Monstrueux

| | Pour l'action :  - Des actions spectaculaires, mettant en œuvre des foules. Les révoltes, insurrections, guerres dans leur horreur ou leur gloire. Le combat avec des fauves, des forces sauvages. Des sujets particulièrement dramatiques, monstrueux ou barbares.

des gens en insectes => l'homme et ses malheurs, ses angoisses le grandiose, le mythique dans la personnification, la déification du soleil => la nature et son pouvoir, sa force irrésistible (image de l'avalanche, du pétrin, d'un Dieu vengeur, monstrueux, oeil sans iris) Au milieu : simulacre de lutte, procession religieuse, fruit de stupide superstition, contrairement aux actes de ceux qui soignent. Plan détaillé (Giono - Le Hussard sur le toit) Introduction Dans la plupart de ses romans

aujourd'hui L'École d'Arnolphe tout autant que L'École des femmes, il se pense le maître du jeu alors qu'il a toujours cinq actes de retard sur les autres personnages. Mais c'est lui le cœur de la pièce. Obsessionnel et malheureux. Odieux et poignant. Monstrueux et humain. Pensif et pensant. Une conscience isolée que le spectacle, en créant une relation intime au sein d'un immense espace mythique, va rapprocher du double millier de consciences réunies chaque soir dans la Cour d'honneur. Arnolphe, en même

lâche ! un séducteur ! et pourquoi ? L’AUMONIER : Le père, la mère et l’enfant son désolés. L’époux volage est un liber- tin ; l’époux trahi partage la honte de sa femme. OROU : Quel monstrueux tissu d’extravagances tu m’exposes là ! et encore tu ne me dis pas tout ; car aussitôt qu’on s’est permis de disposer à son gré des idées de

temps je n'était point futile mais avec l'age on demande a apprendre la vérité des histoire superflue. Mais aujourd'hui mon influence et si grande que je tes déjà nié du travail que tu doit accomplir, ce qui me donne le temps nécessaire a ce récit monstrueux. Pierre :Je n'ai fait que obéir au ordre des adultes, ta chère mère ma invité dans sa demeure splendide dans le but de me donner des délice au chocolat. Je n'en voulez point mais elle a tout de même insisté, je fit ce qu'elle me demanda est soudain

à reconstruire les corps. La réalité est déformée, les caricatures éxagérées, pour inspirer une réaction émotionelle. ~ Interprétation/Sens : Décalage entre une situation banale, une scène de la vie quotidienne (partie de carte) et l'aspect monstrueux des joueurs réprésentés comme des pantins ridicules. ~ Conclusion : Mauvaise réception de l'oeuvre, la société allemande a été choquée de la critique de ses soldats. Plus tard, les nazis vont considérer la production de Dix comme un dégénéré

Interprétation de l’oeuvre Avec les joueurs de cartes les corps quittent le champs de bataille pour s’inscrire dans la sphère civile. DIX peint les conséquences physiques de la guerre. Il s’agit presque d’une scène ordinaire, du quotidien mais l’aspect monstrueux des joueurs est frappant. ILS INCARNENT LES SEQUELLES DE LA GUERRE (combattants rescapés mais mutilés) L’aspect des joueurs n’a rien d’humain. La scène est très en désordre, des menbres, tels que les bras ou les jambes sont dans tous les sens, comme

beau fils. Elle ne peut échapper aux sentiments qu'elle éprouve pour lui. En outre, Pasiphaé (mere de Phèdre et fille du Soleil) est aussi frappée par cette malédiction. En effet, Vénus demande a Poséidon, que la fille du soleil sucite un désir monstrueux pour un taureau. Enfin le grand-père de Phèdre qui n'est autre que le Soleil est aussi frappé par cette malédiction qui est de voir tout ses déscendants périr a cause de Vénus et qu'il ne peut rien y faire. Phedre est donc soumis à cette malédiction

à article indéfini, Lieu indéterminé, tps cyclique. Sous entendu de nos peur « pied plongé dans le sable » B: Les personnages 1) les Chimères : àGrossissement, grandeur, force dominant : adj. « Puissant », »féroce », « griffe », « monstrueux » à Aspect tyrannique : « opprimait » « dominé » (gradation « dos » et « tète ») à Cruelle et brutale : « écrasant », « agrafé » à Aspect irréel = caractères mythologique : « fantassin romain » 2) Les hommes à Anonymat à Paradoxe :

historique, comédie, mélodrame et tragédie. Il se revendique dans la lignée de Shakespeare, jetant un pont entre Molière et Corneille. Il y expose sa théorie du grotesque qui se décline sous plusieurs formes : du ridicule au fantastique en passant par le monstrueux ou l'horrible. Victor Hugo écrit « Le beau n'a qu'un type, le laid en a mille ». Anne Ubersfeld parle à ce sujet de l'aspect carnavalesque du théâtre hugolien et de l'abandon de l'idéal du beau. Selon Victor Hugo, le grotesque doit côtoyer le sublime