Monstre Rhinocéros

d’attaque dans les films « de monstre » - 2h King Kong, réal. Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack, 1933 L’un des premiers films de “monstres”, avec Godzilla (série de films japonais, 1954). Le film est réalisé image par image, c’est une poupée animée. Séquence n°10 sur le DVD : King Kong attaque les hommes qui le poursuivent alors qu’il vient d’enlever la fille ; les hommes sont poursuivis par un monstre aquatique, ce qui les précipite dans les bras du monstre. Caractéristique de ce film :

Robespierre : blanc, bleu pâle. • Danton : rouge. • Marat : blanc jauni. Marat est décrit le dernier. Sa mort est imminente. Danton viendra après, guillotiné par Robespierre et enfin ce dernier. Le dernier cité est le premier mort. Le monstre le plus froid est Robespierre (dénonciation). B. Le jeu des contrastes. Hugo s'amuse durant tout le texte avec les contrastes : • Contraste entre Danton et Marat : "l'un, une espèce de géant, l'autre, une espèce de nain", ligne 8. Ce contraste

grossissement épique de la scène, rendu par le lexique « par bouchées de vingt ou trente », « engloutir », « boyaux géants » et par les structures accumulatives. Celles-ci démontent le mécanisme de la plongée dans la mine et suggèrent l’insatiabilité du monstre : « Cela s’emplissait, s’emplissait encore»; - l’insensibilité su Voreux ( « il semblait ne pas les sentir passer »l.2 ) accentuée par le caractère parfaitement mécanique, répétitif et inéluctable de la dévoration (verbes à l’imparfait, connecteurs

omniprésent. 8. L’histoire est racontée sous le point de vue omniscient. Le narrateur connait tout de l’histoire racontée. 9. Gregor est refusé par les membres de sa famille. 10. Les membres de la famille veulent se débarrasser de Gregor, car c’est un « monstre » à leurs yeux. Ce n’est pas commun pour eux de voir une telle transformation, ce qui les pousse à l’exclure autant de la famille. 11. Au fil du récit Gregor ne se sent pas si mal dans son corps, la seule chose qui le gêne par rapport à celui-ci

phénomène de société, Tod Browning tire un film comique, non sans un brin tragique, même parfois pathétique. FREAKS de TOD BROWNING Ne vous méprenez pas, les FREAKS n'ont rien à voir avec des monstres! Le mots « FREAKS » signifie bien « monstres » mais dans ce film les monstres ne sont pas ceux que l'on prétend être. Et Le film n'a pas pour thème la terreur, bien au contraire, c'est une comédie! L'histoire se déroule dans un célèbre cirque, le cirque Tetrallini, un lilliputien Hans

présente à eux. De grands corps énormes qui paraissent avoir des ailes blanches, qui volent sur la mer, qui vomissent du feu de toutes parts, et qui viennent jeter sur le rivage des gens inconnus, tout écaillés de fer, disposant comme ils veulent de monstres qui courent sous eux et tenant en leur main des foudres dont ils terrassent tout ce qui leur résiste D'où sont-ils venus ? Qui a pu les amener par-dessus les mers ? Qui a mis le feu en leur disposition ? Sont-ce les enfants du Soleil ? car assurément

[pic] Séance 1 : Les différents types de portraits. Objectifs ⇨ Savoir organiser un portrait ⇨ Repérer les champs lexicaux. ⇨ Connaître les outils de la description. I. Trois monstres, trois portraits. A. Le portrait fixe : portrait de Frankenstein. 1. Analyse du texte. Le professeur Frankenstein passionné par ses études scientifiques réussit après des jours et des nuits de travail à trouver le secret de la génération de la vie. Désireux de créer des être bons et heureux qu’il

décisions contradictoires. b.La monstruosité Le « j e » se présente par ailleurs comme un être problématique ; il revendique son être monstrueux (l. 11), exprime sa satisfaction du fait que nous ne puissions le voir (« ne voyez devant vous qu’un monstre, dont je suis heureux que vous ne puissiez pas apercevoir la f i g u r e », l. 10 à 13). Dans l’invocation au poulpe, il déclare s’identifier à l’animal (« dont l’âme est inséparable de la m i e n n e » , l. 21-22) et s’interroge sur le possible rapprochement

« Comment ratatiner les monstres ? » 2008 Le résumé synoptique, type notice. Titre : « comment ratatiner les monstres ? ». Auteur : Catherine Le Blanc, illustration : Rolland garrigue. Collection : vitamine. Editeur : p’tit Glénat. Résumé : Une solution pour aider un enfant à ne plus avoir peur des monstres qu’il peut croiser dans sa vie. Une façon ludique de le rassurer face à ses craintes. Le résumé incitatif, vers les enfants. Tu as la trouille des monstres qui se cachent sous ton

qui va être renforcée par de nombreux verbes tel que « Rejaillir », « rompre » Enfin, la mer déchainée du tableau fait penser à un monstre marin qui essaie à tout pris de faire chavirer les bateaux. Or ce monstre et aussi présent dans le poème : « mille monstres écaillés ». Ainsi que ce soit par la mer qui se déchaine ou part la projection de « mille monstre marin écaillés », on voit apparaître comme un ou des êtres imaginaires. On retrouve alors la métamorphose dans le tableau comme dans l'ode