Monarchie Républicaine

L’idée de nation et de souveraineté nationale Avant la révolution le roi seul détient la souveraineté. Lui seul détient tous les pouvoirs qu’il a reçu directement de Dieu (doctrine de la monarchie). Le roi n’est pas un homme comme les autres (par le sacre le roi se tient à mi chemin entre les hommes et Dieu). → monarchie de droit divin, elle n’est pas dissociée de l’église. La situation change lorsque les états généraux se proclament assemblée nationale le 17 juin 1789. Désormais la nation est représentée

Champs Elysées, et une indemnité de guerre importante, les monarchistes ne s’attèlent pas à provoquer un retour à la monarchie et préfère laisser aux Républicains la tache ingrate d’assumer la défaite. Les monarchistes conservent Adolphe Thiers au pouvoir le temps de solder les conséquences de la guerre tout en préparant le retour de leurs prétendants. Celui-ci, clairement républicains se verra de plus en plus en opposition avec une chambre des députés à tendance fortement conservatrice et donc monarchique

donc une monarchie. Jusqu’à Louis X, il y a toujours un fils aîné. Jusqu’à 1614, alors que Louis XIII est roi, on réunit les Etats généraux pour discuter avec le roi d’un certain nombre de problèmes avec le roi (surtout fiscal). Ensuite, on ne va plus les réunir jusqu’à 1789. Jusqu’à 1614, on considère que la monarchie est limitée : le roi doit prendre en compte les aspirations du peuple jusqu’à un certain point. Après 1614, le roi gouverne sans les Etats généraux : on appelle cela la monarchie absolue

conservateurs sont favorables au rétablissement du Comte de Chambort ( petit-fils de Charles X ). D’autre part, les orléanistes qui sont pour le rétablissement du Comte de Paris ( petit-fils de Louis Philippe ). Ils ont 400 sièges. Les républicains ont 300 sièges. Les républicains et les monarchistes vont confier les responsabilités du gouvernement à Thiers ( monarchiste à ce moment ). Il est nommé chef du pouvoir exécutif le 17 juillet 1871. on a un exécutif monocéphal. Le pacte de Bordeaux est un pacte

démocratie n’est pas nécessairement républicaine et réciproquement une république n’est pas nécessairement démocratique. Parce que le critère distinctif de la démocratie d’une part et de la république d’autre part. Ces deux types de régimes politiques proposent sur deux types de distinctions hétérogènes : Le critère de la démocratique est le nombre d’individu qui exerce le pouvoir politique, ce critère amène à distinguer trois types de régimes politiques : - monarchie : le pouvoir exercé par un seul

pays de tradition parlementaire, c'est un pays d'autocrate. En 1918, ce régime monarchique s'effondre. C'est alors qu'est implantée, en raison de la guerre et de la défaite, on implante la République de Weimar afin de montrer la rupture avec la monarchie, cela va être un échec car elle ne va pas réussir à cause des extrémistes nazis vont chercher à remporter les élections. Hitler arrive au pouvoir en 1933 légalement, donc le peuple rejette toute approche du parlementarisme, c'est une dictature. Le

la composition de l'assemblée. Les plus nombreux étaient les monarchistes (450) mais qui se divisaient entre légitimistes (favorables au retour des bourbons) et orléanistes ensuite venaient les républicains et enfin les bonapartistes et quelques indécis. La volonté de l'assemblée de rétablir la monarchie semblait au départ évidente mais encore fallait-il s'entendre sur le monarque. Les légitimistes souhaitent installer au pouvoir le comte de Chambord qui était le petit fils de Charles X (frère de

Le texte que nous allons étudier témoigne de l’époque républicaine. Il s’agit d’un extrait de l’oeuvre magistrale de Polybe, "Histoires". Cette oeuvre, dont seulement 5 volumes sur les quarante d’origine nous sont parvenus, montre comment et pourquoi les nations civilisées du monde sont tombées sous la domination de Rome de 220 avant Jésus-Christ à 140 avant Jésus-Christ. Polybe naquit entre 210 et 208 avant Jésus Christ à Mégalopolis en Arcadie, qui à ce moment appartenait à la ligue achéenne

Venise est une République. La monarchie est ressentie au 18ème S, comme le seul pouvoir légitime. Pourquoi ? pour deux raisons, la monarchie a une double autorité qui n’est pas contestée pendant tout le 18ème S : l’autorité de l’histoire (le poids du passé) et le poids de la religion. Ce sont ces deux piliers à la monarchie. Elle repose sur ces deux légitimités qui ne sont pas démocratiques mais elles ont leur logique. La monarchie française est la plus vieille monarchie européenne puisque les rois

commun et est républicaine, toute république n’est pas nécessairement une démocratie. En effet, une monarchie ou une aristocratie peut tout à fait concourir au bien commun, dès lors où le(s) titulaire(s) de l’autorité administre(nt) la cité en vue de l’intérêt général. Cf. Jean Bodin, Les six livres de la République : « c’est pourquoi les Anciens appelaient République une société d’hommes libres assemblés, pour bien et heureusement vivre ». bilan/transition : la nature républicaine du régime démocratique