Mon Rêve Familier Champs Lexical

« Crépuscule », dédié à Marie Laurencin, semble faire allusion aux aquarelles du peintre et à l’atmosphère de rêve qui les baigne. Dans ce texte, composé de cinq quatrains d’octosyllabes, alternant rimes embrassées, rimes suivies et rimes croisées, Apollinaire met en scène des saltimbanques côtoyant des bohémiens. Le texte se présente comme le déroulement d’un spectacle à la fois familier et étrange, qui mêle aux figures de théâtre celles, plus énigmatiques, de la sorcellerie et de la mort. Le poème

désespéré C. Une envie de mettre fin à ses jours III) L'isolement du poète A. Le champ lexical de l'infini B. Le champ lexical de la solitude C. Un monologue Plan de commentaire I- L'implication de l'auteur - L'emploi de la première personne du singulier Le " je " de l'auteur s'adresse à un " tu " inconnu qui pourrait aussi bien être lui même (soliloque). Il s'oppose au elle qui introduit le récit du rêve. Verlaine reprend le " je " qui rappelle le mal-être chanté par les romantiques, pour

de notoriété (le pont Mirabeau, la Seine) renvoient à un Paris familier du poète et des lecteurs. Poème qui comme c’est très souvent le cas chez Ap exprime une tension entre tradition et modernité . Forme poétique renouvelée plutôt que réinventée. II- Une méditation sur le passage et la permanence a) Le passage Dans union des thèmes eau/amour /temps : 1er et second couplet eau/amour 3ème et 4ème couplet eau/amour /temps Champ lexical : récurrence des verbes de mouvement : passer aller venir revenir

les brumes, de voir naître L'étoile dans l'azur, la lampe à la fenêtre Les fleuves de charbon monter au firmament Et la lune verser son pâle enchantement " • • Les mots "firmament", "brume", "étoile", "azur", "lampe", "lune" évoquent le champ lexical de la lumière. Cependant, elle est perçue de façon atténuée, progressive. Ces expressions donnent un univers magique au crépuscule urbain, c'est une ville de lumière et de mouvement. Ce mouvement est souligné par le rejet du vers 9 au vers 10.

nous étudierons l’éloge du poète , puis que ce poème est une mise en oeuvre d’un texte baroque puis dans un un seconde temps une lettre sonnet qui donne importance à la chute = le dénouement à la fin . I. L’éloge du poète La paresse -champs lexical de la paresse : paresse , dort dormant , haîs tant le travail , la languer , lit , tous cela met en valeur la fainéantise du poète , met son défaut du poète Sa paresse s’éxerce dans sa chambre et la moindre chose qu’il fais est de mettre sa mains

L'Angoisse Dans le dernier poème de Melancholia, le poète abandonne l'évocation du passé et des regrets, le rêve d'une femme consolatrice et du même coup le "vernis" de la poésie traditionnelle, auquel il se référait jusque-là (en la transformant). L'Angoisse est l'expression brute, sans détours, sans illusions, de la mélancolie du saturnien : ce poème, aboutissement de la section, marque l'échec du poète à se soustraire à son mal. Comme le titre le laisse présager, le poème est violent, sombre

constatent pas. Les maîtres aimaient Dargelos. Le censeur était extrêmement ennuyé de cette histoire incompréhensible. Jean Cocteau, Les enfants terribles 1. Pèlerines : manteaux en forme de cape. 2. Acolyte : compagnon, complice. 3. Lippe : terme familier désignant la lèvre du bas. 4. Censeur : personne responsable de la discipline dans un établissement scolaire. 5. Gérard est un élève, ami de Paul. QUESTIONS (15 points) 1. Qui sont les deux personnages présentés dans les lignes 1 à 12 ? Qu’est-ce

Sujet : Les poètes cherchent-ils toujours à fuir le monde réel ? Introduction : Inspiration poetique, mythe d’Orphée, definition des termes dii sujet I- Le poète fuit le monde reel et le quotidien...A- Le poête fuit le monde réel pour s’isoler de la souffrance qui le consume Le poete se présente volontiers comme un être venu d’ailleurs, éternel voyageur qui fait la réalite, « n’importe oir, loin du monde » (« Anywhere ont of the world », titre d’un poeme des Fleurs

concrète, jusqu’à que celui-ci repère quelque chose pour se raccrocher a l’humanité, comme par exemple, pour Baudelaire, cette passante qui l’interpelle visuellement. La rencontre entre le poète et la passante fait l’effet d’un véritable choc, le champ lexical du temps « Un éclair… puis la nuit! » utilisé au dixième vers exprime toute la violence de cette rencontre, l’éclair pouvant faire référence à la foudre. Le poète poursuit sur une vision d’obscurité « la nuit », comme si la vue de cette beauté

ajouter des figures de style Commentaire littéraire : * Identifier le genre du texte (poème, dialogue théâtral, extrait de roman,…) * J’OBSERVE | JE RELEVE | JE COMMENTE | -Le lexique | Champs lexicaux | Thèmes du texte, sens | -Le niveau de langue | (soutenu, courant, familier) | Niveau social du personnage, proximité | -Voc péjoratif ou mélioratif | Qualificatifs, etc… | Sens, image que veut donner l’auteur | -Temps verbaux | Mode, temps, aspect, personne | Réalité / irréalité