Mitterrand Au Parlement 8 Avril 1986

constitution de la Vème république a été rédigée en 1958. Met fin à instabilité ministérielle en renforçant e pouvoir exécutif. Personnalité de DG domine vie politique au long des années 60. Mais ni son départ en 1969, ni l’élection du socialiste Mitterrand en 1981 ne fragilisent institutions. Malgré difficultés économiques et montée des extrêmes, font preuve d’une grande souplesse. Durant période, on peut faire distinction entre : - République gaullienne, de 1958 à 1969 - La Vème république après

pouvoirs du président de la république. 3) Les cas particuliers de la présidence française. 1) Les différents présidents de la République et les grandes lignes de leur mandat. Charles de Gaulle (22/11/1890 ; 09/11/1970) : Elu le 8 janvier 1959 au 28 avril 1969. Son parti politique est l’Union pour la nouvelle République (UNR) et l’Union pour la défense de la République (UDR). Il fait adopter une nouvelle Constitution qui fonde la Cinquième République. Facilement élu président de la République

de chacune des deux assemblées2 (ce qui survient à cinq reprises : Charles De Gaulle le 9 octobre 1962 puis le 30 mai 1968, François Mitterrand le 22 mai 1981 puis le 14 mai 1988, Jacques Chirac le 21 avril 1997). Formellement, la Ve République est un régime parlementaire moniste puisque l'article 20 dispose que le gouvernement est responsable devant le Parlement (ou plus précisément devant l'Assemblée nationale qui, en vertu des articles 49 et 50, est la seule des deux chambres à pouvoir renverser

: 1) Innovations introduites dans la procédure et explications justifiant leur introduction. - Texte envisagé : « révision appartient concurremment au Psdt, au PM et aux membres du parlement ». Art. 89 C actuel : « révision appartient concurremment au Psdt sur proposition du PM et aux membres du parlement ». = explications : c’est le problème de l’initiative qui se pose ici. Texte de l’article 89 C. est conçu seulement pour les périodes de concordance des majorités. En effet, si tel

et à l’écart du parlement (car les partis engendrent l’instabilité) -Projet de nvelle constitution (rédigée en trois mois). Principal soutien : Michel Debré qui va élaborer cette constitution reprenant les principes du discours de Bayeux énoncé par De Gaulle en 1956 : [Séparation des pouvoirs| Le président de la république est au dessus des partis, il a le pouvoir exécutif renforcé et très important et nomme le gouvernement | le pouvoir exécutif ne doit pas dépendre du parlement qui possède le

François Mitterrand I . Vie Privée François Mitterrand est né dans à Jarnac au sein d'une famille bourgeoise catholique et conservatrice. Son père Joseph était ingénieur de la Compagnie du Chemin de fer de Paris à Orléans, puis devint industriel vinaigrier et président de la fédération des syndicats de fabricants de vinaigre. Sa mère, Yvonne Lorrain, issue d'une famille de tradition républicaine, était la fille de Jules Lorrain, un négociant en vins et

Pompidou | | (3e) 1974-1981 | |Valéry Giscard d'Estaing | | (4e) 1981-1995 | |François Mitterrand | | (5e) 1995-2007 | |Jacques Chirac | | (6e) 2007- | |Nicolas Sarkozy | |[pic] | |Pouvoir législatif | | Parlement |Parlement français | | Chambre haute | |Sénat | | Chambre basse | |Assemblée

La France depuis 1958 La fin de la IVe République et la naissance de la Ve Crise de mai 1958 et le retour de De Gaulle Article détaillé : Crise de mai 1958. La guerre d'Algérie entraîne une crise politique profonde. Depuis la mi-avril de l'année 1958, la France se débat dans une crise gouvernementale. Le chef du gouvernement, Pierre Pflimlin, essaie d’obtenir l'investiture de l'Assemblée nationale. Le 13 mai, des manifestants envahissent le gouvernement général d'Alger. Ils créent des "Comités

le cinquieme republqueLorsque les majorités parlementaire et présidentielle sont antagonistes (cohabitation), le gouvernement n'est plus lié au président mais seulement au Parlement au sein duquel il puise sa légitimité. On en revient à une lecture moniste de la Constitution bien que le chef de l'État conserve de façon coutumière un droit de regard sur le « domaine réservé » (affaires étrangères et militaires) qui tend à devenir alors un « domaine partagé » (c'est pourquoi les deux têtes de l'exécutif

François Mitterrand). Il s’agit en fait de la conception gaullienne de la primauté du chef de l’Etat. Le Président bénéficiant d’une légitimité électorale populaire directe depuis 1962, il lui revient logiquement le pouvoir de diriger le pays en fonction de ses propres volontés, aidé dans cette tâche par le Premier ministre qui ne prend cependant jamais l’initiative, ni la responsabilité de quelconques mesures. À cet égard, les premiers mois du premier septennat du Président François Mitterrand semblent