Monologue De Marguerite

communiste et Sartre qui lui reprochait son anticommunisme et sa soumission aux valeurs bourgeoises. * La Chute (1956) * cette œuvre exprime tout le scepticisme et la noirceur de son auteur. * roman insolite qui prend la forme d'un monologue dramatique, est directement inspiré par ce climat d'incompréhension et d'accusation. Les grandes lignes du roman : L’histoire se déroule à Oran dans les années 194., la ville est infestée par la peste et les autorités décident de fermer ses

décompose. Selon les auteurs du Nouveau Roman (mouvance née dans les années 1950 à Paris), le roman n'est pas un moyen de connaissance. Il est avant tout (et peut-être seulement) une écriture. Beckett, par exemple, propose dans ses romans de longs monologues, ou discours, de personnages dont on ne sait presque rien. Les consciences sont impossibles à explorer, tout est opaque ou morcelé, les points de vue sur un même objet se multiplient sans former une image nette : le personnage n'est plus qu'une

aspect des choses, déformé par sa jalousie obsessionnelle. Les codes du roman psychologique traditionnel ne sont ainsi suggérés que pour être battus en brèche provoquant chez le lecteur un inconfort né de la ruine de ses certitudes. L’œuvre de Marguerite Duras est proche, par certains aspects, des expériences du nouveau roman. Moderato cantabile par exemple, pratique un art du dialogue et de ses sous-entendus assez voisin de celui de Nathalie Sarraute et le dépouillement de l’écriture qui gomme

selon les auteurs du Nouveau roman (mouvance née dans les années 1950, à Paris), le roman n’est pas un moyen de connaissance. Il est, avant tout (et peut-être seulement), une écriture. Beckett, par exemple, propose, dans ses romans, de longs monologues, ou discours, de personnages dont on ne sait presque rien. Les consciences sont impossibles à explorer, tout est opaque ou morcelé, les points de vue sur un même objet se multiplient sans former une image nette  ; le personnage n’est plus qu’une

; – selon les auteurs du Nouveau roman (mouvance née dans les années 1950, à Paris), le roman n’est pas un moyen de connaissance. Il est, avant tout (et peut-être seulement), une écriture. Beckett, par exemple, propose, dans ses romans, de longs monologues, ou discours, de personnages dont on ne sait presque rien. Les consciences sont impossibles à explorer, tout est opaque ou morcelé, les points de vue sur un même objet se multiplient sans former une image nette ; le personnage n’est plus qu’une

selon les auteurs du Nouveau roman (mouvance née dans les années 1950, à Paris), le roman n’est pas un moyen de connaissance. Il est, avant tout (et peut-être seulement), une écriture. Beckett, par exemple, propose, dans ses romans, de longs monologues, ou discours, de personnages dont on ne sait presque rien. Les consciences sont impossibles à explorer, tout est opaque ou morcelé, les points de vue sur un même objet se multiplient sans former une image nette  ; le personnage n’est plus qu’une

momentanée », la folie devenant alors un « état de transe permanent ». Mais qu’en est-il réellement de cette teneur sacré du Nô qu’il est possible de lier à la folie ? Peut-on indiscutablement définir le Nô comme un spectacle ésotérique ? Marguerite Yourcenar, dans son introduction des Cinq Nô Modernes de Mishima décrit le Nô ainsi : « Un théâtre sacré, parfois aussi bouffon. […]. Les Nô joués en guise de prélude sont tous de type shintô et de dates probablement fort anciennes. […] Dans un

Chant du styrène » Les élèves pourront analyser de la même manière la séquence sur le plastique, Le Chant du styrène, en soulignant, de surcroît, les références culturelles, très nombreuses, chez Raymond Queneau. On rapprochera cette séquence du monologue de Gabriel dans Zazie (p. 90) où l’accumulation de clins d’œil (Hamlet – Lamartine) crée un effet comique irrésistible. On peut également photocopier Le Lac de Lamartine et comparer. Le pastiche est évident. Puis les élèves s’efforceront de montrer

une évolution manifeste dans les longs métrages d’Alain Resnais. A la vue de ses premiers longs métrages, la critique l’a défini comme un « cinéaste littéraire »3: les films sont réalisés avec des écrivains à la personnalité écrasante tels que Marguerite Duras, Alain Robbe-Grillet, Jean Cayrol. Mais avec le temps, le cinéaste travaille de plus en plus avec des scénaristes professionnels tels que David Mercer, Jean Gruault, Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri. L’influence de la littérature cède peu

de vie, les lignées généalogiques, les incidences et influences du milieu social de formation, les amitiés et les modèles (affectifs, éthiques, intellectuels), etc., occupent une place que l’on chercherait en vain dans les histoires d’hommes. Si Marguerite Yourcenar, aristocrate authentique, opère, comme Chateaubriand, une remontée aux sources familiales, c’est n’est de sa part nullement pour exhiber ses titres de noblesse, mais pour dissoudre son individualité, pour souligner continûment à quel point