Mondanité

société et le désir de devenir écrivain est une sorte de névrose, d’aliénation mentale. Les grandes autobiographies rencontrent nécessairement la question de l’histoire et de la société. Ex Rousseau et fierté plébéienne, société où il faut faire des mondanités. Mouvement inhérent à certaines autobiographies du « je » vers le « il » chez Annie Ernaux : désir de dépersonnalisation y compris dans une œuvre à laquelle on a parfois reproché d’étaler les souffrances intimes de l’auteur. Dimension sociologique

dans le ciel comme une figure de démiurge, une divinité païenne –peut-être s’agit –il d’Hypnos ? Le décor, quant à lui, est rustique ; il s’agit des campagnes, des fermes, mais aussi par opposition des fumoirs luxueux des villes et d’une certaine mondanité. Venue des premiers lieux où l’Homme a vécut, la Voix doit porter partout et atteindre l’aimée même dans la modernité des villes. Après avoir situé le moment et le lieu, le « je » peut s’exprimer. On change donc d’énonciation. Après ce préambule

distingue cette œuvre de Stendhal, c’est que cette impuissance se joue dans un milieu mondain. Dès lors le personnage d’Octave devient un personnage complètement marginalisé. Il est alors perçu comme un héro aux valeurs romantiques, rejetant les mondanités, se sentant en dehors du monde et cultivant une mélancolie et une différence certaine. Son impuissance peut aussi être lue comme le déclin de toute l’aristocratie. Mais loin de ne voir en lui qu’un personnage impuissant, bornant ce personnage à

de la pensée, pourrait inspirer un jeu mimique puisque le langage est l’apanage d’une voix ultérieure. En effet, la gestuelle est favorisée par la décomposition du corps en ses éléments divers. Après son renoncement à l’univers du théâtre et des mondanités, le protagoniste, dans son désoeuvrement voué à la méditation émerveillée, s’invente, en échange, un monde où il joue des rôles différents au gré de ses doutes permanents. L’égocentrisme se joint à une mise en scène du je dans un theatrum mundi

: il apprend à reconnaître son semblable. La première forme est le rallye culturel qui dès l'âge 13 ans familiarise les jeunes avec les oeuvres de la culture. Les étapes suivantes sont le rallye-bridge et le cours de danse, où l'on apprend la mondanité, accompagné des parents et professeurs de danse, fin du bal tôt . L'apothéose vient plus tard ,par les soirées dansantes finissant jusqu'à l'aube, dans lesquelles les parents accompagnent les jeunes seulement au début « afin de ne pas donné l'illusion

fille de la comtesse : tous les protagonistes s'y côtoient. Ainsi la comtesse salue Nana, maîtresse entretenue par son propre mari, et le mari, le Comte Muffat, y serre la main de l'amant de sa femme. Zola les fait se rencontrer dans le lieu de mondanité par excellence, le salon aristocrate, pour souligner combien il n'est plus possible de différencier ceux qui se disent « cultivés, de bonnes manières » des gens du peuple, vulgaires et grossiers, aux mœurs douteuses -Nana. 16) Flaubert

des codes de la communication et en même temps une inhibition face au contact corporel. De par leur vocation plus sociale que sexuelle, on peut qualifier les sentiments qu’elle éprouve d’amour mondain. La duchesse, tout d’abord, est la reine de la mondanité parisienne, dont elle connaît toutes les règles. Dans la première partie de sa relation avec Montriveau, Antoinette parvient donc à produire dans les salons l’image souhaitée de sa domination sur le général, alors que ce dernier croit qu’elle se

s'engage dans une armée européenne (l'armée bavaroise). Descartes n'aura jamais à combattre et profitera essentiellement de cet engagement pour voyager à travers l'Europe.  Ce n'est qu'en 1628 que Descartes pose ses valises en Hollande, à l'écart des mondanités parisiennes. En 1633, il est prêt à publier le Monde, ouvrage qui décrit les structures physiques qui nous régissent. Il y défend notamment le fait que la terre tourne sur elle-même et autour du soleil, suivant en cela Copernic et Galilée. Mais

l’intrusion subjective du poète. Par ailleurs, le fait qu’il se compare à Orphée en dit long sur ses intentions, il se veut le guide de celui qui l’écoute. Tout comme Orphée devait guider Eurydice hors des Enfers. Le poète entend guider Hélène hors des mondanités, de la superficialité de la Cour. Pour ce faire, il lève le voile sur les travers de celle-ci et met en lumière le champs des possibles qui s’ouvre à Hélène si cette derniere décide de suivre ses conseils. Pour se faire, il met en exergue de façon

«L’étrangère» et son mari, flattés de connaître un romancier français, présentaient volontiers le phénomène à leurs amis. Non moins satisfait était Balzac de pénétrer dans une haute société qui, à Paris, ne se montrait pas du tout accueillante. Toutes ces mondanités l’enchantaient. C’est ainsi que, dans le salon des Hanski, il rencontra l’un de leurs plus vieux amis, le baron Joseph de Hammer-Purgstall. Membre de l’Académie de Vienne et de nombreuses sociétés savantes, extraordinaire polyglotte, connaissant