Monnaie Véhiculaire

protectionnisme dans le commerce international A. Qu’est-ce que le libre-échange ? Le libre-échange est une doctrine et une politique économique commerciale prônant la liberté de circulation de tous les biens économiques (produits, services, capitaux, monnaie) entre les pays et se traduisant par la réduction puis l’élimination des obstacles (tarifaires et/ou non tarifaires) aux échanges internationaux de ces biens. Ainsi, Adam Smith, à la fin du XVIIIe siècle, explique que chaque pays a intérêt à participer

importations venant de Corée. Cette explosion des frontières régionales des marchés est due à une innovation technologique et à des conditions macroéconomiques: - des prix du transport maritime faibles en raison d’une surcapacité mondiale, - des monnaies fluctuantes et, - la mise au point d’une innovation permettant de transporter le ciment en vrac par navire, à moindre coût de chargement, de transport et de déchargement. Du coup, des marchés traditionnellement régionaux se sont trouvés interconnectés

octroyé un crédit. Taux d’intérêt débiteur : c’est le prix que doivent verser les agents économiques qui bénéficient d’un crédit. Taux directeur : c’est un taux pratiqué par la banque centrale, dans le cadre des opérations de refinancement (offre de monnaie, …) et qui permet à la banque centrale de régulier l’activité économique. 2. Analyses théoriques de l’épargne et du taux d’intérêt Plusieurs courants économiques ont essayé de déterminer la relation existant entre l’épargne et le taux d’intérêt

mis en œuvre, * le niveau de l'emploi va déterminer le niveau des ménages,* la production va déterminer l'investissement. | la monnaie n'est pas conservé pour sa valeur, elle est intégralement dépensé pour se procurer de nouveau produits et est réinjecté dans le circuit économique, au tout les revenus sont dépenses. La monnaie est neutre. | La monnaie influence l’activité par le biais des taux d’investissement. | Les différentes marches La théorie néoclassique décrit 4 grands marchés:

indispensable au sien de notre organisation et que la banque centrale et l’état seront obligés de les sauver, ils n’ont aucune marge de manouvre, s’impose alors la suprématie des banques. On entre dans une économie d’endettement : les banques créent de la monnaie sans se soucier de leurs réserves obligatoires puisqu’elles savent que la banque centrale les refinanceront. Leurs activités s’accélèrent, leur pouvoir de création monétaire pas assez encadré B) Restaurer la moralité et la confiance dans le système

ont la même durée en phase descendante, lorsqu’elles arrivent à maturité ou en déclin. B. Analyse et fluctuation : * La théorie monétaire : Elle repose sur l’approche quantitative de la monnaie ou les fluctuations serait dues à des phases de prospérité monétaires ou une insuffisance de la monnaie. * La théorie de la sous-consommation (Keynes) : Il faut accroître la consommation et mettre en place des politiques de grands travaux, la croissance démographique est un élément stimulant pour

politiciens et autres eurosceptiques proposent de mettre fin à la monnaie unique pour résoudre la crise. Arguments et contre-arguments. La dévaluation : argument en faveur de la sortie de l'euro La question se pose avant tout pour les pays en difficulté : la Grèce, l'Italie, le Portugal,... L'intérêt pour ces pays à repasser à la monnaie nationale est de pouvoir dévaluer. Lorsqu'un pays contrôle sa propre monnaie, il peut décider qu'au lieu qu'1 franc soit égal à 0,15 dollar

Tanger, en 1907 sous forme de la société anonyme, dont le capital était réparti entre les pays signataires, à l’exception des Etats Unis. Outre les opérations à caractère commercial, la Banque d’Etat du Maroc disposait du privilège de l’émission de la monnaie fiduciaire sur tout le territoire du Royaume et assumait le rôle d’agent financier du gouvernement marocain. Avec l’évènement du protectorat français en 1912, de nombreuses filiales de grandes banques commerciales européennes, notamment françaises

La crise économique de 2007 Intro  I)Le déclenchement de la crise éco II) Enchainement de la crise éco III) manifestations de cette crise Les établissements bancaires se sont retrouvés avec, à leur actif, des placements risqués dont la valeur a fortement diminué. Cette perte de valeur réduit les fonds propres de ces etablissements. Or, les normes comptables obligent les banques à ne pas dépasser un certain montant de placements financiers. Les etablissements bancaires se sont donc vu obligés

Q58 - Les banques centrales sont-elles des acteurs clés de la relance économique ? Illustrez en vous appuyant sur l'actualité. La mission de la FED est celle de défendre la monnaie et de favoriser la croissance. La BCE se préoccupe uniquement de défendre la monnaie ou de prévenir l’inflation ou encore de maintenir des prix stables. Les décisions de la BCE ne sont donc pas comparables à celles de la FED. Cela revient à réitérer le distinguo naturel entre Etats-Unis et Europe. Car au-delà-même