Modèle De Solow

économique Dans les modèles macroéconomiques keynésiens, le taux de salaire nominal contient également le taux d’accroissement des prix, dans la mesure où les agents indexent leur salaire monétaire pour maintenir leur pouvoir d’achat réel, face à la dépréciation de la valeur de la monnaie. Et réciproquement, les entreprises maintiennent leur marge bénéficiaire en répercutant la hausse des salaires nominaux sur le prix des produits. C’est pourquoi les keynésiens P. A. Samuelson et R. M. Solow(2) ont modifié

théoriques ont été développées dans ce sens, que ce soit la thèse de Schumpeter ou encore celle de nombreux auteurs libéraux néoclassiques ou contemporains. 1. La thèse des cycles de croissance de J.A. Schumpeter. 2. Le progrès technique exogène R. Solow/ la croissance endogène B. Vérification de ces thèses au cours de l'histoire des pays développés La période de la révolution industrielle La période des trente Glorieuses (Insistez sur la répartition des gains de productivité)/ Schéma de la croissance

en situation de monopole. Par contre au moment de bénéficier du brevet, si quelqu’un triche, celui qui copie n’a fait aucun investissement donc c’est un gain total et l’autre n’a aucun retour sur investissement. CHAPITRE 2 : LES MODELES DE LA CROISSANCE Quel modèle mettre en place en France pour avoir une croissance régulière ? Il faut harmoniser les facteurs de la croissance. Sur quoi peut reposer aujourd’hui la croissance ? I/ Les théories traditionnelles de la croissance Il faut distinguer

Courbe IS : relation négative entre le taux d’intérêt et le niveau de revenu qui apparaît sur le marché des biens et des services. Voir aussi modèle IS-LM, courbe LM. Courbe LM : relation positive entre le taux d’intérêt et le niveau du revenu, le niveau des prix étant maintenu constant, qui apparaît sur le marché des encaisses monétaires réelles. Voir aussi modèle IS-LM, courbe IS. Coût de menu : coût de modification d’un prix. Coût du capital : quantité d’argent à laquelle on renonce pour détenir une

instable et éloignée du plein-emploi, aucun mécanisme autorégulateur ne garantit cela. Schumpeter : Le moteur de la croissance économique est le progrès technique. C'est l'entrepreneur qui impulse cette croissance par la mise en place d'innovation. Solow : Le néo-classicisme souligne la tendance à la stagnation mais le progrès technique repousse cette issue. L'investissement serait aussi déterminant, ça entraîne une augmentation du capital par tête et par la suite une hausse de la productivité. Ecole

nvo vie. Solow dit PT permet d'économiser ls rces. 2) Les effets pervers de la Croissance. Selon Illich : contre pté c-d-à en voulant faire meiux limite la qualité. A trop vouloir dvp, on détruit social dc social soumis à l'éco. ContrairemT à 1 éco au service Sté dc adj inverse. Cce→instalat° industrie→sacrifice de l'envirnnemT à l'éco. Ls dommages : disparit° de l'eau & dégratat° sols. Cce→pollut° . Mauvaise gest° rces met péril Cce à court terme. B) Alternatives au modèles de Croissance

majeurs : Solow (LT) Keynes (CT) Croissance économique ? Croissance du PIB REEL d'un année sur l'autre → croissance ( soutenue et durable ) du PIB Le PIB comprend l’ensemble des valeurs ajoutées des agents économiques résidant sur le territoire national d’un pays. Somme des valeurs ajoutées = Somme richesses pdts Somme B/S finaux = somme des depenses ( c* , investissement (i), depenses de l'etat (g)) Y distribués = L+K ( prfits , dividendes ..) III 2 . Présentation du modèle « DG-OG »

CROISSANCE I. QU’EST CE QUE LA CROISSANCE ? A. Définition B. Quelques précisions de vocabulaire C. La croissance équilibrée II. COMMENT EXPLIQUER LA CROISSANCE ? A. Les théories de la croissance 1. Les précurseurs 2. Les postkeynésiens 3. Le modèle néoclassique de Solow (1956) 4. Le rapport Meadows (1972) et l’approche systémique 5. La théorie de la croissance endogène 6. L’école de la régulation B. Les travaux empiriques 1. Les étapes de la croissance de Rostow (1960) 2. Les travaux de Carré, Dubois et

selon Robert Solow, prix Nobel en économie en 1987, la croissance se voit freiner en l’absence d’innovation. On considère le changement technologique comme l’une des sources explicatives de la croissance des économies industrielles. Les travaux des plus grands théoriciens semblent affirmer l’existence d’une relation positive entre le degré d’innovation et croissance économique. Au cours des dernières décennies, de nouvelles technologies, de nouvelles industries et de nouveaux modèles économiques

entre les quantité produites et les moyens mis en œuvre pour les obtenir. Elle mesure l'efficacité des facteurs de production et de leur combinaison. 2) Le progrès technique comme résidu Robert Solow → à partir de 1920 remise en cause des sources de la croissance, en 1956 née le modèle de Solow. Il désigne le progrès technique comme résidu (progrès technique exogène, croissance exogène → extérieure) dans la mesure où ce facteur est inexpliqué. La productivité globale des facteurs mesure la part