Monnaie Exogene Et Endogene

La monnaie est-elle neutre ? « Les activités réelles sont influencées par les variables monétaires, d’autre part, les grandeurs monétaires sont dépendantes des grandeurs réelles » explique Jean-François GOUX dans son ouvrage Macroéconomie monétaire et financière. Cet économiste français du XXIème siècle fait ici le constat d’une relation de réciprocité entre sphère monétaire et sphère réelle. La monnaie est un actif parfaitement liquide qui permet de s’acquitter de ses dettes. C’est donc un

CHAPITRE 2 : LA MONNAIE QU’EST CE QUE LA MONNAIE ? 1 A QUOI SERT A LA MONNAIE ? 1.1 L’approche fonctionnelle 1.1.1 La fonction d’intermédiaire des échanges 1.1.2 La fonction d’unité de compte 1.1.3 La fonction de réserve de valeur 1.1.4 Complémentarité des trois fonctions 1.2 Les limites de l’approche fonctionnelle 1.2.1 Monnaie et inflation 1.2.2 La dissociation des fonctions 1.2.3 Monnaie et confiance 2 LES FORMES DE LA MONNAIE (SCHEMA 2.2 PAGE 3) 2.1 La monnaie marchandise 2.2 Les monnaies métalliques

Eichengreen, 1993). La plupart de ces articles utilisaient les critères définis par les théories des Zones Monétaires Optimales (ZMO) afin d’évaluer la désirabilité de la phase 3 de l’Union Economique et Monétaire (UEM), c’est-à-dire celle du passage à la monnaie unique. Lorsqu’il apparut que cette dernière adviendrait de manière certaine, une seconde catégorie d’études s’est alors tournée vers la question des potentielles asymétries de transmission des chocs monétaires entre les pays membres de la zone (voir

certaines années. 2) Lien entre entreprise et territoire Cercle vertueux : 3) Les facteurs de croissance BARRO : Infrastructures ROMER : Recherche et développement LUCAS, BECKER : Capital humain Facteurs endogènes SCHUMPETER : Grappe d’innovations Facteurs exogènes B/ Analyses théoriques sur la compétitivité des entreprises 1) Compétitivité cout On veut être attractif, pour ça il faut que les entreprises aient la possibilité de devenir plus compétitif. La compétitivité cout va

valable (ces points seront repris par ses détracteurs) : (1) Elle ne considère pas le temps puisque considérant les ajustements sur les marchés comme instantanés. (2) Elle n’accorde aucune place à la monnaie puisque celle-ci ne peut avoir d’effets sur la sphère réelle. Say parle alors de la « monnaie voile » et écarte l’acte de thésaurisation3. (3) Enfin, la loi des débouchés est « a-institutionnelle » en ce sens qu’elle néglige les rapports sociaux. Il n’existe point de conflits qui tendent à brouiller

l’impact que peut avoir la monnaie sur l’économie réelle, c’est à dire sur le niveau de la production, de chômage, le volume des échanges. La question qui se pose est de voir si l’utilisation de la monnaie, la gestion de la monnaie, la quantité de monnaie en circulation dans l’économie modifie ou non les phénomènes réels à travers l’inflation. Ou est ce que le monnaie n’agit que sur les phénomènes monétaires. Enjeu important, car si OUI, on peut par exemple utiliser la monnaie pour réduire le chômage

comportements globaux au niveau national (ça c’est micro) - Des cycles économiques avaient été identifiés par certains économiste (ex :juglar) mais sur des bases peu convaincantes. - En 1936 : la théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie (Keynes) ; ouvrage précurseur de la marcro car l’accent été porté sur le rôle de la demande globale dans les fluctuations économiques - Ses successeurs ont engagé les états dans la poursuite de politiques de contrôles de la demande globale pour

microéconomie ne peuvent pas être généralisés, ainsi on en pas dire que ces résultats sont valable en macroéconomie, LE TOUT N’EST PAS LA SOMME DES PARTIES. (ex : les consommateurs ont peurs de l’inflation, ils vont anticiper la perte de valeur de monnaie) Si un grand nombre d’agents économiques se comportent de la même façon on aboutit aux résultats contraires (ex : inflation). L’intérêt général n’est pas la somme des intérêts particuliers. Ce problème = problème de l’agrégation (passage de la

Définition  de politique monétaire : C’est l’ensemble des stratégies et des procédures de décision qui, dans un cadre institutionnel donné (zone euro), conduisent à des décisions affectant les grandeurs monétaires (taux d’intérêt et quantité de monnaie en circulation) pour réaliser des objectifs fixés par les autorités monétaires. PM a 3 objectifs : * Maintien de la stabilité des prix de la zone euro * Croissance * Emploi Il existe 2 politiques : la politique monétaire conventionnelle

que la recherche du profit est au coeur de la croissance. La recherche du profit est donc le moteur du progrès technique, qui lui même est le moteur de la croissance. C’est l’irrégularité du progrès technique et les variations de la quantité de monnaie qui expliquent les irrégularités de la croissance. Des périodes à fort progrès technique succèdent à des périodes à faible progrès technique. Ces périodes sont appelées des cycles; le cycle est donc une fluctuation qui revient avec une certaine régularité