Mon Rêve Familier Champs Lexical

tort Oenone pour trouver un bouquet-misère (hahaha…) à ses douleurs. Centré sur Hipp+Aricie. Puis depuis la ligne 1241, centré sur elle, c’est l’antithèse de ce qu’Hypp et Aricie ont vécu, l.1241-1244 montre sa douleur face à leur bonheur. Champ lexical de l’effondrement, des larmes de Phèdre : L.1245 larmes abreuvées, l.1247 dans mes pleurs me noyer, l.1250 mes larmes. l.1248 : OXYMORON⋄ funestes plaisirs l.1251-1252 : Oenone montre ici sa naïveté, pour elle loin des yeux= loin du cœur

critique systématique des mots « d'en-bas » qui sont« en haillons », « sans bas, sans perruque ». Les termes « nobles » sont à Versailles et « ont le décorumpour loi » alors que « les autres, tas de gueux » sont « marqués d'une F », qui signifie ici familier. V.Hugo file la personnification jusque dans la juxtaposition des adjectifs habituellement attachés àl'homme. Ces mots sont « mal nés » car leur vie est attachée aux lieux dans lesquels les hommes les emploient :« les galères » (v.6), « les halles

« touriste » (curieux, cultivé : un écrivain voyageur)  : « le quartier bruyant […] à peu inconnu » 1.1. Le pittoresque  : (typique, étrange, exotique, surprenant, non familier, autre, ailleurs) 1.2. Les sens en éveil(l’orient se découvre par les sens et non par la raison, impressions fortes, sensuelles, voire brutales, désagréables, choquantes) 2. La mort dans la ville 

Bellay, Les Regrets). Apologue : un court récit, en prose ou en vers, qui comporte une morale. Assonance : répétition expressive de la (ou des) même(s) voyelle(s) ou du même son vocalique. « Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant […] » (Verlaine, Poèmes saturniens, « Mon rêve familier »). Asyndète : forme de parataxe où l’on supprime les mots de liaison (les conjonctions de coordination). « Ils demandent le chef ; je me nomme, ils se rendent. » (Corneille, Le Cid). Burlesque : adjectif qui

Homme qui s'installe a Paris en 1914, Balzac va au pensionnat du fait des discordes avec sa mère. Il devait être notaire mais veut devenir homme de lettre. En 1820, il débute par un échec avec sa pièce Cromwell. C'est seulement en 1828 avec Les chouans qu'il commence à se faire connaître. Sous la restauration, il va chercher une solution dans un légitimisme moderne, organisé et unificateur. Après être entré en contact avec Mme Hanska en 1832, elle lui donne un fils en 1836 et il se marrie avec elle

voir comme on nous parle Comme on nous parle On nous Claudia Schieffer On nous Paul-Loup Sulitzer Oh le mal qu'on peut nous faire Et qui ravagea la moukère Du ciel dévale Un désir qui nous emballe Pour demain nos enfants pâles Un mieux, un rêve, un cheval Foule sentimentale On a soif d'idéal Attirée par les étoiles, les voiles Que des choses pas commerciales Foule sentimentale Il faut voir comme on nous parle Comme on nous parle Cinda Situation d’énonciation: 1) Auteur:

http://www.naute.com/penserie/chanson.phtml Page 6 : Troisième poème : Poème du XIX ème siècle : « Demain, dès l’aube… » de Victor Hugo, écris en 1856, extrait des Contemplations. Page 7 : Quatrième poème : Poème du XIX ème siècle : « Mon rêve familier » de Paul Verlaine, écris en 1866 et extrait de Poèmes saturniens , trouvé à la page 377 du livre littérature. Page 9 : Cinquième poème : Poème du XX ème siècle : « Il pleut » de Guillaume Apollinaire , écris en 1918, et extrait de Caligrammes

amorce une généralisation sur le bonheur du poète dans ce moment d’envol. Le cinquième quatrain perdure cette généralisation cette foi portant sur un appel à la réflexion dans le mouvement de l’envol. Le mouvement d’envol et supporté par le champ lexical du mouvement qui a partir du troisième quatrain ce lie à la métaphore filé qui compare l’esprit poétique à un oiseau. Cette comparaison et aussi utilisée dans « L’Albatros » qui inversement à « Elévation » relate la chute du poète et le malaise

Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Vois sur ces canaux Dormir ces vaisseaux Dont l'humeur est vagabonde ; C'est pour assouvir Ton moindre désir Qu'ils viennent du bout du monde - Les soleils couchants Revêtent les champs, Les canaux, la ville entière, D'hyacinthe et d'or ; Le monde s'endort Dans une chaude lumière. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, Spleen et idéal, LIII b) Moesta et errabunda

fortunées, les jeunes filles étant admises « de dix à quinze ans » et les jeunes gens de « douze à dix-huit » (p. 355). Rabelais les appelle « femmes et hommes » malgré leur jeune âge, comme s’ils étaient déjà des adultes responsables. Les champs lexicaux de l’emprisonnement et de la liberté se déploient à la fin du chapitre 52 : ces expressions « forcés, contraints, continûment, leur vie durant » s’opposent à « quand bon leur semblerait, entièrement libres, vivre en liberté » (p. 355), annonçant