Monopole naturel

Cependant le marcher conduit il a l'equilibre general ? Peut ont faire confiance aux forces du marcher pour resoudre tous les maux de l'economie ? Pour y repondre nous allons voir, dans un premier temps grace aux forces naturelles des choses et grace au penchant naturel conduit l'economie vers l'equilibre general. D'un point de vue theorique, nous nous appuierons sur le liberalisme economique. Mais nous verrons dans un second temps que le marcher est loin d'etre parfait et qu'il peut conduire

d’offre du monopole La demande du marché est décroissante donc pour le monopole la recette marginale est aussi décroissante. Le monopole offre sur le marché une quantité qui maximise son profit c’est-à-dire une quantité pour laquelle la dernière unité que ce qu’elle rapporte ( cout marginal = recette marginale) . Pour connaitre le prix il suffit de monter sur la courbe de demande et on trouve pm le prix du monopole qui est supérieur au cout marginal pour Qe. Pm – Cm = rente de monopole Lorsqu’il

termes d'équilibre et non de croissance), que chez les keynésiens (optique plus macroéconomique), le processus de concentration fait de l'entreprise un thème central de la réflexion des économistes (analyse marxienne, concepts néoclassiques de, monopole naturel et de coûts de transaction). S2) La concentration des entreprises constitue aussi un élément important de stabilisation sociale et d'évolution de la régulation capitaliste Elle joue un rôle essentiel dans le développement des droits sociaux

1ers scandales politiques => ( légitimité → Suffrage universel ≠ garantie de l’intérêt général - Bouleversement des 80’ → pouvoir démocratique ssi contrôle et validation (CNIL, CSA …) *Sociologie ← Weber : « Etat est celui qui a le monopole de la violence légitime » → Légitimité repose sur 3 choses : • Légitimité traditionnelle • Légitimité charismatique • Légitimité légale rationnelle (lois votées de façon rationnelle) Etat moderne = bureaucratie (gage d’efficacité

cloisonnés qui donnent lieu à des confrontations partielles. (ex : marché des biens, des matières premières, des services, du travail, des changes, des capitaux, marché monétaire, marché immobilier, etc...) les imperfections de marché prospèrent : Monopole, duopole, oligopole, cartel, entente, position dominante, etc... asymétrie de l'information, délai et effet retard, goulet d'étranglement, etc... la demande exprimée sur un marché est perçue la plupart du temps à travers le prisme déformant de

la variation équivalente PARTIE2 : LE MONOPOLE I- DEFINITION, CAUSES ET DIFFERENTS TYPES DE MONOPOLE A- Définition B- Les Causes du monopole C- Les différents types de monopole   II- L’EQUILIBRE DU MONOPOLE A- Maximisation du profit B- Les autres stratégies du monopole III- INEFFICACITE ET CHARGE MORTE DU MONOPOLE A- Inefficacité du monopole B- Charge morte du monopole IV- LA CONCURRENCE MONOPOLISTIQUE

jouissent pas des mêmes « dotations initiales », en termes de ressources physiques ou financières. On comprend alors que la « sélection naturelle » ainsi opérée aboutisse à une forme de « darwinisme social ». Premier paradoxe : la concurrence parfaite conduit à son contraire : les gros mangent les petits, et ne subsistent que quelques oligopoles ou, à la limite, un monopole, concentrant la totalité des moyens de production et d’échange. Pour éviter ce risque, la seule parade consisterait à introduire

comportement de passager clandestin. Ex : un homme profite de l'éclairage de sa rue sans en payer le prix. * Il existe des situations de non-rivalité des consommations, ce que l'on appelle des biens indivisibles, conduisant parfois à un monopole naturel. * Il arrive des situations où, contrairement à la loi de l'offre et de la demande, la demande de certains biens augmente avec le prix (effet Giffen) * Certaines activités économiques engendrent des coûts qui ne sont pas pris en compte

La pollution est une externalité négative du marché La production et la consommation provoquent des dégâts sur l’environnement L’activité économique produit des gaz à effet de serre Elle se traduit également par une surexploitation du capital naturel La pollution n’a pas de prix de marché Les externalités sont des conséquences provoquées à autrui du fait de l’activité économique Le marché peut difficilement les prendre en compte Les biens de l’environnement sont des biens collectifs pour lesquels

l’idéal de la libre-concurrence n’est pas de ce monde et que l’on ne peut se fier aux seuls intérêts privés pour atteindre le bien commun. Déjà, Adam Smith (à la fin du XVIIIe siècle) nous mettait en garde autant contre les tendances naturelles du marché au monopole, de même que contre ceux (industriels et marchands) qui se portent à la défense de l’intérêt commun alors même qu’ils ne recherchent que leur propre intérêt. Dans les deux cas, l’établissement de règles claires s’impose, au nom de l’intérêt