Moires

injonctives -mépris du Chat dans la périphrase «de semblable discours» (=plaidoirie) -tous les arguments de la Souris sont écartés en une seule phrase V21. La décision du Chat est prise lorsqu'il évoque les sœurs filandières (parques en latin / moires en grec) IV) Deux attitudes mises en cause 1)Satire de la jeunesse arrogante - «Crut» V2, «croit» V24. La Souris croit duper le Chat avec son discoure -Le fabuliste vise les jeunes qui sont arrogants 2) Satire de la vieillesse -Enfermé

d'étain au ciel de cuivre  Succède. La nuit fait un pas.  Les choses de l'ombre vont vivre.  Les arbres se parlent tout bas. Le vent, soufflant des empyrées,  Fait frissonner dans l'onde où luit  Le drap d'or des claires soirées,  Les sombres moires de la nuit. Puis la nuit fait un pas encore.  Tout à l'heure, tout écoutait ;  Maintenant nul bruit n'ose éclore ;  Tout s'enfuit, se cache et se tait. Tout ce qui vit, existe ou pense,  Regarde avec anxiété  S'avancer ce sombre silence 

Sophie Joubert : Née en 1967 à St-Nazaire Moires et miroitements d’une artiste-peintre : Déterminée et lumineuse dans ses actes, Sophie Joubert s’adonne pleinement, depuis 2005, à sa passion héritée d’un père peintre « cantonnier des plages » ; chaque beauté du littoral guérandais devenait sous les doigts experts de ce véritable magicien du réel - précieuse figure tutélaire- d’inestimables trésors. Sophie, tout en suivant son propre chemin, s’est appropriée l’extraordinaire technique

prairies et sur les rivières les déplacements de l'ombre et de la clarté. »  gén. au plur.: reflet ondoyant (=moirure) : « la robe du cheval fabuleux frissonnait de reflets et de moires vivantes ; Le soleil, réverbéré sur les eaux, faisait courir le long des murs des moires chatoyantes. » [couleur]  litt. [p. réf. aux Moires, divinités du Destin implacable de la myth. gr.] destin, destinée, fatalité. « Le colonel Picquart avait une grande situation dans l'armée, mais sa Moire l'a conduit du côté qui

Hermès, Apollon, Aphrodite et Artémis ; de nombreux héros : Héraclès, Persée, Castor et Pollux, etc. Avatar | Femme/MaîtresseAmant | Enfants(s) | Apparence d'Amphitryon | Alcmène | Héraclès | | Ananké | Les Moires | Satyre | Antiope | Amphion, Zéthos | | Astéria | | | Calliope | Les Corybantes | Apparence d'Artémis | Callisto | Arcas | | Calycé | Éthlios, Endymion | | Carmé

mort. Je suis encore éblouie par des images gravées dans mes yeux : des corps comme des sculptures vivantes, des attitudes fières exprimant tant de sentiments passionnés, des lumières caressantes, des déplacements beaux comme un ballet, des tissus moirés et tournoyants ou mornes exprimant la passion ou le vide. Spectacle somptueux pour les yeux, affolant pour le coeur, les mots de Garcia Lorca me bercent encore! Silence!

blanches. On pense à l'Embarquement pour Cythère de Watteau où l'on voit des couples d'amoureux qui s'embarquent pour l'île où la mythologie grecque fait naître Aphrodite, la déesse de l'amour. Les blanches mousselines" répondent aux "blanches moires" (les reflets changeants, mat ou brillants de certains tissus). Les deux dernières strophes, comme les deux premières sont des tableaux, des hypotyposes. "L'hypotypose peint les choses d'une manière si vive et si énergique qu'elle les met en quelque

pour trouver un territoire et se nourrir. « … La grande salle brillait des feux de multiples torches et chandelles. Pour l'occasion, le Comte Renaud avait fait tendre sur les murs des tapisseries de cuir doré, de satin de Bruges aux plis lourds et moirés, brodées à ses armoiries. Deux buffets à gradins en chêne sculpté luisaient de vaisselle et de pièces d'orfèvrerie : aiguières, grands plats en argent, vases d'apparat. Des serviteurs s'affairaient autour des tables, remplissaient les coupes de vin

généralise en Grèce en étant associé au maillet ou marteau pour la taille de la pierre dure. Le mot ciseau provient du latin populaire cisellus, altération de caesellus, dérivé du verbe caedere : couper. Le ciseau était un attribut d’Atropos, l’une des Moires, filles de Zeus dans la mythologie grecque (les Parques chez les Latins). Elle était chargée de couper le fil des jours, symbole du fait que la vie dépend des dieux. Le ciseau est constitué d’un côté d’une lame dure en acier, coupante, taillée

Nuit Le ciel d'étain au ciel de cuivre Succède. La nuit fait un pas. Les choses de l'ombre vont vivre. Les arbres se parlent tout bas.Le vent, soufflant des empyrées, Fait frissonner dans l'onde, où luit Le drap d'or des claires soirées, Les sombres moires de la nuit.Puis la nuit fait un pas encore. Tout à l'heure, tout écoutait. Maintenant nul bruit n'ose éclore ; Tout s'enfuit, se cache et se tait.Tout ce qui vit, existe ou pense, Regarde avec anxiété S'avancer ce sombre silence Dans cette sombre