Molina El Burlador De Sevilla

par une narration ou une histoire 1b1a. L’origine du mythe de Dom Juan · Origine lointaine et son auteur premier est inconnu . Communément, le premier écrivain considéré est Tirso de Molina , de son vrai nom Gabriel Téllez (Espagne, 1630) · Histoire apparament vraie : à Séville, au début du XVIe siècle, un jeune homme espagnol était connu pour son libertinage, pour son absence totale de moralité

Cependant, dès la deuxième représentation, les répliques sont censurées. La pièce ne sera représentée qu’en entier en 1841. De nombreuses sources laissent penser qu’en rédigeant Dom Juan, Molière s’est inspiré de la pièce de Tirso De Molina, El Burlador de Sevilla y Convidado de piedra (« Le Trompeur de Séville et le convive de Pierre »). Deux auteurs italiens, Giliberto et Cicognini, s’en sont aussi inspirés. Le titre Le Trompeur de Séville et le convive de Pierre, fait référence à deux éléments

LE MYTHE DE DON JUAN 1. Tirso De Molina, El burlador de Sevilla, l’abuseur de Seville, 1620 Mythe premier avec Don Juan et Catherinon Le flambeau => méchanceté brutale et morale, Isabelle passe du bonheur au malheur en quelques instants, déshonorée car elle est avec un homme qui n’est pas son promis. Aspect religieux Quand il meurt, réclame l’absolution Esthétique médiévale lors de la scène du repas de sa mort, la scène se retrouve dans le jugement dernier. Séducteur, manipulateur, menteur

lorsqu'il s'agit de l'opéra de Mozart et Da Ponte, « Don Juan » lorsqu'il s'agit d'une autre œuvre[2]. Sommaire L'histoire initiale L'écriture des aventures d'un séducteur Les grandes caractéristiques du personnage chez les auteurs Chez Tirso de Molina Chez Molière Chez Da Ponte et Mozart Au xixe siècle De nos jours En littérature En musique En arts plastiques Au cinéma Bibliographie Articles connexes Références Le personnage mythique de Don Juan serait né d'un fait divers[3] rapporté

Cronicas de Sevilla et les archives des familles Tenorio et Ulloa sont muettes. Les noms des personnages ne sont pas fictifs, il a bien existé un don Juan Tenorio, ou un don Alonso Tenorio mais nulle part il n'est fait mention d'une disparition suspecte, encore moins du miracle de la statue de pierre qui s'anime pour punir un débauché3. Il est beaucoup plus vraisemblable de croire que le succès de la pièce du moine espagnol frère Gabriel, plus connu sous le nom de Tirso de Molina, (qui met en

d'une disparition suspecte, encore moins du miracle de la statue de pierre qui s'anime pour punir un débauché3. Il est beaucoup plus vraisemblable de croire que le succès de la pièce du moine espagnol frère Gabriel, plus connu sous le nom de Tirso de Molina, (qui met en scène un personnage de jeune débauché avide de jouissance, personnage assez habituel dans les comédies espagnoles des XVIe et XVIIe siècles) est à l'origine de la légende3. Mais ce sont les éléments surnaturels qui ont le plus contribué

nécessité énigmatique, nous y rencontrons partout le motif tragique de la culpabilité et du châtiment, depuis longtemps transmis par la tradition. Cela se manifeste déjà extérieurement par le fait que du double titre de la pièce de Tirso de Molina, El Burlador de Sévilla y convidado di pietra, le deuxième titre : Le festin de Pierre, a été seul maintenu par les auteurs jusqu'au XVIIIe siècle sans que le nom du héros, qui aujourd'hui exerce sur nous une telle fascination, parût dans le titre.

Don Juan, personnage de Tirso de Molina : Tirso de Molina, un des grands auteurs de théâtre du Siècle d'or espagnol, a certainement rassemblé des traits puisés à différentes sources littéraires et folkloriques. Il est beaucoup moins sûr qu'il ait transposé, comme on l'a suggéré, le visage et les aventures de quelque libertin de son temps. El Burlador de Sevilla y Convidado de piedra (Le Trompeur..., ou mieux Le – mauvais – farceur de Séville et l'Invité de pierre), l’histoire de Tirso, fut publié

Pierre[note 3] de Villiers (Paris, 1659) inspirées toutes deux de la pièce de l’italien Giliberto aujourd’hui disparue[4]. Ce thème trouve son origine en Espagne dans une pièce de Tirso de Molina, El Burlador de Sevilla. La pièce passée en Italie a inspiré Cicognini (en), Giliberto et la comedia dell arte sous le titre de El Convitato di Pietra. Elle devient célèbre en France à partir de la représentation des Italiens de 1658[5]. Il semble cependant que Molière n’ait eu connaissance que des versions italiennes

Les réécritures, du XVIIe siècle à nos jour / le texte théâtral et sa repésentation Le mythe baroque de Don Juan n'a cessé de fasciner la littérature européenne depuis sa première apparition littéraire dans El Burlador de Sevilla y el Convidado de Piedra de Tirso de Molina en 1630. Rien ne semble pouvoir arrêter ce séducteur invincible, toujours en quête de plaisir ici-bas. Défiant la morale et la religion, ce rebelle lance un défi à la société tout entière. Son libertinage nécessite donc