Mondanité

Les poètes expriment aussi leurs différences en montrant un mode de vie décalé au reste de la population. Ce sont des artistes, qui ne travaillent pas aux mêmes horaires que les ouvriers, ils vivent souvent la nuit, participent à de nombreuses mondanités ou peuvent au contraire prôner la solitude et l’étude, isolé du reste de la société. Le poète occupe une place spécifique dans la société. C'est un artiste, un homme méprisé par la société bourgeoise car son œuvre n'apporte rien de matériellement

son rôle plus important et fonctionne lui même comme une salle de spectacle, le milieu constituant la scène et les loges sur les côtés permettant de voir et de se faire voir, créant un jeu de regards. C’est un lieu de représentation sociale et de mondanités. Gauche : loge vue du bas de l’escalier Droite : vue de cette même loge sur l’escalier L’ampleur, l’ingéniosité de ses distributions comme de sa décoration ont fait de l’ouvrage l’un des endroits les plus célébrés et appréciés du Palais

 FILLE,  8  avril  =  «  les  problèmes  sexuels  de  Charles  »   Ê Beau  temps  =  courrier  arrive  plus  vite.  Eloge  de  l’écriture  de  MdG,  qui  est  en  retraite  à  Ste-­‐ Marie,  mondanités  marseillaises.  Rupture  de  Charles  avec  Ninon  et  la  probabilité  d’une  rupture   avec  la  Champmeslé,  problème  d’érection  =  comique  //  Molière  (Voiture,  qui  cite  Condé).   Changement

« loge » (ligne 11) chacune des vies individuelles à l'intérieur de ses frontières, mais se destine à leur survivre et à les transcender toutes, ce qui revient à dire comme le dit très justement l’auteur ligne 13, «  l'appartenance-au-monde », la mondanité, est la condition humaine de l'œuvre. L’œuvre a une fin prévisible, ce qui confère une certaine sécurité à l’Homme. Toute fois, l’automatisation qui voit le jour dans le travail menace ce monde de sécurité, en effet, les artistes qui fabriquent un

XIX° siècle Pauline SAUVETRE 2°3 I. Présentation de l’œuvre : Prosper Mérimée Écrivain (27/09/1803 - 23/09/1870) Prosper Mérimée naît au sein d'une famille cultivée et suit des études de droits. Adepte des salons littéraires et des mondanités, il côtoie les grandes plumes de l'époque, telles que Hugo, Musset ou Stendhal, dont il s'inspirera souvent. Mystificateur de la littérature, il réalise des pièces théâtrales (le Théâtre de Clara Gazul, 1825) puis s'attelle à la rédaction d'un ouvrage

un tableau caustique de la bonne société savoyarde puis se représente en jeune homme héroïque et amoureux, image dont il se moque finalement ». I) Un tableau plutôt caustique de la bonne société 1) Tableau de la « bonne société »  Le luxe, les mondanités : regard naïf face à un luxe déconcertant (le maître d’hôtel en grande tenue l.1-2) + Les armoiries l.3  Sous le vernis mondain : des Piémontais arrogants cf. la faute d’orthographe l.4-5. Aristocratie de province. 2) Le mépris de Rousseau à leur

communication) Démocratisation du poelage (saisir, au four, à couvert + garniture) Apparition des cartes, des menus, dressage à l'assiette Fin du 19ème début 20ème Besoin de restaurer un art de vivre disparu. Nouvelle forme de mondanité. Exotisme romantique. Maladies du siècle : rage, névrose, rachitisme, goutte, asthme, phtisie. La mer froide est prescrite sur ordonnance : Naissance du tourisme. Essor des villes d'eaux, thermalisme. L'europe mondaine fréquente les palaces : Napoléon

qui va l'occuper pendant vingt-deux années. Vers le succès littéraire (1872 - 1877) Portrait d'Émile Zola avant 1880. Émile Zola est un homme éminemment sociable, multipliant les amitiés de tous ordres et tous milieux, tout en refusant les mondanités. Passionné par ses semblables, il privilégie cependant les amitiés artistiques et littéraires, et fuit les politiques. Dès 1868 et grâce à ses travaux journalistiques, il se lie avec les frères Goncourt, Edmond et Jules. Puis en 1871, il rencontre

mes discours avaient toujours eu une petite tournure champêtre », avoue Jacob dans Le Paysan parvenu (p. 127). Et les premières pages laissent entendre, sans les voiler, les phrases naïves et maladroites d’un jeune homme qui ignore les codes de la mondanité. La célèbre scène du fiacre, dans La Vie de Marianne, vaut à Marivaux les pires attaques au nom de la noblesse du genre. La logeuse de la narratrice, Mme Dutour, conteste au cocher qui ramène la jeune femme le prix de sa course. S’ensuit une querelle

elle favoriser le liaisons dangereuses. 2/ L’HÔTE QUI FAVORISE INVOLONTAIREMENT LES LIAISONS DANGEREUSES du roman : a) elle domine à sa façon l’un des deux espaces dominants du roman : le château, la Campagne assez loin de Paris et de sa mondanité. Lieu de répétitions et de tranquillité. Lieu qu’elle appelle aussi cercle (CXII) où l’on s’ennuie assez vite et où les désirs feints ou sincères se dévoilent. Monde certes ouvert sur la nature mais clos tout de même. La grande proximité crée des