Monologue Sur La Liberté

mais nous sommes plus sages. Beaumarchais, Le mariage de FigaroActe V, Scène 3L'auteur nous livre ici le plus long monologue de toute l'histoire du théâtre français. Sur le conseil de sa mère, Figaro se rend au jardin où ont lieu les rendez-vous, pensant que Suzanne l'a trahi.     Au travers de ce long monologue, Figaro philosophe. En étudiant la composition de ce monologue, on mettra valeur le réquisitoire social ainsi que le rôle de la scène dans l'évolution du personnage de Figaro.

plus ou moins heureux, trafiquant d'armes. Sa capacité à rebondir, son sens de l'initiative, son aptitude à l'entreprise lui permettent de ne pas être abattu par les épreuves (procès, disgrâce, exil, ruine). Son expérience personnelle nourrit le monologue de Figaro présenté à l'acte V. II/ L’œuvre. 1/ Les parades. Beaumarchais commence par écrire de courtes pièces comiques, les parades, très à la mode dans les sociétés de l'époque. Les intrigues, assez schématiques, sont prétextes à animer la

aussi le lieu ou cette représentation se fait. Nous étudierons des oeuvres théâtrales du XVII au XIX qui présentent de nombreuses règles et des libertés. Nous pouvons donc nous demander si le théâtre est le lieu de la contrainte. Nous montrerons tout d’abord les contraintes aussi bien stylistiques que matérielles puis nous examinerons quelles sont les libertés que comporte le théâtre. Le théâtre est un lieu où demeure des contraintes stylistiques en premier lieu avec l’exemple du classicisme qui

- dramaturgie : « las d’attrister […]mœurs du sérail » - activité d’essayiste : « mes joues creusaient », « mon terne […] net » Activité conduira F. en prison : périphrase ironique « Un château fort à l’entrée duquel je laissais espérance et la liberté » = la Bastille C – Figaro, perso émouvant Malgré humour, F, émouvant par son désarroi + combativité à attachant. Souffrance de F : * il se croit trahi par Suzanne à souffre de se retrouver dans la position ridicule du cocu « me voilà faisant

Français, 1ère Explication lin. 14 Théâtre Bac Oral 2022 Monologue de Suzanne, Jean-Luc Lagarce Juste la fin du Monde , 1990 Introduction : « Suzanne ne sait pas qui tu es, ce n’est pas connaître cela, c’est imaginer » avoua la Mère à Louis dans la 8ème scène de la première partie de « Juste la Fin du Monde ».

1/La censure est la limitation arbitraire ou doctrinale de la liberté d'expression de chacun. Elle passe par l'examen du détenteur d'un pouvoir (étatique ou religieux par exemple) sur des livres, journaux, bulletins d'informations, pièces de théâtre et films, etc. -- et ce -- avant d'en permettre la diffusion au public. Par extension, la censure désigne différentes formes d'atteintes à la liberté d'expression, avant et/ou après leur diffusion (censure a priori et a posteriori). On distingue la censure

son ouvrage La Rhétorique, au IV° avant JC. Elle est alors comprise comme un discours destiné à mener vers certaines conclusions un public non spécialisé, par le moyen d'un raisonnement. L'argumentation a donc, dés ses origines, partie liée avec la liberté, mais aussi avec l'affrontement (on cherche à régler les conflits par la parole). Cicéron (106-43, avocat et orateur politique) lui assigne trois finalités : instruire (docere), plaire (placere) par la beauté de la forme, émouvoir

rapporte la rencontre de Phèdre et Hippolyte après la mort de Thésée, lorsque Phèdre avoue sa passion à Hippolyte. Cette tirade représentant l’aveu tragique de Phèdre marquera un important rebondissement dans la pièce. En quoi Phèdre, dans ce monologue de l’aveu, apparaît-elle comme un personnage de tragédie ? Dans un premier temps, nous montrerons comment cette héroïne est marquée par la fatalité, puis nous verrons comment elle est en proie à cette passion, pour finir sur son langage, marqué

certaines professions en cas d’enfant hors mariage ; système juridique défavorisant la femme…) : « Nous sommes toutes portées à soutenir notre pauvre sexe opprimé, contre ce fier, terrible, et pourtant un peu nigaud de sexe masculin » La liberté d’expression  : Beaumarchais dénonce à travers Figaro la censure qui pèse au XVIIIe siècle : « Pourvu que je ne parle ni de l’autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni de l’opéra, ni des autres

LIVRE I CHAPITRE IV De « En approchant de son usine, le père Sorel... » à la fin du chapitre, p. 24 à 26 Ce passage permet d'étudier la technique du portrait et la présentation du héros. Opposant le discours direct d'un personnage au silence et au monologue intérieur de l'autre, il permet aussi de faire le point sur la situation d'énonciation et de revoir les modalités du discours ainsi que les modes verbaux (indicatifs dans la narration, impératifs dans le discours). REPÈRES 1. Relevé des personnages