Modèle De Solow

montant égal. » (Keynes, 1930, t. 1 : 125). En d’autres termes, quand les capitalistes accroissent leurs dépenses, ils augmentent la demande ce qui entraîne une hausse des prix et des profits. Kalecki (1942) développa cette idée en s’appuyant sur un modèle comptable dont on ne reprendra que la forme la plus simple qui ignore les échanges internationaux. La balance du revenu national et de la dépense peut être résumée dans le compte suivant : Profit brut (brut de la dépréciation mais net des impôts directs)

cours Introduction 1) 2) 3) 4) Qu’est-ce que la macroéconomie ? Les modèles macroéconomiques Les acteurs et les marchés Le rôle de l’Etat Chapitre I : Rappel sur le modèle IS-LM 1) Les hypothèses du modèle 2) L’équilibre macroéconomique 3) Les politiques économiques dans le modèle IS-LM Chapitre II : Le modèle offre globale-demande globale 1) 2) 3) 4) De IS-LM à la demande globale La détermination de l’offre globale Le modèle WS-PS comme justification de l’offre globale L’équilibre macroéconomique

croissance du stock de travail du pays. -> Le taux de croissance de la production est égal au taux de croissance du progrès technologique, plus la moyenne pondérée par Alpha de la croissance du travail et de celle du capital. Remarquons que dans le modèle de croissance de DOMAR, on a uniquement une proportion directe avec le stock de capital. -> Cette équation est la base de la comptabilité de la croissance, et permet de savoir quelle part de la croissance sur longue période provient du nombre de

la seconde partie du XIXème siècles à revoir son fondement. Notre étude portera sur son modèle originel et ses réinterprétations selon le modèle Keynésien et monétariste. Dans ce but, nous avons scindé nos recherches en trois parties. Tout d’abord nous présenterons la théorie fondée par A.W Phillips, puis les modifications apportés par Samuelson et Solow et enfin la vision de Friedman et Pheps. I. Le modèle originel (1958) Suite à ses études menées à la London School of Economics, A.W Phillips

qui s’opposent : * Le modèle d’accumulation : qui dit que l’accumulation du capital humain et physique élève le niveau de production * Le modèle d’adaptation et d’innovation : pour lequel le capital humain agit directement sur le taux de croissance en favorisant les innovations et l’adaptation au changement. Dans un 2nd temps, nous verrons que le recueil des données et leur mesure au niveau international est très difficile. I. Afin de présenter les 2 modèles de croissance économique

environ ; * les cycles courts ou cycles Kitchin, d'une durée de quarante mois environ. Schumpeter introduit enfin le concept de « destruction créatrice » pour décrire le processus par lequel une économie voit se substituer à un modèle productif ancien un nouveau modèle fondé sur des innovations. Il écrit ainsi: « L'impulsion fondamentale qui met et maintient en mouvement la machine capitaliste est imprimée par les nouveaux objets de consommation, les nouvelles méthodes de production et de transport

environ ; * les cycles courts ou cycles Kitchin, d'une durée de quarante mois environ[13]. Schumpeter introduit enfin le concept de « destruction créatrice » pour décrire le processus par lequel une économie voit se substituer à un modèle productif ancien un nouveau modèle fondé sur des innovations. Il écrit ainsi[14] : « L'impulsion fondamentale qui met et maintient en mouvement la machine capitaliste est imprimée par les nouveaux objets de consommation, les nouvelles méthodes de production et de

équilibre. Théorie des contrats implicites (Azariadis) : les individus acceptent un salaire inférieur au salaire d'équilibre en échange d'un travail stable et durable. Modèle du tire au flanc (Stiglitz) : un salaire élevé dissuade de ne pas être productif car si il perd son travail, il risque de ne pas retrouver un tel salaire. Le modèle lnsiders (salariés) / Outsiders (chômeurs) (Lindbeck-Snower) : Les salariés de l' entreprise (insiders) ont des salaires élevés car l' entreprise veut éviter le turn-over

une augmentation de la production agricole. Alors que J.B. SAY élargit les facteurs productifs retenus par les Classiques, en intégrant l’industrie et les services. Où loi des débouchés permet une croissance infinie. C’est le modèle dominant de la croissance de R. SOLOW (1956). Une logique d’économie réelle, la monnaie est neutre à long terme. Par sa fonction de production Y=f( k, L, A). il déduit que A l’équilibre, le taux de croissance du produit par tête dépend du taux de progrès technique

Les rendements chez Solow C’est un néoclassique (1970). En l’absence de progrès technique, le capital (associé à un nombre fixe de travailleurs) est de moins en moins productif à mesure que ce facteur de production est accumulé dans l’économie (doc 1). Les rendements de ce facteur capital sont décroissants. Il s’agit du cas du cours terme où il y a un seul facteur variable (facteur capital), l’autre facteur est en fixe (facteur travail). Chez Solow, certes les rendements