Monologue De Marguerite

Bernard a vécu dans le mensonge jusqu’à ce qu’il découvre la lettre. Profitendieu ment à ses enfants en leur expliquant la raison du départ de Bernard. Il ment à sa fille Cécile en prétendant souffrir et qu’il aime la musique qu’elle jouait (p.28). Marguerite se ment et ment à son mari en prétendant redevenir une femme honnête. Antoine ment par bienséance. Le mensonge ne trompe pas toujours, cependant. Connaissant la véritable raison du départ de Bernard, Charles veut s’assurer qu’il n’est

à Paris. C’est au bal du duc de Retz qu’il découvre le grand monde, le luxe des soirées et se fait remarquer par Mathilde, la fille de cette aristocrate. Mathilde est intriguée par Julien et ce-dernier finira par la séduire. Plan : I/ Le monologue intérieur de Mathilde II/ La découverte du vrai Julien Sorel à travers les yeux de Mathilde III/ La naissance de l’amour chez Mathilde La princesse de Clèves, Mme de la Fayette « Une rencontre fatale »

vers ou par répliques très courtes (cela s'appelle la stichomythie ) - la reprise d'un mot, d'une exp ression déjà prononcé(e) ; - l'interruption.  La tirade d'un personnage seul en scène s'appelle un monologue ; il s'adresse à lui - même, mais aussi au public. Le monologue permet à un personnage de faire le point sur sa situation, d'exprimer so n trouble, de dévoiler son état d'âme au spectateur. Il se présente parfois comme un dialogue simulé, avec des questions/réponses ou des

commentaires Étape 1 [Argan, le malade imaginaire, p. 228] 1 Le monologue de la scène 1 répond à la définition du genre (un personnage en scène qui s’adresse à lui-même). Toutefois, il s’apparente aussi à un dialogue dans la mesure où Argan s’adresse à son apothicaire, Monsieur Fleurant, absent de la scène (« Monsieur Fleurant », « vous », l. 10, 13, 27, 44-45), ce qui crée un effet comique. Pour une étude approfondie du monologue, on pourra se reporter au chapitre consacré à cette technique dramatique

difficulté résidera peut-être dans l’appréhension de la langue très particu- lière de l’auteur, ni prose ni vers, faite d’hésitations et de retours sur elle-même. On pourra accompagner le travail sur cette œuvre par la lec- ture cursive de la pièce de Marguerite Duras, La Pluie d’été, dont les thèmes sont proches, la dramaturge ayant sans aucun doute influencé l’écriture de Lagarce, ou par une pièce plus classique, par exemple Phèdre de Racine, qui met en jeu une crise personnelle autant que des crises

créanciers » (l. 42). Elle tente de les fléchir et implore leur pitié. Votre adopterez le registre pathétique, en tenant compte des détails fournis dans le texte de Hugo. m 4. « Elle passait des nuits […] à songer » (document B, l. 35). Écrivez le monologue intérieur de Fantine qui viendrait s’insérer à cet endroit du texte de Hugo. m 5. Lily, qui a vieilli, décide d’écrire son autobiographie intitulée « Mon combat quotidien » (v. 46). Sélectionnez dans la chanson de Perret un « épisode » de la vie

spectateurs. Prenons l'exemple de « Madame Marguerite » (éditions Librairie Théâtrale - 1975), pièce écrite par Roberto Athayde (écrivain, poète et dramaturge brésilien né à Rio de Janeiro en 1949) sous le titre original « Apareceu a Margarida ». Un monologue tragi-comique en un acte créé le 12 septembre 1975 au Théâtre Montparnasse à Paris, librement adapté par Jean-Loup Dabadie, qui nous parle du rôle de l'instruction scolaire. Dans le rôle de Madame Marguerite l'inoubliable Annie Girardot (comédienne

de ses glorieux ancêtres. À ses yeux, Julien est un personnage de roman, « l’homme le plus distingué » de son temps, comme le fut au XVIe siècle Boniface de la Mole ; elle voit en lui « le héros qu’elle a rêvé », tandis qu’elle s’identifie à Marguerite de Navarre, annonçant avant l’heure La Reine Margot de Dumas. Et le roman s’achève sur le geste spectaculaire de la jeune héritière, qui s’empare de la tête de son amant pour l’ensevelir « de ses propres mains » lors d’une étrange cérémonie

recueil d’articles d’Alain Robbe-Grillet, intitulé "Pour un nouveau roman" (1963). Cette tendance regroupe en fait des individus au style différent (Alain Robbe-Grillet, Michel Butor, Claude Ollier, Nathalie Sarraute, Robert Pinget, Claude Simon, Marguerite Duras) mais qui publient chez le même éditeur parisien, Les Editions de Minuit, et dont le directeur, Jérôme Lindon, joue dans les lettres françaises un rôle comparable à celui joué entre les deux guerres par Gaston Gallimard ou Jacques Rivière

fauteuil roulant dans lequel évolue le roi nous rapporte à une époque plus proche de nous. Chaque personnage porte un costume qui lui est propre, très typés, caractérique, représantatif du comportement, de l'état d'esprit et d'âme. - La reine Marguerite, première épouse, vielle reine, est vêtue d'une robe rouge pourpre, très longue, qui recouvre son cou et ses bras. Son costume nous rappelle une époque reculée, comme la renaissance. Un habit très sévère soulignait par des cheveux atachés et des