Monstrueux

que Chrysalde l'"examin[e]" comme si ce n'était pas un être humain comme lui. En fait, il méprise tout le monde en utilisant une hyperbole : "à cent sortes de monde" (v. 144). Enfin, son projet de maîtriser totalement Agnès n’en paraît que plus monstrueux (et ridicule). Arnolphe, le personnage principal est hanté par la peur d'être trompé par sa future épouse. Cela le conduit à concevoir et mettre en œuvre un programme d'éducation coercitive. Il s'empare alors du destin d'une enfant de 4 ans, qu'il

reste à l'écart. Ce moment-clef dans sa vie lui inspirera Rhinocéros. Il se sent seul face aux fascistes, il ne peut plus entrer en communication avec ses proches. Il veut rester un homme et ne pas se soumettre. Il s'est demandé s'il n'était pas monstrueux. Denis de Rougemont explique son expérience dans une foule qui attend Hitler. Il est résistant et hésitant. Il lutte de tout son être contre l'engloutissement de la foule. Il est seul et se retrouve à avoir des réactions primaires instinctives,

fois la fin et le commencement, le début et la fin. Le plus jeune des titans se nomme CRONOS aux pensées fourbes. En dehors des Titans et des Titanes, il y a deux trios d'être monstrueux : Celui des cyclopes : Brontès, Stéropès et Argès. Et celui des Hekatonchires, les cent-­‐bras : Cottos, Briarée et Gyès : êtres monstrueux d’une taille gigantesque qui ont cinquante têtes et cent bras, chaque bras étant doué d’une puissance terrifiante. Les cyclopes représentent la fulgurance de la vue : ils possèdent

raison.Paul Eluard, Cours naturel, 1938 | Annonce des axes I) Peuple héros et victime 1- Le beau monde et les valeurs morales 2- L’injustice qui le frappe II) Les vainqueurs 1- Un ennemi sans visage 2- Un ennemi hypocrite et monstrueux III) La présence de la mort 1- L’obsession de la mort 2- Le gâchis Etude méthodique I) Peuple héros et victime Le titre peut surprendre : " Victoire " étant ici utilisée antinomique (antithèse). C’est la victoire du peuple alors

et militaires. Il a d'abord une réaction de fuite et d'indifférence, puis poursuit seul sa route vers le château de Ser. Il découvre, du pas de Redortiers, le hameau des Omergues qui offre un spectacle d'apocalypse : une accumulation de cadavres monstrueux, affreusement dévorés par les bêtes. Il n'y a personne qui ait pu échapper au fléau. Apparaît un jeune médecin qui lutte contre l'épidémie, mais «le pauvre petit Français» idéaliste meurt dans les bras d'Angelo. Celui-ci ne pense pas à l’héroïsme

mouvement du 16 siècle. Ecrit au 16 siècle, pendant les guerres de religions ; fanatisme religieux différent du doute : philosophie antique. Texte argumentatif : -thème : « un enfant monstrueux » (qu’est ce qu’un monstre ?) -thèse : c’est l’ignorance des hommes qui les conduit à considérer comme monstrueux tous ce qui ne sont pas conformes à leurs codes. Structure : -Ligne 1 à 23 : observation concrète -Ligne 24 à 34 : propose une généralité ; dieu/religieux, les « monstres » sont aussi des

barbarie, nous verront donc comment sont menés ces combats. I- Le combat contre l’intolérance. Le combat contre l’intolérance apparaît dès le début avec une série d’antiphrases : * « Bel auto da-fé » (titre, l4), qui signifie en réalité monstrueux châtiment (brûler les hérétiques.) * « Belle musique en faux bourdon » qui est une musique de mort pas une musique festive * « Le serment très pathétique » ironiquement religieux. $ * « Secret infaillible » (pire solution et puis fait

ressenties au début, cette relation s’est métamorphosée, la flamme s’est éteinte. Ensuite, Raymond regrette plusieurs actes qu’il a faits à Marthe. Voyons cet extrait où il nous confie ses remords : « Marthe nue, j’osais à peine la regarder. Suis-je donc monstrueux ? Je ressentais des remords du plus noble emploi de l’homme. D’avoir abîmé la grâce de Marthe, de voir son ventre saillir, je me considérais comme un vandale. Au début de notre amour, quand je la mordais, ne me disait-elle pas : «Marque-moi» ? Ne

possible répulsion vis a vis du personnage de l'homme-éléphant et pour que le spectateur se concentre sur l'homme à l'intérieur de ce corps dit monstrueux et non pas en se concentrant sur son aspect exterieur. C'est pourquoi a aucun moment du film le réalisateur n'a fait de gros plan de Merrick, ne souhaitant pas que le spectateurs se concentre sur son aspect monstrueux. David Lynch ne souhaitait en rien en faire un film d'horreur. La mise en scène est certes assez sobre, mais c'est avant tout pour souligner

LECTURE ANALYTIQUE : le discours de l’avocat général, Deuxième partie,chapitre IV, L’Etranger de Albert Camus ( 1942), de « il disait qu’il s’était penché » à « monstrueux ». INTRO : Deuxième et troisième étapes essentiellement. • Albert Camus représentant illustre du courant littéraire et philosophique, l’absurde, mais également connu pour ses prises de position contre la peine de mort : Réflexion sur la peine capitale en collaboration avec Arthur Koestler et Réflexion sur la guillotine (1957)