Monopole Public Concurrence

il y a des défaillances de marché ou pourquoi celui-ci n’est-il pas toujours efficace. En analysant d’abord les limites de la concurrence pure et parfaite puis en montrant les nuisances à l’environnement que crée le marché et enfin le rôle joué par l’Etat pour pallier à ces défaillances. I : Les limites de la Concurrence Pure et Parfaite : Un marché de concurrence pure et parfaite est un marché qui satisfait cinq conditions : atomicité du marché, homogénéité des produits, transparence du

régimes du marché : classification de Stakelberg. Stakelberg classifie les marchés dans un tableau. Son tableau permet de recenser de manière fiable les différents modèles de la concurrence sur un marché, en fonction de deux critères : * du nombre d'acheteurs. * du nombre de vendeurs. 1)- Le marché de la concurrence pure et parfaite : Le marché de CPP est un marché où se rencontre plusieurs offreurs et demandeurs. Pour qu’un marché soit qualifié de CPP, il doit satisfaire les cinq hypothèses

une économie centralisée comme l’URSS. L’Etat était le propriétaire de la plupart des moyens de production (industrie, transports, banques…) et organisait tous les secteurs grâce à des plans qui fixait des objectifs ainsi que les prix. De plus, le monopole du commerce extérieur était détenu par l’Etat. Aujourd’hui, l’ex-URSS s’est tournée vers une économie de marché en rétablissant la propriété privée des biens de production. Ils ont aussi permis aux prix d’êtres libres permettant aux entreprises d’être

deux critères relevant de deux théories opposées. L’atomicité du marché du modèle de concurrence pure et parfaite nous incite à nous intéresser à la structure du marché et aux problèmes posés par sa délimitation. La liberté d’entrée et de sortie sur un marché (théorie des marchés contestables) permet d’apprécier la concurrence potentielle dans des situations de concurrence imparfaite Les situations de monopole et d'oligopoles ne sont plus considérées comme suspectes puisque la menace exercée par

logique concurrentielleL'économie industrielle va également s’intéresser à comment les entreprises vont se concurrencer entre elle et puis on verra parfois qu'elles vont chercher à échapper à la concurrence. Entente de cartel : les entreprises, plutôt que d'essayer de concurrencer, essayent de se mettre d'accord (illégal). L'économie industrielle s'intéresse donc à cette question de la concurrence entre les acteurs. L'économie industrielle va également analyser comment fonctionne les marchés et la façon

libéralisation consiste à rendre libre l'accès à une activité économique pour différents agents économiques, privés ou publics. Elle signifie la fin du monopole d'une administration ou d'une entreprise (publique ou privée) sur une activité définie par l'autorité publique. La possibilité offerte à d'autres acteurs d'intervenir sur le marché est un moyen de stimuler la concurrence, qui a pour objectif d'encourager l'innovation, la qualité de service et la baisse des prix pour le client. La libéralisation

Environnement Economique et Gestion de l’Entreprise Cas n°6 : Les effets de la concurrence Livia AOUIZERATE – Marion GUILLERM – Clémentine NICOLAS Plan de la présentation Introduction I. Les enjeux d’une concurrence saine II. Les enjeux de la concurrence sur l’emploi III. Les ennemis de la concurrence IV. Les enjeux liés à l’ouverture de monopoles à la concurrence Principes à retenir 2 Introduction « La concurrence n’appartent à aucun camp. A conditon qu’elle ne soit pas érigée comme un but en

produisent des échanges. Différentes structures de marché résultent du nombre d’offreurs et demandeurs. Offreurs Demandeurs Un seul Quelques-uns Beaucoup Un seul Quelques-uns Monopole Oligopole Beaucoup Monopsone Oligopsone Concurrence pure et parfaite A) Le monopole : Un marché de monopole présente de très nombreux acheteurs face à un seul vendeur. Sans concurrent, l’entreprise est libre de fixer ses prix. La limite à cette « liberté » est :  La disparition de la demande

dans l'économie n'est pas une évidence en soi. D'un point de vue économique, cette intervention est généralement justifiée pour des raisons d'efficacité et d'équité. Dans sa version d'"État propriétaire", l'intervention peut aller jusqu'au contrôle public direct de la production. Au contraire, "l'État gendarme" des marchés, c'est-à-dire comme soutien au marché, représente une forme plus modeste d'intervention. Comment expliquer ces différentes formes d'interventions ? Quels avantages procurent les

vouées à l'échec. De plus avec la globalisation financière le flux des capitaux n'est plus contrôle. Depuis les années 80, on assiste à une déréglementation générale touchant aussi bien le monde des entreprises avec la disparition de la plupart des monopoles, une plus grande flexibilité en matière de droit du travail et de façon générale à la fin de l'encadrement des entreprises. Enfin, la libéralisation des prix et des salaires participe aussi à ce mouvement de dérégulation. II) Mais l'État semble