Mon Corps Ma Conscience Sont Inaliénables

liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste de la théorie de l’aliénation (Heidegger, Sartre) 14 4. Toute conscience est aliénation (Nietzsche) 15 5. Comment se libérer de l’aliénation ? 15 6. Critique de la théorie de l’aliénation 15 III. Liberté et déterminisme 16 A. Liberté et déterminisme s’opposent 16 1. La liberté comme acte gratuit (Gide) 16 2. La

qu’il détermine le cadre territorial de l’Etat et qu’il conditionne l’indépendance de celui-ci. En effet, le territoire est le facteur d’unité du groupe en ce sens qu’il constitue un symbole de l’idée nationale. Il permet à la population de prendre conscience de son existence en tant que groupe différent des groupes voisins. Le territoire détermine, à la fois, l’étendue et les limites de la puissance publique. Par ailleurs, il constitue un cadre de compétence, c'est-à-dire une espace dans lequel l’Etat

jurisprudence en a fait autre chose aux XIXème et XXème siècles : il a utilisé les potentialités de l’article 1382 pour faire l’honneur et créer de nouveaux droits. Ensuite la jurisprudence a vu les limites de l’article 1382 car des droits dans la conscience collective sont devenus essentiels. Pour la jurisprudence, il faut démontrer ce qu’on affirme; ce qui est très difficile à prouver en cas d’absence de préjudices. Dès les années 1970, le législateur a consacré spécifiquement ces droits dans

➢ L'individualisme repose sur deux principes : • La liberté individuelle, ou le droit de se préoccuper en premier lieu de la condition des individus de la société avant la condition de la société elle-même. Elle est inaliénable, s’impose au dessus des règlementations, lois et prescriptions des autorités quelles qu’elles soient (Etats, partis, église,…) • L'autonomie morale : chaque individu se doit de mener une réflexion individuelle, sans que ses opinions soient

le Bref, l’élection est donc une formalité constitutive de légitimité. Cela est contestable d’autant plus que l’élection n’est pas le fait de tout le peuple : seuls les grands fidèles de Pépin le bref ont voté sont élection. Même Pépin le Bref a conscience de la fragilité de sa légitimité. Il retourne donc au principe d’hérédité de sorte que ses fils règnent à sa suite et puissent se prévaloir de la légitimité par le sang. En 888, la situation est si troublée que les grands reprennent le pouvoir

sujet mourant, exactement comme Galloix est une personne mourante laissant du même coup parler un sujet à l’agonie. Comme le disent et le répètent Guy Rosa, Ludmilla Wurtz et Henri Meschonnic, la subjectivité poétique est impersonnelle. Quittant son corps, le sujet de l’écriture perd sa personne et gagne l’âme de tous. C’est cette réflexion qui est aux fondements de mon travail. La poésie lyrique de Hugo avant l’exil gagne à être vue, à mon sens, sous l’angle du paradoxe : le lyrisme intime est le lieu

l'homme expérimente aussi des états qui semblent contredire son inéluctable nécessité. Ainsi la joie, le plaisir, le bonheur, le divertissement, paraissent atténuer la conscience que nous prenons de son écoulement dramatique et peu compatible avec notre espérance fondamentale. Si la mort est au coeur du vivant et, par la conscience, au coeur de l'homme, il est non moins vrai que le désir d'immortalité hante l'homme, comme le revers fantasmatique d'une inéluctable dissolution.      Le bonheur, si

droit positif A. La diversité des lois positives L’observation immédiate invite au relativisme, car les lois effectives varient suivant les temps et les lieux. Michel de Montaigne (1533-1592), qui vit à l’époque des grandes découvertes, avait une conscience aiguë de la grande diversité des cultures, donc des coutumes et des lois à travers le monde : La vérité doit avoir toujours le même visage, universel. Si l’homme rencontrait la droiture et la justice incarnées et avec une existence réelle, il ne

être appliqué aux créatures sans raison ou inanimées aussi bien qu’aux créatures raisonnables. Si en effet une chose quelconque est liée ou entourée de manière à ne pas pouvoir se mouvoir, sauf dans un espace déterminé, délimité par l’opposition d’un corps extérieur, on dit que cette chose n’a pas la liberté d’aller plus loin. C’est ainsi qu’on a coutume de dire des créatures vivantes, lorsqu’elles sont emprisonnées ou retenues par des murs ou des chaînes, ou de l’eau lorsqu’elle est contenue par des

appliqué aux créatures sans raison ou inanimées aussi bien qu’aux créatures raisonnables. Si en effet une chose quelconque est liée ou entourée de manière à ne pas pouvoir se mouvoir, sauf dans un espace déterminé, délimité par l’opposition d’un corps extérieur, on dit que cette chose n’a pas la liberté d’aller plus loin. C’est ainsi qu’on a coutume de dire des créatures vivantes, lorsqu’elles sont emprisonnées ou retenues par des murs ou des chaînes, ou de l’eau lorsqu’elle est contenue par des