Monologue De Tartuffe

sermon qu'adresse Arnolphe à Agnès. * Mariage avec Armande Béjart (sœur ou fille de Madeleine). * 1663: Critique de l'École des femmes: Molière se défend. * 1664: interdiction 1er Tartuffe. * 1665: troupe du Roi. * 1667: interdiction 2ème Tartuffe. * 1669: représentation 3ème Tartuffe. * 1673: mort de Molière après représentation du Malade Imaginaire, n'est pas jeté à la fosse commune sur intervention du Roi. Autres œuvres: * Les Femmes Savantes * Don Juan

donné le ton, il ajoute la scène d’exposition. Ce qui lui permet d’introduire ses personnages et de laisser entrevoir leur personnalité, le duc apparaît directement comme un gougeât, et Lorenzo comme un jeune homme immoral. Par la suite, les longs monologues de Lorenzo, comme celui de l’acte 3 scène 3, lui permette de montrer le vrai visage de son personnage et de faire tomber le voile. Lorenzo devient alors un personnage pleins de remords et de souffrances (‘‘Songes-tu que ce meurtre, c’est tout ce

volonté de nuire… Cependant, le plus souvent, celui qui mène un double jeu vise à nuire et ses intentions ne sont pas pures. Le double jeu, malfaisant, devient alors de l’hypocrisie, dont un des exemples les plus aboutis est le personnage de Tartuffe, devenu du reste un nom commun : le faux dévot se comporte en homme plein de componction, suit des voies tortueuses, se sert de la religion pour son profit et la perte de la famille d’Orgon devant lequel il prend des airs pleins d’onction, tandis

comique est une des formes les plus liées à la critique : « Castigat ridendo mores », disait Horace, « tout genre est bon sauf le genre ennuyeux", pensait Voltaire. Molière est un des dramaturges qui a le plus utilisé le rire pour critiquer (L’Avare, Tartuffe, Le Malade Imaginaire). Le comique de situation est très populaire au XVème siècle (La Farce de maître Pathelin), le rire persuade les spectateurs, nous permet de jeter des regards sur nos actions (comme le montre la satire des maîtres par les esclaves

cacaracamouchen, IV, 3 p. 174). On dénoncera à plusieurs reprises cette scurrilité (bouffonnerie) de Molière ( de Donneau de Visé à Boileau, dans son Art poétique). Le cas de Tartuffe est exemplaire de cette réappropriation par Molière de la farce. Le personnage principal est emprunté à l’univers de la farce, le nom de Tartuffe fait référence au corps : étymologiquement, il désigne tantôt une tumeur, une excroissance qui ne cesse de grossir pendant cinq actes (la farce est plus courte), un parasite[3]

HYPERLINK http//www.comptoirlitteraire.com www.comptoirlitteraire.com Andr Durand prsente Tartuffe (1669) comdie en cinq actes et en vers de MOLIRE pour laquelle on trouveun rsum puis successivement lexamen de lintrt de laction (page 3) lintrt documentaire (page 4) lintrt psychologique (page 4) lintrt philosophique (page 6) la destine de luvre (page 7) diffrentes scnes (pages 7-16) Bonne lecture Rsum On est au XVIIe sicle dans le salon du bourgeois Orgon. Madame Pernelle, sa mre, sapprte quitter

comiques au théâtre Les procédés comiques sont variés : comique de mots ou de gestes relevant de la farce (Molière, Les Fourberies de Scapin), comique de situation, comique de caractère dans la satire sociale ou la peinture des grands défauts humains (Tartuffe, Les Femmes savantes, L’Avare). Formes du comique Comique de langage, comique de gestes, comique de situation, comiques de mots, comique de caractères et comique de moeurs. Qu’est-ce qui fait qu’une scène bascule du tragique au comique,

C’est alors que prend place le monologue du protagoniste de la pièce. Il s’agira de voir en quoi ce monologue s’intègre à la pièce, et les ressorts sur lesquels il fonctionne. Nous verrons dans une première partie.... Contexte de parution du sujet : Objet d’étude : Le théâtre, texte et représentation Registre dominant : Le comique Mouvement littéraire : 17e siècle Type de sujet : Commentaire à l’écrit ou groupement de texte à l’oral Texte étudié : Le monologue d’Harpagon, L’Avare de Molière

public. Ensuite, l’humour permet de critiquer des cibles bien définies en jouant sur les mots et en créant des ambiguïtés. Molière brosse, par exemple, le portrait des religieux et l’hypocrisie de ces derniers dans sa pièce de théâtre Tartuffe. Dans cette œuvre, Tartuffe, un faux dévot, va multiplier les coups-bas pour essayer de s’emparer de la femme et de la fortune d’Orgon. L’humour dans cette pièce donne à l’auteur la possibilité de s’attaquer à un des sujets dits « tabou » : la religion. Le rire

classique  - donner des repères dans l'histoire du genre. Textes étudiés : Phèdre OI : -ActeI, sc1 - ActeI, sc3 - II, 5 «PHÈDRE, à Œnone, dans le fond du théâtre. - Etude comparative ACTEIII, sc2 et 6 - Acte IV, scène 6  -Acte V, scène 6 Corpus comédie : - Tartuffe, (I, 1) du début, jusqu’à « voyez la langue ! » -Amphitryon Acte I, sc2 Perspectives complémentaires : les sources antiques : Euripide et Sénèque Lecture d’images La Mise en scène : interview JL Barrault DVD  Chéreau captation Séance 1 Mise en voix