Mme Pernelle

est touchant, même si nous désirions lui voir plus de fermeté. Valère est un jeune homme amoureux qui s'harmonise bien avec Mariane. Il se montre généreux et désintéressé, profondément attaché déjà à la famille d'Orgon (acte V, scène VI). Mme Pernelle, « c'est une vieille dame, insupportable, têtue, rageuse, de bonne bourgeoisie française. Elle a vu Henri IV, le grand Cardinal, les Frondes, François de Sales. On ne lui en conte point. Elle a savouré le supplice de Ravaillac; «elle est dure à

2011-2012 RAPPORT DE STAGE Organisation des activités de maintenance du service technique au sein du Groupe Pierre & Vacance Center-Parcs Stage effectué du 26 Mars au 15 Juin 2012 7 allée François Mitterrand 49 000 Angers Tuteur pédagogique : Mme Anne Rey Maître de stage : M. Marc LE MAO Remerciements Je tiens particulièrement à remercier mon maître de stage M. Marc LE MAO, responsable technique du pôle Finistère, ainsi que M. Franck POCHIC et M. Antoine THOMMELIN pour m’avoir accueilli

amant, Valère, ils ne sont que très peu présents. Par son statut de fille d'Orgon, elle appartient certes aux premiers rôles, mais si on se réfère à sa présence dans la pièce, elle n'est que secondaire. Enfin : les seconds rôles : Damis, Madame Pernelle, Valère... En ce qui concerne Tartuffe, on remarque qu'il n'est pas présent du début à la fin de la pièce. Il n'apparaît pas avant la scène 2 de l'Acte III, et ensuite, il est absent de presque tout l'acte V. Son temps de présence sur scène est

marque aussi le caractère extraordinaire de ce dénouement qui apporte le soulagement à la famille. L’expression « Que Dieu soit loué" est un jeu de mots de la part de Dorine en opposition au mot "ciel" employé par Tartuffe tout au long de la pièce. Mme Pernelle est orgueilleuse comme le montre la réplique "Maintenant je respire" car elle ne veut pas avouer qu'elle s’est trompé, ce qui provoque la touche comique. Elmire, manifeste sa satisfaction avec un effet de répétition avec le vers ‘’Favorable succès"

Egocentrique: ne se soucie pas de sa fille, veut tromper ouvertement sa femme (dernière réplique de la pièce: "à qui la voudra") Madame Jourdain: Pleine de bon sens et d'énergie, mais pas bornée comme Mme Pernelle. N'a pas honte d'être bourgeoise et veut pouvoir être à l'aise avec son gendre. Lucile: Fille de M. et Mme Jourdain. N'a pas hérité de la forte personnalité de sa mère. Nicole: servante classique, au langage direct et savoureux, mais moins active dans l'intrigue que son amoureux, Covielle. Cléonte:

Pierre se renseigne auprès du Dr Pirette. Fait ses adieux à Marowsko et à la serveuse de la brasserie. Préparatifs pour le départ. Pierre s’adoucit la veille du départ. Lassitude. Les adieux de la famille sur le navire. Pierre s’éloigne. Jean va épouser Mme Rosémilly. Le couple Roland va mener une vie paisible, le père Roland ne s’est rendu compte de rien. Incipit : commencement d’un roman. Exicipit : fin du roman. IV. Objet d’étude : le théâtre. Codes du théâtre : unité du lieu : tout se passe

Dvps : I) Une scène d’exposition a) Informer b) Interesser c) Surprendre II) La violence de l’entrée a) Une sortie paradoxale b) Violence verbale, violence physique III) L’intrus a) Tartuffe vu par la famille b) Tartuffe vu par Mme Pernelle Conclusion : exposition original et mouvementée. Les deux absents qui semblent constituer les enjeux de l’action. La scène repose sur un paradoxe entre le registre comique et religieux. Des rapports de forces inégaux sont mis en place. Le spectateur

droit d’intervenir et de s‘opposer. Elle le fait en plus par conviction morale, sous le coup de l’indignation. Parmi les sages, elle est la plus énergique, elle est celle qui groupe les forces et mène la lutte. Dorine est la première à interrompre Mme Pernelle en fureur22, et elle est à peu près la seule, à part quelques interventions de Cléante, à raisonner et à lui tenir tête tout au long de la scène. Mais c’est aussi le cas de Toinette. A la fin de la pièce, elle obtient un allié en personne de Béralde

choquer les dévots sincères, il faut rechercher d'autres explications à la violence du conflit. Ainsi, la pièce met en scène deux conceptions de la religion, une forme austère que notre poète stigmatise au travers des personnages ridicules, Orgon et Mme Pernelle, et une pratique plus mondaine et plus «raisonnable», autrement dit plus laxiste et plus dangereuse. Et cela fait nettement écho à un conflit ouvert qui ne manquera pas d'opposer, un peu plus tard la jeune cour de Louis XIV, aimant les fêtes et

héros d'une pièce ne parlent jamais de façon gratuite : ce qu'ils disent nous renseigne sur ce qu'ils font ou pensent. La force du dialogue vient de ce que la phrase est en rapport avec l'action ou l'absence d'action. Cf Début de Tartuffe : Mme Pernelle et sa famille... III La parole théâtrale n'est ni la langue écrite ni la langue parlée. A. La parole dramatique est différente de la parole écrite (poésie ou roman) puisqu'elle est censée être prononcée à l'insu des spectateurs dans des