Modèle Heckscher-Ohlin-Samuelson

autarcie (avec la même quantité de facteurs disponibles). Donc le libre échange est une bonne solution dans toutes les configurations, tous les pays y sont gagnants. Pour les Néoclassiques : Ils complètent la théorie de Ricardo (Heckscher, Ohlin, Samuelson). Ils ajoutent que le libre-échange conduit à une égalisation des prix des facteurs de production d'un pays à l'autre. D- La relation entre l'épargne et l'investissement C'est l'épargne qui crée l'investissement : Tout investissement

les coûts de production sont principalement des coûts fixes, tout élargissement de la production permet de réduire les coûts 7. L’accès aux techniques : principalement dans le secteur automobile. Il est souvent coûteux de développer de nouveaux modèles qui ne peuvent être rentabilisés qu’en vendant beaucoup Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, la croissance des échanges internationaux a été plus rapide que celle du P.I.B. : 8. Pour les économies développées qui se sont progressivement

néo-classiques vont prouver que cet optimum peut être mondial. VALRAS avec l’économie du bien être : lorsque l’on est à l’optimum mondial de Pareto on est en situation de bien être maximum. C’est sur ces 2 notions que vont s’appuyer trois auteurs : HECKSCHER / OHLIN / SAMUELSON et vont créer le Théorème HOS qui est toujours le théorème sur lequel se bas le commerce international aujourd’hui. Ils vont montrer que la spécialisation doit s’effectuer au niveau des facteurs de production. Théorème : « Si les dotations

......................................................................... 11 Graphique 2 : L’écart entre les salaires des employés qualifiés et non qualifiés s’est accru au Mexique......... 21 Liste des encadrés Encadré 1 : L’utilisation des modèles EGC pour évaluer l’impact de la libéralisation commerciale ........... 19 3 Few economists would doubt the beneficial effects of trade, despite the adverse impact on some groups. Yet the hard evidence supporting such gains from trade – either

et transition : RICARDO ne précise pas les fondements des différences d’efficacité productive à l’origine des coûts comparatifs. D’où l’apport des néoclassiques. ¤ Limites : les fondements de l’avantage comparatif ou le théorème HOS (HECKSCHER, OHLIN, SAMUELSON). Pour les néoclassiques, les avantages comparatifs s’expliquent par la dotation plus ou moins abondantes en facteurs déterminés de production. En effet, si un facteur de production est abondant (existe en quantité importante), son offre

la production du bien dans laquelle il a le moins mauvais avantage. Donc on arrivera à une quantité plus élevée de biens produits des deux types que si on était resté en autarcie. Les néoclassiques : mettent en place le théorème HOS (Heckscher, Ohlin, Samuelson) : ils partent de la théorie de Ricardo auquel HOS ajoutent le fait qu’avec le temps on va assister à l'égalisation du prix de production entre les deux pays. Donc on doit arriver à une uniformisation de tous les prix à tous les niveaux

siècle il était déjà prégnant, celui ci a connu une régression entre 1914 et 1950 avant de reprendre son essor. L'écroulement du bloc soviétique, à la fin des années 80 a conduit à la victoire du modèle capitaliste et l'économie de marché. Le phénomène de mondialisation est donc étroitement lié à ce modèle. Le modèle de l'économie de marché s'est donc généralisé dans la majorité des Etats à l'exception de quelques Etats comme la Corée du Nord (Chine => économie de marché) Les Etats qui ont connus une expansion

méditerranéennes, premières routes de la soie…) ; ▪ Ils font émerger deux grands modèles antinomiques d’organisation économique : un modèle libérale axé sur l’initiative et la recherche du profit personnel (Grèce et villes phéniciennes) ainsi qu’un modèle d’économie centralisé (Egypte, Chine). Pour sa part, Rome constitue une forme de synthèse, alternant ou mélangeant l’un ou l’autre des deux modèles. Il est d’ailleurs intéressant de relever qu’à bien des égards, la balance des paiements

cette logique, la transition qui permet de sortir du « piège malthusien » suppose des changements techniques radicaux qu’une abondante historiographie s’est efforcée de repérer à partir du 18e siècle. Le problème reste cependant ouvert puisqu’un tel modèle peine à intégrer deux constats : • le fait que les crises les plus graves, censées réguler la relation population/subsistances, ne se produisent pas au moment où se vérifient les plus fortes densités d’habitants, ce qui suppose l’existence de formes

cette logique, la transition qui permet de sortir du « piège malthusien » suppose des changements techniques radicaux qu’une abondante historiographie s’est efforcée de repérer à partir du 18e siècle. Le problème reste cependant ouvert puisqu’un tel modèle peine à intégrer deux constats : © Groupe Eyrolles • le fait que les crises les plus graves, censées réguler la relation population/subsistances, ne se produisent pas au moment où se vérifient les plus fortes densités d’habitants, ce qui suppose