Monarchie Républicaine

s’affirme est ce consolide par étape, elle triomphe de ces adversaire, des épreuves et des crises. Elle met en place une véritable culture politique républicaine. Ainsi sont posés des principes fondamentaux et durables (la démocratie, les libertés, la laïcité, et les droits sociaux) qui entraîne l’adhésion à la nation française. La France devient republicaine . A) La mise en place de la république (1870-1880) En 1870, a l’occasion de la défaite de Napoléon 3 face à la Prusse, la république est proclamer

monarchiste dû à leur volonté d’arrêter la guerre contrairement aux républicains. Paradoxalement, de cette assemblée monarchiste nait une république, la constitution de la IIIème République. Les monarchistes divisés (entre les légitimistes avec le Comte de Chambord et les Orléanistes avec le Comte de Paris) ne parviennent pas à s’entendre sur la restauration de la monarchie, et décide d’adopter un régime républicain avant les républicains, pour garder une main mise sur le pouvoir. Le 30 janvier 1875 marque

détermine son successeur. > La contestation de l’Ancien Régime -Contestation doctrinale de l’Aristocratie et l’idée de monarchie limitée La première forme de contestation est aristocratique et n’a aucun caractère démocratique. Le pouvoir du roi doit être limité par un pouvoir plus fort de la Noblesse. Les Nobles critiquent le pouvoir du Roi et veulent le remplacer par une monarchie limitée. Sorte de libéralisme aristocratique. Référence à l’Ancienne Constitution du Royaume, qui pour eux limitait le

traiter avec un gouvernement qui n’a pas été élu. Cependant les élections législatives se base uniquement sur la guerre ou la paix, les monarchistes étant majoritaire, ils l’emportent, l’armistice est signée. Il s’agit donc pour eux de rétablir la monarchie... Mais il y a une division entre les monarchistes: Les légitimistes: Les bourbons, petit fils de Charles X, comte de Chambord. Les orléanistes: Dont le petit fils de Louis-Philippe et comte de Paris. Paragraphe 2: La loi du 13 mars 1873 dite

la religion dans le strict privé, reprenant ainsi l'affirmation de la liberté religieuse dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen (D.D.H.C) de 1789. Mais, de même qu'elle se déclare anti-monarchique en 1792, après une expérience de monarchie constitutionnelle, elle se déclare anti-catholique en 1793, après une expérience d'Église constitutionnelle en continuité avec les efforts gallicans, avec l'ingérence de l'Etat dans l'organisation structurelle de l'Eglise. La déchristianisation s'impose

Aristocrate, il est néanmoins plus ou moins « frondeur » : il est particulièrement critique envers le despotisme de la monarchie en ce XVIIIème siècle. Il l’a d’ailleurs dénoncé dans son ouvrage « Les lettres persanes ». Il va ainsi cherché à combattre l’absolutisme royal, en établissant une théorie garantissant la liberté en s’inspirant de l’expérience britannique, où il observe que la monarchie s’appuie sur la bourgeoisie naissante pour contrer l’influence de l’aristocratie. C’est ainsi qu’il s’inscrit

qui présente des ressemblances et des différences avec celles quo l’ont précédé. Certaines dispositions sont issus de constitutions anciennes. Par exemple le droit de grâce du président de la 5ème République nous vient de la monarchie. Tous les chefs d’État républicains de la 2ème, 3ème et 4ème république se sont servis de ce droit. De même depuis la 2ème république le président dispose de la force armée, il négocie et ratifie les traités et il accrédite les ambassadeurs. Tous les pouvoirs du

(Conseil d’État). 
 
 CHAPITRE 1: LES CONSTITUTIONS DE LA RÉVOLUTION ET DE L’EMPIRE I. L’œuvre de l’Assemblée nationale constituante ou la révolution juridique C’est à dire l’assemblée qui nait des états généraux mis en place par Louis XVI sous la monarchie constitutionnelle, qui se déclare constituante. Elle met en place la première constitution écrite, la constitution du 3 septembre 1791. A. Des États Généraux à l’assemblée constituante
 1. Convocation des états généraux
 • En 1789, difficultés

Le chef de l’Etat sous la IIIème République I. L’établissement de la IIIème République et l'instabilité politique au début. A. L'irresponsabilité présidentielle, à cause de change de monarchie. Un régime parlementaire absolu B. Les pouvoirs présidentiels, comme définis par la loi Rivet du 31 août 1871. II. Les limites prescrites au chef de l'Etat après les lois constitutionnelles de 1875 A. Les pouvoir théorétique et la situation en réalité. B. La disparition progressive de poste de chef de

le 20 juin 1791. Leur arrestation à Varennes le lendemain, leur retour à Paris sous la garde de Barnave, Péthion, Latour-Maubourg et l'escorte de la force armée, le 25 juin 1791. Décret ordonnant le retour des émigrés, le 11 juillet 1791. Emeute républicaine à Paris (fusillade du Champ-de-Mars), le 17 juillet 1791. Déclaration de Pillnitz (mise en garde des puissances étrangères à la Révolution française), le 27 août 1791. Acceptation de la constitution révolutionnaire de 1791 par le roi, auquel le