Mondanité

galanterie. La préciosité connaîtra son apogée entre 1650 et 1660. Elle envahira simultanément les sphères sociales, morales et littéraires. Elle devient un mode d'action, un sentiment, et même un état d'esprit collectif. Elle suppose nécessairement la mondanité : la conversation, jugée supérieure à l'écriture, est la principale occupation. Il faut bien comprendre que tous les compliments faits à une femme le sont pour être applaudis par un tiers (pour montrer sa culture et son esprit) : d'où la nécessité

étudions se veut douce incantation, rupture avec le cycle (cf. Heure v10) cycle d'une vie infernale, les Enfers étant la cours, monde du vertige et du tourbillon. (100000 façons). La magie verbale est une sorte de contrepoison au maléfice de la mondanité B- le thème de l'amour est faiblement exploitée mais bien présent par une référence aux amants parfaits orphée et eurydice. Parallélisme remarquable du dernier vers (pointé) se termine par une chute. Cela scelle le pacte amoureux puisqu'on sait

les chanceliers allemands de 1871 à 1914 font partis de la haute noblesse. La noblesse prussienne représente, elle, 99 % des gouverneurs de province. Inévitablement, un fossé reste présent, les nobles gardent une vie sociale distincte avec les mondanités, les résidences secondaires et les loisirs coûteux comme la chasse ou le tourisme. De plus, des privilèges subsistent. En Prusse, la loi des trois classes de 1850 permet une surreprésentation de la noblesse dans la chambre haute et en Angleterre

sommet dusucces. Gravir les échelons en passant par les alcôves, telle est l'ambition de Georges Duroy, séducteur cynique, ambitieux, sans scrupules. Georges Duroy qui devient la parfaite représentation de cet univers impitoyable constitué de mondanités, d’anoblissement frauduleux, d’adultère. Tout devient simple pour lui car il trompe, exploite, prend du plaisir et de l’argent là où il se trouve. Maupassant traite cette iresistible ambition en répresentant Bel ami et dévoile que ce désir de réussite

les romans sont peu appréciés. Conséquence : "il jeta au feu tous ces détestables écrits". Voltaire règle ici un compte personnel. II) Eloge des bons lettrés A. Qualité du lettré, qualité du philosophe • • • • "fuir la foule" => fuit la mondanité que les mauvais lettrés font. "il connaissait les hommes" => il est cultivé. "il en faisait usage" => il fréquente les hommes, il est sociable. "communiquait avec discrétion" => il sait parler sans chercher à faire des bons mots. B. Il y a du

propres désirs qu'elle ne peut le faire en allant la voir ; elle se répond ainsi à elle-même, sublimant dans l'écriture son souci de l'autre. Gaie, spirituelle, tendre, la célèbre épistolière mêle également dans ses missives sans aucune gêne les mondanités , les confidences, les plaisanteries et les jugements littéraires. Plus peut-être que St Simon, elle offre de la vie à Versailles (où elle se rend pourtant rarement) une vision nette , drôle, suggestive. Quant à la vie « côté ville » et « côté campagne »

vertu qui est leur. Il y a une notion d’épreuve envoyée par Dieu pour mettre à l’épreuve la vertu de cette femme de bien. Le verbe humilier a un sens de faire pénitence car il y a une tendance à l’orgeuil. Il faut s’humilier pour s’éloigner des mondanités. Le discours religieux de Oisille est évangéliste (théorie de la prédestination). Meme si on est prédestiné il ne faut pas abandonner sa vertu. Oisille exagère vis à vis de la religion, car il n’y a pas la volonté d’etre un martyr. C’est une société

étrange: mutilé gravement, il n’a pourtant pas connu le front. Aragon montre combien la guerre perdure dans les esprits de ceux qui l’ont vécu, alors même que la société des années 1920 s’avère frivole, oublieuse et livrée aux divertissements, à la mondanité d’amour. Si Aurélien possède des réactions, des comportements et des sentiments qui furent ceux de la génération des anciens combattants (un lien mystérieux l’unit ainsi par exemple à ses anciens compagnons du 2e bataillon, ce que l’on voit dans

forme artistique et littéraire qui se sert de l'humour de la moquerie pour dénoncer. Pour cela, dans ces remarques, l'auteur commence dans registre de l'éloge ; un homme doté de toutes les qualités du monde, se comportant façon exemplaire dans les mondanités. Comme au début de la remarque d'Arrias "Arria: tout lu, a tout vu”  « « « «  exemple : le berger » » »*. Ensuite, La Bruyère plonge son personnage dans une situation pour souligner ses défauts« il s’agit donc d’un coup de théâtre qui s’inscrit

nombreuses prises de conscience par l’exclamation et l’interrogations ; « que je vous aime ! », «  de le croire a mon cœur enflammé ? », dans une situation qui ne l’est pas. Célimène s’oppose a cette dimension tragique en utilisant un trait rependu de la mondanité, l’ironie, « le bonheur de vous savoir aimé », « il est vrai que votre ardeur est sans seconde » « et l’on n’a pas vu d’amour si grondeur ». Cependant, la fluctuation sans cesse de ses convictions avec ses sentiments s’oppose au personnage tragique