Monologue De Créon

tant que telles. L’autre est en effet une sorte de médiateur entre moi et moi-même. Par conséquent tout personnages a besoin du regard de l’autre pour exister en tant que liberté. Ex 1 : On trouve cette idée dans le conflit opposant Antigone à Créon. Il s’agit d’un conflit entre deux générations. Antigone a longtemps incarné la résistance. Cependant on peut se demander s’il ne serait pas réducteur de voir en elle que la figure du courage et du devoir familial. Si Antigone résiste s’est aussi pour

la pièce de Laurent Gaudé, Médée Kali, il y a la notion du meurtre avec notamment la mort de ses propres enfants où elle nous décrit précisément la scène. Mais il y est aussi question de la mort de Creuse, la future nouvelle épouse de Jason, et de Créon, le père de la mariée, causé par la robe empoissonnée que Médée lui a envoyé mais aussi toutes les personnes l’ayant touché sont mort. De plus on fait aussi référence à la mort même de l’intéressée car en effet à la fin on apprend qu’elle va très sûrement

Ex : Egisthe expose sa solitude et son inanité d’usurpateur corrompu in Les Mouches, J.P. Sartre (1943). Les interventions de Créon, in Antigone, J. Anouilh (1944), font résonner la solitude de celui qui doit gouverner avec pragmatisme, au risque de l’inhumanité. Les idées prennent chair avec les personnages. Les divers modes de la parole théâtrale (monologue –délibératif souvent-, aparté, dialogue, etc) permettent une réelle communication avec le public. Ex : La Guerre de Troie

dans des circonstances mal connues. Pour les suppliants, Œdipe est le seul à pouvoir faire toute la lumière sur le fléau qui ravage la ville. Mais Œdipe avait prévenu la demande du prêtre et envoyé son beau-frère, Créon, se renseigner auprès de l'oracle de Delphes. À son retour, Créon explique que le dieu Apollon est courroucé par la mort de Laïos, qui n'a pas été élucidée et dont le meurtrier court toujours. Œdipe se déclare prêt à aller jusqu'au bout afin de découvrir la vérité et de châtier le

– et éructation – le monologue du prince –, narration – le récit – et éructation – le monologue du prince –, comme si Bernhard avait en quelque sorte souhaité “commenter” comme si Bernhard avait en quelque sorte souhaité “commenter” son propre devenir d’écrivain. Comment percevez-vous ce travail son propre devenir d’écrivain. Comment percevez-vous ce travail de la langue, de la syntaxe ? de la langue, de la syntaxe ? K. L. : C’est un texte d’initiation, un monologue souterrain, K. L. : C’est

personnage, confronté à une situation difficile, suscite des émotions. 1. La pitié Le personnage face à la mort : récit de Théramène pour la mort d'Hippolyte, mort de Ruy Blas sur scène... Le personnage face à un dilemme : Stances du Cid, déchirement de Créon entre Antigone et sa fonction de Roi... Le personnage face à une situation insupportable : jalousie de Phèdre 2. La crainte Le personnage soumis à un destin divin, implacable, omnipotent : Oedipe Le personnage soumis à un destin humain : folie de

CADMOS HARMONIE OCLASOS AUTONOE INO AGAVE ECHION SEMELE ZEUS POLYDOROS ACTEON LEARCHOS MELICERTE MENOECEE DYONISOS PENTHEE LABDACOS LAÏOS CREON JOCASTE HEMON OEDIPE ETEOCLE ANTIGONE POLYNICE ISMENE L’aventure la plus connue de cette famille et celle d’Oedipe ; La ville de Thèbes est ravagée par la peste. Pour y mettre un terme

figuration (dialogue de Platon). Faire avancer le raisonnement d’un pers principal (tragédies : confidents qui encouragent le pers principal dans sa décision) 3) l’apparente objectivité de l’auteur La reine more, Antigone (fossé entre Antigone et créon. Dialogue de sourds mais l’auteur ne prend pas parti). Pascal laisse l’autre s’exprimer pour dire ses doutes. Avec la neutralité, la parole est plus fiable). II) l’argumentation dans le dialogue 1) la confrontation Très raisonnée, ou très passionnée

ridicule. Dans ce cas la, c’est l’avarice, considéré comme l’un des sept péchés capitaux selon la tradition catholique, qui illustre la folie d’Harpagon à son paroxysme, personnage ridicule dans la scène 7 de l’acte III, le spectateur, à travers le monologue particulièrement comique, est face à l’expression même de l’avarice. Le spectateur va plus ou moins se reconnaître et oublier sa propre vie le temps de quelques actes. Le théâtre, c’est aussi se plonger dans un univers d’analyse beaucoup plus

figuration (dialogue de Platon). Faire avancer le raisonnement d’un pers principal (tragédies : confidents qui encouragent le pers principal dans sa décision) 3) l’apparente objectivité de l’auteur La reine more, Antigone (fossé entre Antigone et créon. Dialogue de sourds mais l’auteur ne prend pas parti). Pascal laisse l’autre s’exprimer pour dire ses doutes. Avec la neutralité, la parole est plus fiable). II) l’argumentation dans le dialogue 1) la confrontation Très raisonnée, ou très passionnée