Modèle De Solow

a-t-il été très élevé (entre 3 et 5% annuels pendant les "trente glorieuses" de 1945 à 1975), alors qu’à d’autres périodes il reste aux alentours de 1,5 à 2% ? l’analyse ici doit nécessairement être statistique et reposer sur des chiffres et des modèles précis. Ces deux aspects, qualitatif ou structurel, et quantitatif, font l’objet de traitements très différents ; mais tous deux ressortent de la théorie de la croissance économique, et de nombreux mécanismes peuvent avoir une valeur explicative dans

économique ? Au début des 50s : théorie économique a des instruments de la théorie de la croissance (Harrod et Domar, Solow). Ces outils sont inappropriés pour évaluer développement du tiers-monde. Il y a donc à partir de là deux types de problème : - Contexte socio culturel, avec des institutions, qui diffère de celui des pays industrialisés pour lesquels on a élaboré le modèle de la croissance. Il n’y a pas de marchés concurrentiels, et des agents tout sauf homo-oeconomicus et pas de monétarisation

a-t-il été très élevé (entre 3 et 5% annuels pendant les "trente glorieuses" de 1945 à 1975), alors qu’à d’autres périodes il reste aux alentours de 1,5 à 2% ? l’analyse ici doit nécessairement être statistique et reposer sur des chiffres et des modèles précis. Ces deux aspects, qualitatif ou structurel, et quantitatif, font l’objet de traitements très différents ; mais tous deux ressortent de la théorie de la croissance économique, et de nombreux mécanismes peuvent avoir une valeur explicative dans

a-t-il été très élevé (entre 3 et 5% annuels pendant les "trente glorieuses" de 1945 à 1975), alors qu’à d’autres périodes il reste aux alentours de 1,5 à 2% ? l’analyse ici doit nécessairement être statistique et reposer sur des chiffres et des modèles précis. Ces deux aspects, qualitatif ou structurel, et quantitatif, font l’objet de traitements très différents ; mais tous deux ressortent de la théorie de la croissance économique, et de nombreux mécanismes peuvent avoir une valeur explicative dans

a-t-il été très élevé (entre 3 et 5% annuels pendant les "trente glorieuses" de 1945 à 1975), alors qu’à d’autres périodes il reste aux alentours de 1,5 à 2% ? l’analyse ici doit néces- sairement être statistique et reposer sur des chiffres et des modèles précis. Ces deux aspects, qualitatif ou structurel, et quantitatif, font l’objet de trai- tements très différents ; mais tous deux ressortent de la théorie de la croissance économique, et de nombreux mécanismes peuvent avoir une valeur explicative

environ ; • les cycles courts ou cycles Kitchin, d'une durée de quarante mois environ[13]. Schumpeter introduit enfin le concept de « destruction créatrice » pour décrire le processus par lequel une économie voit se substituer à un modèle productif ancien un nouveau modèle fondé sur des innovations. Il écrit ainsi[14] : « L'impulsion fondamentale qui met et maintient en mouvement la machine capitaliste est imprimée par les nouveaux objets de consommation, les nouvelles méthodes de production et de

fait l’objet de plusieurs tentatives de modération visant à faire ressortir les caractéristiques d’une économie située sur un sentier de croissance, ce modèle théorique de croissance appartient respectivement à deux courants de pensées : l’analyse keynésienne d’une part et l’analyse néo-classique d’autre part. Les premiers élaborent des modèles généraux de croissance pour faire ressentir l’ensemble de déterminants de la croissance. Les seconds visent à affiner (détailler) la connaissance des

ÉCONOMIQUE L’article fondateur vient de Robert SOLOW, en 1956, dans « une contribution à la théorie de la croissance économique ». Et en 1987, le comité Nobel lui a accordé un prix Nobel. L’idée est de chercher les déterminants de la croissance et de la prospérité. L’augmentation de la démographie oblige à une augmentation de la croissance. Si la croissance augmente plus vite que la démographie, le niveau de vie par habitant augmente. Dans les années 50, Solow s’intéresse aux principaux déterminants de

capital comme de la production par tête ; de même, le taux de profit, les parts respectives du capital et du travail dans le revenu national comme le coefficient de capital seraient constants dans l’évolution de la croissance économique. A partir de ce modèle empirique, il semble difficile d’envisager une rupture dans l’accroissement de la valeur annuelle des produits et des services dans un pays. Pourtant les récents évènements et le fort ralentissement de croissance observé tendent à montrer les limites

globale des facteurs mesure le bilan d’ensemble des économies physiques réalisées sur la consommation totale des facteurs de production. Par ailleurs, dans l’analyse de la croissance économique d’une nation, la plupart des auteurs ont utilisé des modèles macroéconomiques où ils cherché à tester la corrélation entre niveau de croissance économique, compétitivité et gain de productivité. A ce niveau on peut mentionner les travaux de Jean Claude Berthélemy (2006) qui a utilisé une méthodologie particulière :