Mme Pernelle

ne choisissant que les derniers moments pour en souligner l’exemplarité, resserre l’action. L’exposition. L’exposition du Tartuffe, qui ne s’achève qu’au troisième acte, fait exception. Dans la première scène, menée avec beaucoup de brio, Mme Pernelle, vieille femme aigrie, apostrophe avec humeur tous les membres de la famille, adressant à chacun maints reproches sur sa façon de vivre. C’est par ce biais que les personnages sont présentés, sauf Orgon, et surtout Tartuffe, dont Molière diffère

Tout l'entourage d'Orgon, sauf sa mère, ne croit pas que Tartufe est un dévot. T2: Orgon croit en Tartufe jusqu'au moment où, caché sous la table, il l’entend tenter de séduire sa femme, Elmire. T3: Orgon détrompé tente de convaincre sa mère, Madame Pernelle, qui ne le croit pas et défend Tartufe. © louis_hebert@uqar.ca 33 T4: La mère d'Orgon obtient la preuve que Tartufe est vil puisque M. Loyal vient exécuter la dépossession d’Orgon pour le compte de Tartufe. T5: Le Prince semble appuyer Tartufe

Béline (le personnage du ‘’Malade imaginaire’’) avec en plus le verbe «bêler», puisqu'elle chante, comme sa soeur Phélise, des chansons de toile ; - «Pigranelle» (page 57) pourrait avoir été formé sur les noms de personnages de Molière (Sganarelle, Mme Pernelle pour la fin) ; - le «tiercé» (page 89), étant une forme de pari mutuel où l’on parie sur trois chevaux engagés dans la même course, en précisant l’ordre d’arrivée, il pose de «mystérieux problèmes» (page 96), fait envisager «toutes les combinaisons

architecture, avec colonnettes de lapis-lazuli, incrustations de pierres dures, et tiroirs à secrets, où le marquis ne se fût pas avisé de mettre le nez, eût-il su la manière de les ouvrir, se faisaient symétrie de chaque côté d'une toilette devant laquelle Mme de Bruyères était assise sur un de ces fauteuils particuliers au règne de Louis XIII, dont le dossier présente à la hauteur des épaules, une sorte de planchette rembourrée et garnie de crépines. Derrière la marquise se tenaient deux femmes de chambre

Béline (le personnage du ‘’Malade imaginaire’’) avec en plus le verbe «bêler», puisqu'elle chante, comme sa soeur Phélise, des chansons de toile ; - «Pigranelle» (page 57) pourrait avoir été formé sur les noms de personnages de Molière (Sganarelle, Mme Pernelle pour la fin) ; - le «tiercé» (page 89), qui est une forme de pari mutuel où l’on parie sur trois chevaux engagés dans la même course, en précisant l’ordre d’arrivée, ce qui pose de «mystérieux problèmes» (page 96), fait envisager «toutes les combinaisons

architecture, avec colonnettes de lapis-lazuli, incrustations de pierres dures, et tiroirs à secrets, où le marquis ne se fût pas avisé de mettre le nez, eût-il su la manière de les ouvrir, se faisaient symétrie de chaque côté d'une toilette devant laquelle Mme de Bruyères était assise sur un de ces fauteuils particuliers au règne de Louis XIII, dont le dossier présente à la hauteur des épaules, une sorte de planchette rembourrée et garnie de crépines. Derrière la marquise se tenaient deux femmes de chambre

même 1. Citons à titre d'exemple la remarquable bibliographie régionale, critique celle-la, de F.-J. Himly, Introduction à la toponymie alsacienne, bilan critique et problèmes, Rev. d'Alsace, XCIV 7-54 (voir notre numéro 5582) ; et aussi celle de Mme C. Vandeventer : Bibliographie de la toponymie normande, Cahiers Léopold Delisle XVIII (1969), 87-119. 2. La même Revue des Etudes anciennes comporte une multitude de notules relatives à des questions de toponymie et signées de Camille Jullian, Albert

perles - plantées sur des plaques en forme de pelles à tarte dessinées par Philippe Starck, oublie icr, pudiquement) d'évoquer la réelle fonction de la colonne asuologique ; comme si l'ex-maire de Paris - à l'instar de son prédécesseur, hdèle client de Mme Teissier - pensait que la connaissance des oracles célestes devait êue réservée aux grands de ce monde, le commun des mortcls der.ant se contenter de contempler les pelles à Starck. lLt colonne Ltsto Je losiq ue l'Hôttl J.' S,,rssorr. accolée à

architecture, avec colonnettes de lapis−lazuli, incrustations de pierres dures, et tiroirs à secrets, où le marquis ne se fût pas avisé de mettre le nez, eût−il su la manière de les ouvrir, se faisaient symétrie de chaque côté d'une toilette devant laquelle Mme de Bruyères était assise sur un de ces fauteuils particuliers au règne de Louis XIII, dont le dossier présente, à la hauteur des épaules, une sorte de planchette rembourrée et garnie de crépines. Derrière la marquise se tenaient deux femmes de chambre