Modèle De Portrait Péjoratif

Introduction : Auteur / Contexte / Œuvre (personnages, intrigue...) Après avoir informé Araminte de la passion que lui voue Dorante, Dubois s’efforce de rendre cette passion publique. Araminte est désormais dans une posture délicate : depuis que son portrait a été livré à Dorante, elle devrait le renvoyer mais elle prétexte qu’elle n’a pas de preuve certaine de cet amour. Après

mariage et de la femme au XVIIeme siècle, pour cela nous etudierons la scène d’exposition et l’éducation des femmes tournée vers le projet d’arnolphe. I Une scène d’exposition Le portrait d’Agnès dépeint par l’auteur au travers des mots prononcés par Arnolphe est dépréciatif, l’auteur utilise un vocabulaire péjoratif « une sotte » v1, il s’agit donc d’un blame en vers les femmes non cultivées. Molière met donc implicitement en valeur les Précieuses, femmes habiles. La naïveté d’agnès permet à Arnolphe

« Des cannibales ». Il raconte dans ses Essais sa rencontre avec des « sauvages » Cette œuvre vise a donner un regard sincère sur l’être humain. Dans cet extrait, Montaigne fait du «sauvage » un modèle pour la société ! Montaigne met en scène une expérience qu'il a vécue dans la réalité. I Le portrait intellectuel et moral des Cannibales A : Intellectuellement Les « sauvages » ne sont pas impressionné par le cérémonial de l’accueil Ils donne leurs opinion ( Enfant- roi a 12 ans

quels sont les éléments de l’intrigue qui opposent la maîtresse de Gusman au maître de Sganarelle, dont ce dernier va faire un portrait accusateur. Un éloge du tabac précède l’exposition de la pièce proprement dite. L’ouverture est quelque peu surprenante. Nous verrons en quel sens elle donne à cette scène une dimension paradoxale, nous nous intéressons ensuite au double portrait qui précède l’action. C’est la seule scène où le valet est omniprésent, juge les actions de son maître mais manifeste également

est transformé par ce suffixe péjoratif, et il sonne, dans la bouche de ceux qui l'emploient, comme une insulte. Mais Musset va rendre l'utilisation des prénoms encore plus complexe en multipliant les transformations. Dans la même scène Lorenzo devient ainsi, dans une réplique du duc, « Lorenzetta ». Le prénom utilisé se veut ici ouvertement méprisant car Lorenzo a feint de s'évanouir devant une épée, pour mieux tromper le duc. À ces prénoms grotesques ou péjoratifs s'opposent des exemples plus positifs

polémique Le registre polémique cherche à provoquer l'indignation en dénonçant une situation ou une personne (en grec "polemos" = le combat). Le registre polémique utilise souvent les hyperboles, questions rhétoriques , répétitions et vocabulaire péjoratif. Les mouvements : Mouvement 1 (1er paragraphe) : une interpellation virulente sous forme de défi Olympe de Gouges débute par une

aristocrate, la maréchale de Grancey qui fulmine contre une phrase qu’elle a lu dans un texte évangélique « femmes, soyez soumises à vos maris », elle exprime alors son mécontentement et sa vision de la femme.  Lecture  Problématique  Axe I Le portrait d’une femme de caractère Cette aristocrate à l’existence futile est affranchie des préjugées. 1) Une femme libertine mais cultivée _elle pratique le libertinage amoureux par ses amants (l.17>euphémisme ; atténuation de la pensée) et en accepte

s’articulera autour du portrait de Jeanne, et du projet éducatif du baron I) Le portrait de Jeanne a) Le portrait physique _ Description du visage de Jeanne « cheveux d’un blond luisant » (10) « ses yeux étaient bleus » (13) description méliorative, belle jeune femme _ Détails physique « duvet » (12) « grain de beauté » (15) le narrateur (Maupassant) s'approche et accompagne le lecteur à en découvrir plus _ Beauté noble « une chaire d’aristocrate » (11) « un portrait de Véronèse »(10)

sont évoqués. Il est celui qui connait l'avenir et deviens le donneur de leçon. Le sujet semble clos mais l'incompréhention de gusman pousse sganarelle a apporter des info plus détaillés sur Don Juan dans la 2eme tirade. II. La 2eme tirade A) Portrait de Sganarelle il aime montrer sa superiorité. Le language lui sert a dominer son interlocuteur. Prend un ton assuré puis un ton familié montrant un détachement et un manque de respect. Il peut fasciner l'auditoire car il sait manipuler la langue

bourgeois du second Empire. Caricatural, tel est bien le portrait qu'en dresse Verlaine. Monsieur Prudhomme est le Maire de Paris et l'employeur de notre poète qui occupe en 1864, après avoir réussi le baccalauréat littéraire, de modestes fonctions d'expéditionnaire (assistant administratif) à l'Hôtel de Ville de Paris. Verlaine n'est pas un travailleur assidu et ponctuel et tout l'oppose à son employeur. Monsieur Prudhomme qui est un nom propre péjoratif pour "homme prudent" qui donne le titre et le ton