Monologue Et Solitude

du château appelé salle du trône et servant de salle d’audience 1-3 : Le Comte veut savoir si Chérubin est bien arrivé à l’hôtel où il avait envoyé. Il envoie Pédrille lui remettre son brevet (excuse pour savoir si il est bien arrivé) 4 : Monologue Comte. Comte infidèle, veut Suzanne (tromper sa femme) mais ne veut pas que sa femme soit infidèle envers lui. Il veut savoir si Suzanne ne l’as pas trahi en ayant une conversation avec Figaro. Il veut savoir s’il sait ce qu’il ressent pour Suzanne

Première (générale) Programme d’étude (durée : quatre semaines) Formes et fonctions du dialogue et du monologue : • I, 3 : la querelle des pères ; II, 2 : le défi lancé par Rodrigue au Comte • I, 4 : monologue de don Diègue • I, 6 : les stances de Rodrigue (// V, 2 : les stances de l’Infante) • II, 8 : Chimène et Don Diègue plaident leur cause auprès du Roi • III, 4 : la visite nocturne de Rodrigue à Chimène (//V, 1) • IV, 3 : récit de la victoire de Rodrigue contre

Le Renégat ou un esprit confus est constitué du long monologue d’un prêtre parti évangéliser les habitants du village de Taghâsa dans le désert. Mais sa foi ne lui suffit pas pour les convaincre. Fait prisonnier par les nomades, c’est lui qui sera soumis et chantera, en un retournement inattendu, les louanges de ses nouveaux maîtres. La composition de la nouvelle est intéressante, de même que sa structure narrative qui utilise le monologue intérieur, comme le fait La Chute, l'oeuvre précédente

changement. En premier lieu, il ne fait pas de doute que les deux personnages ont dû se résigner à des conditions d’existence particulièrement pénibles. Dans la première partie de son monologue, Madeleine ne fait pas un bilan positif de son quotidien marqué par la maladie et l’angoisse. Elle témoigne d’une solitude qui la laisse inactive : « La télévision est plate, la lecture m’a jamais beaucoup intéressée… » (l. 7) De plus, elle vit avec l’inquiétude de la maladie : « […] j’me retrouve immanquablement

dramaturge utilise le monologue pour la scène d’exposition puisqu’il y a déjà eu recours pour une autre comédie-ballet, George Dandin ou le mari confondu, il faut néanmoins en souligner l’originalité. Le plus souvent en effet c’est par le truchement d’une conversation entre plusieurs personnages que le spectateur est invité à découvrir l’argument de la pièce, et ce choix de présenter Argan seul en scène au lever de rideau est sans doute motivé par la volonté de révéler d’emblée la solitude d’un hypocondriaque

I. Le tragique 
 1) la souffrance du personnage
 2) la solitude II. Le comique 
 1) de langage (fais les questions et les réponses) 
 2) de gestuelle (didascalies) La scène d’exposition de Deux femmes pour un fantôme regroupe les deux personnages principaux à cette histoire, Brigitte et la maîtresse de Pierre, à l’insu de cette scène, elles vont se rencontrer. Cette scène a été rédigée par René de Obaldia, écrivain du XXème siècle. Elle est extraite de Deux femmes pour un fantôme

disant: «Sais-tu, mon cher ami, le beau tour que nous joue ta princesse! elle a tout dit à son mari.» «Rien qui pût me faire pressentir cette douce nouvelle; rien d'agréable, cependant.» 3e rencontre M-O Marianne l'attaque sur son alcoolisme, sa solitude, ses maîtresses, la qualité de ses sentiments. Elle l'attaque sur des sujets personnels. Début de son intérêt pour lui. Octave représente tout ce qu'elle n'est pas. Octave a la liberté et fait des choix tandis qu'elle ne peut pas en faire. Elle

compagne de la reine, Casilda, la tente, en lui parlant d’amour et d’évasion. La rein elle lui parle de sa solitude e du mal du pays. En effet, l’étiquette refuse que les reines étrangères apportent quoi que soit de leur pays d’origine, qu’elles ne revoient plus jamais. La reine est nostalgique et rêve de retrouver l’amour. Scène II : Monologue de la reine : elle est amoureuse, elle lit avec émotions une lettre qu’on lui a écrite, et rêve d’amour.

mélange des genres et des registres). Ses héros, souvent des débauchés et des idéalistes, sont profondément humains et sont des doubles de lui-même, écartelés entre des tensions contradictoires. * Poète : il excelle dans le lyrisme, en exprimant sa solitude et sa douleur, et en explorant la part sombre de lui-même. III) On ne badine pas avec l’amour (1834) A) Le genre de l’œuvre : un « proverbe dramatique » * Définition du genre du proverbe : le proverbe est au départ un jeu d’improvisation

peur !" L'obstination : Au début, lorsque Jean et Bérenger se dispute car ils pensent qu'il peut y avoir un ou deux rhinocéros avec une ou deux cornes. Mais aussi lorsque Bérenger à rester seul Humain contre la rhinocérite. Il lutte contre la solitude après le départ de sa bien-aimée, Daisy, qui ne peut résister à la transformation. Acte I : "Il fonçait tête baissée, voyons." "Justement, on voyait mieux." Acte III : "[…] Je ne vous suivrai pas, je ne vous comprends pas ! Je reste ce que