Mme Pernelle

soupirant, tantôt celui de dévot. Mais à cause de son amour pour Elmire, que malgré une argumentation, Tartuffe essaye en vain de détourner en amour dévot ; son masque commence à tomber, même s’il est déjà demasquer aux yeux de la famille à part Mme Pernelle et son fils. C’est dans la scène 5 de l’acte IV, que Tartuffe se montrera véritablement redoutable, il exprimera ses désirs a Elmire ; or celle ci avait mis au point un stratagème, son mari est caché sous la table et entend tout. Ce n’est donc

l’appétit solide, aux désirs sensuels impérieux, il n’a pas le moindre talent pour la piété, même feinte. Il joue son rôle avec une maladresse visible, il exagère parfois jusqu’à l’absurde. Il caricature le dévot plus qu’il ne le joue. A part Orgon et Mme Pernelle, personne ne peut se laisser prendre par ses simagrées. Son masque lui convient mal, on voit le vrai Tartuffe dessous. Et c’est en cela, précisément, que réside sa grande force comique. De plus, il montre que le mensonge le plus grossier réussi

paroles et les gestes qui vont confondre le faux dévot aux yeux d’Orgon. Elle a donc une vocation de « metteur en scène » (comme Dorine) et constitue de ce fait l’un des personnages essentiels de la pièce. On apprend donc qu'Elmire est la bru de Mme Pernelle « Laissez, ma bru » et qu'elle lui reproche d'être trop coquette « Que vous alliez vêtue ainsi qu'une princesse. » vers 30. Elmire, pour deux raisons : * l'amour que Tartuffe lui porte est le moteur d'une des intrigue majeure *

théâtre permet une expansion de l’humour, car beaucoup de moyens exclusifs au théâtre peuvent être utilisé pour provoquer le rire, comme le comique de répétition : présent dans « Le tartuffe » où nous pouvons rencontrer à l’acte I le personnage de Mme Pernelle qui était plus furieuse que jamais, puis la revoir une deuxième fois, dans le même état à l’acte V. d’autre procédés comme le comique de mouvement, l’ironie, ou certaine situation, sont propre au théâtre. L’humour des pièces permet donc de passer

  Seconde épouse d'Orgon, Elmire est une jeune femme d'une trentaine d'années aimable et sociable. Elle fréquente en effet la société mondaine et participe à de nombreux bals. Elle aime également être bien habillée ce qui énerve sa belle-mère Mme Pernelle (v29-30).   C'est une jolie femme qui connaît son charme et en use pour duper Tartuffe, mais elle est tout de même une épouse fidèle à son mari : quand Tartuffe lui fait la cour, elle refuse fermement ses avances et se moque même gentiment de

se résous l’ambiguïté de la pièce dans cette scène, pièce qui a souvent frôlé le drame ? I: Tartuffe met en place une démonstration de force. C'est la 1er fois que Tartuffe est confronté a tous les personnages même à Orgon et à Mme. Pernelle. -Tartuffe a une nouvelle autorité,il établie une distance entre lui et Orgon :(« Tout beau monsieur,tout beau, ne courez point si vite ») v.1861 -Il s'est créée un nouveau visage grâce aux arguments qu'il apporte en disant être le serviteur

société de leur temps, tournant le dos aux groupes que forment d'une part les protagonistes du Malade imaginaire, Argan, Toinette, Louison avec les deux médecins ridicules, les Diafoirus père et fils, et d'autre part ceux de Tartuffe, Orgon et Mme Pernelle face à Tartuffe flanqué de son valet Laurent. Au centre, les mondains Comme un hommage aux plus brillants caractères de la comédie telle que l'a façonnée Molière, Célimène, entourée des petits marquis. Célimène incarne, pour le XIXe siècle

Madame Pernelle, matriarche de la famille qui croit à la sincérité du dévot, dans la scène première, celle-ci vient s’opposer aux détracteurs d’Orgon à savoir sa belle fille Elmire, ses petits enfants Damis et Marianne, et le beau frère d’Orgon Cléante. Pour symboliser la solitude de la vieille femme, Roger Planchon a fait le choix de créer un vide autour d’elle: « Sans s’apercevoir que les autres effectuaient le même mouvement, chacun commençaient à s’éloigner discrètement de Mme Pernelle » Malgré

nouveau-nés : le fils Le Quesnoy et la fille Groseille. Ainsi sont venus au monde, sur un coup de colère, Maurice Groseille et Bernadette Le Quesnoy. Restée fidèle à son amant durant toutes ces années, espérant enfin faire vie commune après la mort de Mme Mavial, ses illusions sont réduites en fumée en une phrase du docteur : « Je ne pourrai jamais la remplacer. » Enfin réaliste, Josette décide de faire part par lettre de son échange de nourrissons aux parents des deux enfants. Bouleversés dans leur

positif. Elle est caractérisée par deux termes : la discrétion et l'efficacité. Elle connait son charme et en use pour duper Tartuffe. - Damis et Mariane, les enfants d’Orgon, Valère l’amant de Mariane, Dorine la servante au franc parler ou encore Mme Pernelle, la grand-mère qui incarne l’aveuglement d’une génération dépassée. Thèmes : L’hypocrisie. Aujourd’hui encore, le terme de « tartuffe » est resté dans le langage courant pour désigner une personne fausse et hypocrite. Celle-ci se manifeste