, une robe dont le bas était caractérisée de broderies

vision du monde I- Un nouveau regard porté sur l'homme A- Une prise de conscience de l'individu • Au Moyen Age, la peinture de portrait n'existe pas. L'artiste représente des fonctions sociales associées à des symboles (couronne, fleur de lys, mitre, tiare …) • Le portrait apparaît au XVème siècle [J. Van Eyck, les epoux 1434 = portrait + autoportrait] └> intérêt pour l'individu l'individualisation [L. de Vinci, La Joconde + 2 p.192] => L'art doit imiter la nature └> Réalisme [S. Botticelli

trois ordres de la société : - La noblesse avec l'armure et l'épée (à gauche),- le tiers état sous les traits d'un paysan avec sa pelle (au centre), - le clergé en la personne d'un évêque avec sa crosse(bâton d'évêque un peu comme pour un imam) et sa mitre (chapeau élevé coiffant les évêques). L’auteur souligne l'infériorité du tiers-état qui porte, seul, le lourd fardeau du globe symbolisant la France tandis que la noblesse et le clergé restent dans l’oisiveté (vivent sans travailler). Question 5 Pour