Monastère de Séra

laureshamenses) (ap. 796) sont une compilation d'annales (chroniques anonymes) qui furent (en partie ?) rédigées et conservées dans le monastère franc du même nom, situé à 60 kilomètres au sud de Francfort, en Hesse. Ainsi nommées à la fin du XVIIIe siècle, dans leur forme la plus complète (l'unique copie d'extraits d'un codex perdu qui fut conservée au monastère de Saint Blasien, dans la forêt noire, jusqu'en 1809), elles couvrent, après une brève introduction, la période qui va de 703 jusqu'en

Sabéens, Abyssis ancien et toutes sont gravées sur des stèles. * Les documents archéologiques * Les monuments d’Axoum : L’obélisque d’Axoum, Eglise du monastère de Debré Damo (monastère Éthiopien) * La tradition oraleL'obélisque d'Aksoum est le symbole de la civilisation aksoumite. C. ORIGINE Deux versions expliquent la fondation du royaume : * Premièrement selon la légende Axoum fut longtemps considérée comme ayant été fondée par des sa Sabéens de langue Sémitique qui auraient traversé la

oeuvre sera éternelle. L'opposition entre sa chair et son esprit se faisant de plus en plus douloureuse, il trouve un réconfort dans la nature. Au cours d'une de ses promenades, il rencontre la tzigane Lise, qui l'initie à l'amour. Il quitte le monastère en traversant la rivière à la nage, et s'engage dans «la voie vers le sens de la vie». Il erre alors dans toute l'Allemagne, affronte la vie dans ses joies et aussi dans ses horreurs, et va de femme en femme : il cherche auprès d’elles l'assouvissement

* Les cénobites : ils vivent ensemble dans un monastère. Combattent au service de Dieux, guidé par une règle et par un abbé. * Les ermites : Ils ne vivent pas en communauté, lutte contre l’esprit du mal. N’ont plus besoin du secours des autres. Dieu les aide. * Les sarabaites : Ils vivent à 2 ou à 3. Sont coupé du monde et ne suivent pas vraiment de règles. * Les gyrouages : Ils bougent tout le temps et passe leur temps d’un monastère à un autres. Ils vivent en communauté et partagent

et des enfants de familles modestes ont pu en profiter. Au début du Moyen-âge, la plupart des écoles se trouvaient dans les monastères. A la fin du VIIe siècle, Charlemagne a encouragé la création d’écoles en dehors des monastères, il souhaitait qu’un plus grand nombre d’enfants puisse apprendre à lire, à écrire, à compter et à réciter des prières. Les enfants des monastères étaient pensionnaires : ils étaient confiés aux moines pour quelques années, le temps de savoir bien lire, compter, chanter

l’art de l’ascèse. Il lui restait cependant à la mettre en application dans un endroit propice, suffisamment retiré du monde et silencieux pour y vaquer à l’œuvre de Dieu sans distraction. Ce lieu, il le trouva dans une vallée désertique, séparée du monastère familial d’Annésis par le cours de l’Iris, véritable paradis terrestre, selon son jugement, où il put attirer Grégoire et mener pendant quelque temps en sa compagnie la vie d’ascèse, de travail manuel, de méditation de l’Écriture sainte et de prière

àFontevraud, près de Saumur en Anjou (actuel Maine-et-Loire). Site de 13 ha établi à la frontière angevine du Poitou et de la Touraine, elle est l'une des plus grandes cités monastiques d'Europe1. Initialement monastère mixte, accueillant femmes et hommes au sein des mêmes bâtiments, puis agrandi en monastère double dans l'esprit de la réforme grégorienne, l'abbaye de Fontevraud va s'attirer la protection des comtes d'Anjou puis de la dynastie des Plantagenêts qui en feront leur nécropole. Après un déclin

vit dans les monastères, et le clergé séculier, qui vit « dans le siècle », en compagnie des autres chrétiens. Les prêtres desservent les églises situées dans les paroisses et sont dirigés par les évêques, placés à la tête des diocèses. C. Le monastère, lieu de prière : Les moines vivent dans les monastères. Retirés du monde, leur principale mission est de prier pour les Hommes, mais en particulier pour l’âme de celles et ceux qui font des donations (terres, droits…) à leur monastère. Les monastères

et se retrouvent face à face avec les soldats et ils vont essayer de les mettre sous contrôle. Les seigneurs, les sires sont dans des logiques de prédation, de conquête de nouveaux pouvoirs, châteaux. Nouvelles richesses qui se trouvent dans les monastères, lieux saints. Les moines se défendent contre ce qu’ils considèrent comme le désordre. Lecture apocalyptique des temps : ils pensent que la fin des temps est venue. Ils vont avoir des lectures messianiques : Jésus revient 1000 ans après sa mort

d’ouvrir un centre de haute culture religieuse à Rome mais en 535 la guerre fait échouer son projet. Mais Cassidore continue malgré tout la promotion de la culture chrétienne jusqu’à sa mort en 583. Grégoire, aristocrate romain transforme sa maison en monastère. En Espagne jusqu’en 589 (conversion du Roi Reccared) les évêques utilisent science religieuse seulement au service de leurs lois. Puis avec le rétablissement de l’unité religieuse les clercs renouent avec un humanisme oublié pendant les années de