Molière Femmes Savantes Classicisme

.....................................9 LE ROMAN ....................................................................................................................................................... 9 L’écriture du roman, entre préciosité et classicisme ................................................................................... 9 Les sources utilisées .................................................................................................................................. 9 Un narrateur

constructions phrastiques, sur des thèmes choisis librement, à tonalité plus ou moins polémiques, sérieuses ou humoristiques. Exemples de production: - Si les femmes sont les égales des hommes, alors elles doivent recevoir les mêmes salaires - Si vraiment les femmes sont les égales des hommes, alors elles doivent recevoir les mêmes salaires. - Si jamais les femmes deviennent les égales des hommes, alors elles devront recevoir les mêmes salaires. 2 - La sévérité permet à un enfant de connaître ses limites

qui parle des massacres de la St Barthélemy, des guerres civiles, en dénonçant les responsables de ces actes, en autre Catherine de Médicis et le cardinal de Lorraine…), Corneille au début de sa carrière L’Illusion comique et Le Cid, le Dom Juan de Molière, Le Roman comique de Scarron, parodie burlesque du roman précieux. En Europe, Cervantès (Don Quichotte) et Calderon (La Vie est un songe), respectivement romancier et dramaturge écrivent leurs chefs-d’œuvre. Le baroque s’épanouit encore dans l’architecture

d’aventures héroïques. » Voltaire Ancêtre de toute narration, l’épopée pose des problèmes fondamentaux : - rapport fiction / histoire - merveilleux / réalisme - écriture singulière / écriture collective - lit. Pop / lit. Savante - narration / poésie Perspective historique de l’épopée Origines du genre : 2 plans : - sociologique, culturel - littéraire 1)aspect sociologique : cf. : Georges Dumézil : « Mythes et épopées » : grand théoricien des

fonction des cultures et des époques l'histoire différait mis gardait des similitudes. La mode littéraire à la fin du XVIIe siècle était celle des contes de fées, histoires merveilleuses dont l'origine est bretonne. La plupart sont écrits par des femmes qui trouvent dans les salons mondains une forme d'émancipation et la possibilité de prouver leur intelligence. Le mot « fée » vient du mot latin fatum, le destin, dont les romanophones désignaient les êtres féeriques présents dans les histoires

Jour 1 les différents registres Jours 2 Les vers , rythmes, sonorités, les poèmes à fores fixes Jours 3 Les stratégies d’argumentation Jours 4 Discours rapportés autobiographie Jours 5 Humanisme classicisme JOurs 6 le siècle des lumières Jours 7 Le langage théâtrale comédie tragédie Jours 8 Intertextualité, mythe - Les différents registres Le registre désigne la tonalité générale d’un texte, liée à des genres ou des procédés d’écriture. Admiration, pitié, joie, angoisse, amusement,

baroque et qui s’oppose au gout classique qui est plutôt définit par sa sobriété. C’est déjà une façon de contester la rigueur classique. La génération classique (1661-1685) C’est sur cette 20taine d’années là) que s’étend principalement le classicisme, les plus belles du son règne. Les tendances demeurent mais on va dans le sens de la discipline, de la rigueur. Pendant ces années là on peut dire que triomphe l’ordre et le « goût » Le règne de l’ordre L’autorité royale Louis 14 : C’est

même que Frédéric II de Prusse, Pascal, La bruyère, et bien d'autres encore . Le siècle des Lumières se déroule donc pendant le XVIIIème. Le XVIIIème se définit par rapport à son prédécesseur le XVIIème, il est son prolongement car en effet le Classicisme se poursuit et la raison est encore plus à l'ordre. De plus dans ce siècle la raison accroit encore plus ses pouvoirs cesse de soutenir l'ordre et se retourne contre lui. Ce siècle est caractérisé de fin, brillant et rapide. Le siècle des Lumières

n’en auriez pas donné une pelure l’oignon, tant il était laid de corps et d’un maintien ridicule, le nez pointu, le regard d’un taureau, le visage d’un fou, le comportement simple, les vêtements d’un paysan, de condition modeste, malheureux avec les femmes, inapte à toute fonction d’État ; et toujours riant, trinquant avec chacun, toujours se moquant, toujours cachant son divin savoir. Mais en ouvrant cette boite 3, vous y auriez trouvé une céleste et inappréciable drogue : une intelligence plus qu’humaine

la fin du IXe siècle, date des tout premiers textes littéraires en langue romane. A partir de cette date, la langue romane est perçue comme une langue pouvant rivaliser avec le latin dans l'expression littéraire, même si le latin demeure la langue savante de la communication internationale. La littérature médio-latine reste féconde. Mais, peu à peu, la nouvelle langue suscite des formes neuves. | Les textes de cette période, toutefois, ne relèvent pas à proprement parler de l'écrit, dans la mesure